Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Œuvre cathartique qui utilise l’animation pour exorciser les plaies du passé, ce documentaire marocain, primé au dernier Festival de Cannes, impressionne. Par la volonté farouche de la cinéaste d’annihiler les mensonges de l’histoire, au sein de sa famille et de son pays, le Maroc.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Caroline Alonso
Épousant les oscillations d’une mémoire instable, le film s'affirme comme un objet hybride constamment ballotté entre fiction et documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
D'un tout petit théâtre surgit un grand monde, la vie, le réel, le passé effacé et les blessures oubliées.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Une version miniature de son quartier de Casablanca pour raconter une histoire à la fois personnelle et collective. "La Mère de tous les mensonges", le film d'Asmae El Moudir, trouve sa force dans l'originalité de la reconstitution d'un récit douloureux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
La Mère de tous les mensonges s’essaie à une sorte de rencontre entre les maîtres de l’animation Garri Bardine et Karel Zeman avec la talentueuse Mariana Otero, exploratrice de l’intime.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Asmae El Moudir redonne leur dignité aux victimes du massacre de 1981, comme l'avait fait déjà Rithy Panh dans L'image manquante sur le génocide cambodgien, qui substituait au vide de la mémoire des statuettes en glaise.
Le Figaro
par V.B.
Prix de la mise en scène Un certain regard et Œil d'or du meilleur documentaire à Cannes en 2023, cette autofiction puissante et glaçante construite comme une enquête intime dessine, bien loin des clichés, un portrait passionnant de la mémoire marocaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Cau.
La mise en scène précise, fantaisiste et follement inventive de la réalisatrice nous cueille par sa grâce enfantine et cette magie qui tend à ce petit miracle : ressusciter la mémoire orale et réenchanter les vies.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Asmae El Moudir signe un documentaire passionnant sur l'histoire de sa famille et celle du Maroc. Une des révélations de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
En recherchant des souvenirs manquants de l’histoire de sa rue, Asmae El Moudir ose faire un portrait critique de la figure de son aïeule et mobilise la créativité de ses proches pour raconter une page noire de l’Histoire marocaine : la boucherie du 20 juin 1981.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
En cherchant à dire ce qui a été tu, à recoller ce qui a été brisé, La Mère de tous les mensonges fixe aussi avec une justesse de propos bienvenue cette béance générationnelle entre les femmes obligées de se taire et celles désormais capables de parler.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Michel Oriot
Un documentaire habile.
Première
par Lucie Chiquer
Ce film au départ intimiste se transforme avec une grande délicatesse en devoir de mémoire et met en lumière un événement oublié de l’histoire du Maroc : les émeutes du pain de 1981. Par cette réinvention du réel qui mélange les formes et les couleurs, la réalisatrice panse des plaies jusqu’ici encore à vif et finit par conjurer le sort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Bravant son aïeule, la réalisatrice Asmae El Moudir recrée un Casablanca miniature en carton pour ranimer le souvenir des émeutes de 1981. Et fait surgir avec brio l’interdit de la représentation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le film flirte entre autofiction familiale et témoignage poignant du Maroc sous le règne d’Hassan II. Une œuvre aussi attendrissante que puissante dans l’évocation de l’absolutisme monarchique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le film, qui se présente comme le making-of de ses propres séquences animées, documente d’abord la création d’un lieu privilégié, situé sous les toits, où seront convoqués tour à tour puis tous ensemble les membres d’une famille amenée à réagir à la résurgence de ses secrets. C’est cette riche expérience que filme Asmae El Moudir, instigatrice d’un piège mémoriel dont la contemplation sera le déclencheur d’une parole trop longtemps tue sous la férule d’une grand-mère despotique.
