Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ouest France
par Thierry Cheze
Des plans-séquences d'une puissance renversante.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Ce portrait de l’artiste en commerçant désigne la tension qui fait le génie des films «d’art» de Wiseman entre un microcosme à huis clos et les mille façons dont le monde, au sens politique et cosmique, s’y infiltre.
Franceinfo Culture
par Laure Narlian
De ce documentaire inspirant on ressort avec la sensation d'avoir cheminé intimement aux côtés de ces artistes des fourneaux, au point de les connaître. Une transparence qui ne gâche en rien la magie et le mystère de leur travail.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par N. S.
Le grand documentariste fait œuvre d’archiviste, immortalise un artisanat, un amour du goût et un respect du terroir sur quatre heures qu’une mini-série de quatre épisodes aurait rendues plus digestes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le grand documentariste américain Frederick Wiseman nous plonge, pendant quatre heures, dans les cuisines d’un des plus fameux restaurants gastronomiques au monde et célèbre le mariage de l’excellence et de la tradition. À consommer sans modération.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par A.B.
C'est cette relation sous le signe de la transmission, de connaissances comme de pouvoir, que le film dévoile avec pudeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
Menus-Plaisirs… vaut d’abord sur le plan plastique. Dans l’attention que la caméra prête aux produits métamorphosés sous le coup des techniques culinaires se joue en effet autre chose : un grand bal des matières, une valse de formes, de textures, de couleurs, que le montage associe avec un sens du rythme éprouvé, dans une veine cut proche de Boxing Gym (2010).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Quatre heures savoureuses qui sont aussi une réflexion sur le bon fonctionnement d'une institution.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Quatre heures en compagnie des Troisgros, père et fils, et de leurs fournisseurs et collaborateurs, ou le tableau d’une institution française, qui s’attache moins à la séduction des plats qu’à l’observation patiente, et passionnante, des gestes du travail.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Comme à son habitude, Wiseman n’intervient jamais, ne propose aucune interview, ne dit jamais qui est qui (on le comprend très rapidement) et enregistre (images et sons impeccables) ce qui se déroule sous ses yeux avec une acuité sans faille. Tant de perfection laisse un peu baba (au rhum).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Exhiber la conflictualité de classes serait trop simple, Wiseman prend un malin plaisir (autre version possible du titre) à une neutralité bienveillante (et un intérêt de gourmet, une sympathie pour ceux qu’il filme, ce n’est pas contradictoire) à élaborer la forme transparente qui permet la fine découpe sur un fond délectable des asymétries de conditions, de pouvoir, d’influence, de moyens qu’elle contient ou suppose ou prolonge.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Moreno
En bref, on ressort du film comme d’un repas à l’une de leurs tables : forts repu, mais ô combien comblé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Le sel de ces "Menus-plaisirs" se trouve davantage dans la chronique bourgeoise des Troisgros, quelque part entre tradition et hérédité, travail et héritage, savoir et privilège [...].
Télérama
par Samuel Douhaire
Un documentaire sobre et captivant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Corentin Lê
En filmant les coulisses d'un grand restaurant, Wiseman signe un film bizarrement myope : son regard est acéré lorsqu'il se concentre sur les plats savamment composés, mais se fait plus flou lorsqu’il s’agit de montrer les rouages de l'institution.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par Hugo de Saint Phalle
Même entrecoupé de plans extérieurs magnifiquement composés, en forme d'interludes bucoliques, le film tourne en rond dans sa deuxième moitié, sans structure, sans véritable enjeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
Des plans-séquences d'une puissance renversante.
Cahiers du Cinéma
Ce portrait de l’artiste en commerçant désigne la tension qui fait le génie des films «d’art» de Wiseman entre un microcosme à huis clos et les mille façons dont le monde, au sens politique et cosmique, s’y infiltre.
Franceinfo Culture
De ce documentaire inspirant on ressort avec la sensation d'avoir cheminé intimement aux côtés de ces artistes des fourneaux, au point de les connaître. Une transparence qui ne gâche en rien la magie et le mystère de leur travail.
L'Obs
Le grand documentariste fait œuvre d’archiviste, immortalise un artisanat, un amour du goût et un respect du terroir sur quatre heures qu’une mini-série de quatre épisodes aurait rendues plus digestes.
La Croix
Le grand documentariste américain Frederick Wiseman nous plonge, pendant quatre heures, dans les cuisines d’un des plus fameux restaurants gastronomiques au monde et célèbre le mariage de l’excellence et de la tradition. À consommer sans modération.
Le Figaro
C'est cette relation sous le signe de la transmission, de connaissances comme de pouvoir, que le film dévoile avec pudeur.
Le Monde
Menus-Plaisirs… vaut d’abord sur le plan plastique. Dans l’attention que la caméra prête aux produits métamorphosés sous le coup des techniques culinaires se joue en effet autre chose : un grand bal des matières, une valse de formes, de textures, de couleurs, que le montage associe avec un sens du rythme éprouvé, dans une veine cut proche de Boxing Gym (2010).
Les Echos
Quatre heures savoureuses qui sont aussi une réflexion sur le bon fonctionnement d'une institution.
Les Fiches du Cinéma
Quatre heures en compagnie des Troisgros, père et fils, et de leurs fournisseurs et collaborateurs, ou le tableau d’une institution française, qui s’attache moins à la séduction des plats qu’à l’observation patiente, et passionnante, des gestes du travail.
Les Inrockuptibles
Comme à son habitude, Wiseman n’intervient jamais, ne propose aucune interview, ne dit jamais qui est qui (on le comprend très rapidement) et enregistre (images et sons impeccables) ce qui se déroule sous ses yeux avec une acuité sans faille. Tant de perfection laisse un peu baba (au rhum).
Libération
Exhiber la conflictualité de classes serait trop simple, Wiseman prend un malin plaisir (autre version possible du titre) à une neutralité bienveillante (et un intérêt de gourmet, une sympathie pour ceux qu’il filme, ce n’est pas contradictoire) à élaborer la forme transparente qui permet la fine découpe sur un fond délectable des asymétries de conditions, de pouvoir, d’influence, de moyens qu’elle contient ou suppose ou prolonge.
Première
En bref, on ressort du film comme d’un repas à l’une de leurs tables : forts repu, mais ô combien comblé.
Transfuge
Le sel de ces "Menus-plaisirs" se trouve davantage dans la chronique bourgeoise des Troisgros, quelque part entre tradition et hérédité, travail et héritage, savoir et privilège [...].
Télérama
Un documentaire sobre et captivant.
Critikat.com
En filmant les coulisses d'un grand restaurant, Wiseman signe un film bizarrement myope : son regard est acéré lorsqu'il se concentre sur les plats savamment composés, mais se fait plus flou lorsqu’il s’agit de montrer les rouages de l'institution.
Le Point
Même entrecoupé de plans extérieurs magnifiquement composés, en forme d'interludes bucoliques, le film tourne en rond dans sa deuxième moitié, sans structure, sans véritable enjeu.