Culturopoing.com
par Pierig Leray
La mixité de ses formes rend forcément le travail de mémoire plus ludique, mais réussit l’étonnant pari d’éviter l’écueil de la dramatisation à outrance, les visages s’expriment sans long discours, les regards se croisent et se parlent sans mots, les figurines prennent la place des corps, un combat familial pour la vérité, une révolte contre le diktat du silence et du mensonge pour rompre définitivement avec l'omerta des générations passées.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
C’est intelligent, original, quelque part entre cinéma documentaire et film d’animation. Mais le principe même du film, ce mélange d’artifice et de souvenirs personnels, peut lasser, par son utilisation permanente. On accepte le dispositif ou pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
La Mère de tous les mensonges parvient à multiplier les points de vue sur une histoire complexe et douloureuse. Mais en retardant la révélation du secret de Zahra, Asmae El Moudir étire un peu inutilement son autofiction et alourdit son propos.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Une libération de la parole émouvante dans sa dernière partie, quand le long métrage se débarrasse de ses artifices.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
« La Mère de tous les mensonges » intrigue avec son système de petit théâtre de la mise en abyme qui va aboutir à de terribles révélations à propos des émeutes sociales de Casablanca en 1981, qui s’étaient soldées par 114 morts. Mais le rythme assez lent du film, et ses enjeux pas toujours bien mis en relief, ne s’avèrent pas toujours à la hauteur de l’idée initiale…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Les femmes bousculent le cinéma documentaire. Après [...] « Les Filles d’Olfa » et [...] « Bye Bye Tibériade », voici un nouvel objet filmique inclassable qui mixe exploration familiale et cinéma d’animation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Un premier long [...] plein de promesses.
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Construit à partir d'un dispositif fascinant, un premier film pas totalement abouti mais qui annonce une cinéaste à suivre.
Voici
par C.B.
Un premier film pas totalement abouti mais qui annonce une cinéaste à suivre.
Libération
par Laura Tuillier
Etonnant au départ, ce parti pris est pourtant exploité de façon trop mécanique, nous faisant passer d’un épisode d’intimité fondateur à un raccord sur l’histoire nationale dont on comprend l’articulation théorique mais peine à sentir la nécessité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Œuvre cathartique qui utilise l’animation pour exorciser les plaies du passé, ce documentaire marocain, primé au dernier Festival de Cannes, impressionne. Par la volonté farouche de la cinéaste d’annihiler les mensonges de l’histoire, au sein de sa famille et de son pays, le Maroc.
Critikat.com
Épousant les oscillations d’une mémoire instable, le film s'affirme comme un objet hybride constamment ballotté entre fiction et documentaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
D'un tout petit théâtre surgit un grand monde, la vie, le réel, le passé effacé et les blessures oubliées.
Franceinfo Culture
Une version miniature de son quartier de Casablanca pour raconter une histoire à la fois personnelle et collective. "La Mère de tous les mensonges", le film d'Asmae El Moudir, trouve sa force dans l'originalité de la reconstitution d'un récit douloureux.
L'Humanité
La Mère de tous les mensonges s’essaie à une sorte de rencontre entre les maîtres de l’animation Garri Bardine et Karel Zeman avec la talentueuse Mariana Otero, exploratrice de l’intime.
Le Dauphiné Libéré
Asmae El Moudir redonne leur dignité aux victimes du massacre de 1981, comme l'avait fait déjà Rithy Panh dans L'image manquante sur le génocide cambodgien, qui substituait au vide de la mémoire des statuettes en glaise.
Le Figaro
Prix de la mise en scène Un certain regard et Œil d'or du meilleur documentaire à Cannes en 2023, cette autofiction puissante et glaçante construite comme une enquête intime dessine, bien loin des clichés, un portrait passionnant de la mémoire marocaine.
Le Monde
La mise en scène précise, fantaisiste et follement inventive de la réalisatrice nous cueille par sa grâce enfantine et cette magie qui tend à ce petit miracle : ressusciter la mémoire orale et réenchanter les vies.
Les Echos
Asmae El Moudir signe un documentaire passionnant sur l'histoire de sa famille et celle du Maroc. Une des révélations de ce début d'année.
Les Fiches du Cinéma
En recherchant des souvenirs manquants de l’histoire de sa rue, Asmae El Moudir ose faire un portrait critique de la figure de son aïeule et mobilise la créativité de ses proches pour raconter une page noire de l’Histoire marocaine : la boucherie du 20 juin 1981.
Les Inrockuptibles
En cherchant à dire ce qui a été tu, à recoller ce qui a été brisé, La Mère de tous les mensonges fixe aussi avec une justesse de propos bienvenue cette béance générationnelle entre les femmes obligées de se taire et celles désormais capables de parler.
Ouest France
Un documentaire habile.
Première
Ce film au départ intimiste se transforme avec une grande délicatesse en devoir de mémoire et met en lumière un événement oublié de l’histoire du Maroc : les émeutes du pain de 1981. Par cette réinvention du réel qui mélange les formes et les couleurs, la réalisatrice panse des plaies jusqu’ici encore à vif et finit par conjurer le sort.
Télérama
Bravant son aïeule, la réalisatrice Asmae El Moudir recrée un Casablanca miniature en carton pour ranimer le souvenir des émeutes de 1981. Et fait surgir avec brio l’interdit de la représentation.
aVoir-aLire.com
Le film flirte entre autofiction familiale et témoignage poignant du Maroc sous le règne d’Hassan II. Une œuvre aussi attendrissante que puissante dans l’évocation de l’absolutisme monarchique.
Cahiers du Cinéma
Le film, qui se présente comme le making-of de ses propres séquences animées, documente d’abord la création d’un lieu privilégié, situé sous les toits, où seront convoqués tour à tour puis tous ensemble les membres d’une famille amenée à réagir à la résurgence de ses secrets. C’est cette riche expérience que filme Asmae El Moudir, instigatrice d’un piège mémoriel dont la contemplation sera le déclencheur d’une parole trop longtemps tue sous la férule d’une grand-mère despotique.
Culturopoing.com
La mixité de ses formes rend forcément le travail de mémoire plus ludique, mais réussit l’étonnant pari d’éviter l’écueil de la dramatisation à outrance, les visages s’expriment sans long discours, les regards se croisent et se parlent sans mots, les figurines prennent la place des corps, un combat familial pour la vérité, une révolte contre le diktat du silence et du mensonge pour rompre définitivement avec l'omerta des générations passées.
L'Obs
C’est intelligent, original, quelque part entre cinéma documentaire et film d’animation. Mais le principe même du film, ce mélange d’artifice et de souvenirs personnels, peut lasser, par son utilisation permanente. On accepte le dispositif ou pas.
La Croix
La Mère de tous les mensonges parvient à multiplier les points de vue sur une histoire complexe et douloureuse. Mais en retardant la révélation du secret de Zahra, Asmae El Moudir étire un peu inutilement son autofiction et alourdit son propos.
Le Journal du Dimanche
Une libération de la parole émouvante dans sa dernière partie, quand le long métrage se débarrasse de ses artifices.
Le Parisien
« La Mère de tous les mensonges » intrigue avec son système de petit théâtre de la mise en abyme qui va aboutir à de terribles révélations à propos des émeutes sociales de Casablanca en 1981, qui s’étaient soldées par 114 morts. Mais le rythme assez lent du film, et ses enjeux pas toujours bien mis en relief, ne s’avèrent pas toujours à la hauteur de l’idée initiale…
Paris Match
Les femmes bousculent le cinéma documentaire. Après [...] « Les Filles d’Olfa » et [...] « Bye Bye Tibériade », voici un nouvel objet filmique inclassable qui mixe exploration familiale et cinéma d’animation.
Transfuge
Un premier long [...] plein de promesses.
Télé 2 semaines
Construit à partir d'un dispositif fascinant, un premier film pas totalement abouti mais qui annonce une cinéaste à suivre.
Voici
Un premier film pas totalement abouti mais qui annonce une cinéaste à suivre.
Libération
Etonnant au départ, ce parti pris est pourtant exploité de façon trop mécanique, nous faisant passer d’un épisode d’intimité fondateur à un raccord sur l’histoire nationale dont on comprend l’articulation théorique mais peine à sentir la nécessité.