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Marc L.
44 abonnés
1 583 critiques
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2,0
Publiée le 26 août 2024
Puisque les valeurs qu’il pourrait promulguer sont étroitement surveillées par le régime de Pékin, le Wu xia pan est lentement devenu un grand spectacle inoffensif et sans aspérités, l’équivalent du Cirque du Soleil en costumes orientaux. On se prenait pourtant à imaginer que la présence de Donnie Yen, superstar de l’ancien cinéma de Hong Kong, devant et derrière la caméra, pourrait légèrement infléchir cette politique. On se trompait : ‘Sakra’ ne sera qu’un spectacle d’arts martiaux virevoltant de plus, avec ses trahisons, ses dissimulations, ses révélations, ses amours tragiques et contrariées. Le problème ne tient même pas au fait que ces blockbusters chinois en costumes d’époque soient interchangeables : même très lisses dans leur propos, ce qu’ils proposent reste visuellement soigné, tandis que la littérature, le folklore et l’histoire chinoises sont suffisamment riches pour qu’on puisse en extraire des centaines de scénarios. Non, sur un spécimen comme celui-ci, le problème est qu’on ne comprend à peu près rien aux tenants et aux aboutissants d’un récit avant tout pensé pour satisfaire l’immense marché intérieur. C’était quand l’empire Song ? C’était quoi l’empire Khitai ? Quelle était la raison d’être de la secte des mendiants ? Autant d’éléments qui nécessitent des recherches préalable sur Wikipedia si on veut éviter d’être largué entre les personnages, les villes, les titres et les royaumes (et même après les recherches, ça n’a toujours rien de très évident). Évidemment, les Chinois seraient sans doute tout aussi largués en regardant les Trois Mousquetaires ou n’importe quel film européen ou américain plus ou moins historique…et c’est sans doute pour cette raison que les films comme ‘Sakra’ ne sortent généralement pas en salles ailleurs que chez eux, même quand ils se gardent bien de prôner quoi que ce soit. Décidément, le soft-power de l’empire du milieu a encore du chemin à faire avant de devenir une évidence pour tout le monde.
C'étais vachement long, l'histoire tient pas debout, les scènes d'actions sont mal filmés on comprend rien ça va trop vite et les effets spéciaux sont mal fait. Les seul truc qui rattrape un peu, c'est certains décors sympa et des mouvements stylés lors des combats mais sinon c'est loooong, les combats dure litteralement 15 minute de bouillie visuelle. Fortement déçu.
Sorte de wuxia moderne, un film d’art martial chinois mâtiné de fantastique, visuellement séduisant mais plombé par son scénario confus et des dialogues pas possibles.
Un film d'aventures chinois très beau visuellement avec des décors et paysages magnifiques !! On reste dans la pure tradition asiatique niveau scénario, c'est pas forcément toujours captivant !! Donnie Yen excelle une fois de plus dans les combats avec des chorégraphies spectaculaires accompagné une belle BO omniprésente !! Le genre de film qui oscille ente " c'est moyen et gnangnan par moment et ouahhh c'est spectaculaire et divertissant "
En passant derrière la caméra Donnie Yen veut présenter un film d action ample avec des plans larges et des combats spectaculaires. Il en résulte un film généreux et plaisant malgré ses quelques gros défauts. Parmi eux le rajeunissement grossier de Donnie Yen qui tient le premier rôle lui même, une histoire par moment ridicules et quelques Cgi franchement cheap qui gâchent des combats de haute volée. Mais pour le reste c est très plaisant j ai eu l impression de regarder un film qui serait un croisement de Dragon Ball et de Tigre et Dragon avec une vraie ambition de cinéma.
Le scénario est anecdotique, la réalisation sans éclat, et Donnie Yen est bizarrement maquillé pour être rajeuni. En revanche, les chorégraphies des scènes de combat sont à couper le souffle.
Voilà un bon film d'action qui nous vient de Chine sous la direction de Donnie Yen, également acteur que l'on a pu apprécier dernièrement dans John Wick 4. La première qualité du film est qu'il entre très vite dans l'action en réalisant des ellipses qui évitent les interminables scènes d'apprentissage du petit sacrabé. La deuxième qualité réside dans le côté spectaculaire des scènes d'action, fluides et aériennes, sans trop d'effets de style. Voir les protagonistes sauter de toits en toits est jubilatoire. Les combats, bien dans la lignée du cinéma hongkongais, sont impressionnants. La principale limite du film est son scénario, une histoire difficile à suivre avec les Khitan et les Song et j’ai eu un peu de mal à comprendre les motivations des complotistes. Rivalités, complots, jalousies, rancœurs, avec un héros en quête d'identité. Une suite ? Un bon film d'action plutôt distrayant et très spectaculaire. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
adaptations de roman de Jin Yong, plus connu sous le pseudonyme de Louis Cha. Nous sommes sans doute bien loin de révolutionner le genre, mais on peut dorénavant se pencher sur la face cachée d’une œuvre qui aura mis près de deux pour nous montrer ce qu'elle a dans le ventre . L'énorme point fort de ce film est sans nulle doute la beauté et l'intensité des combats, Donnie Yen est magistral dans ce domaine. Malgré tout, ce divertissement coloré, costumé et guerrier pourra plaire aux fans de spectacle de combats chinois à la sauce Kung-fu fantastique. L'histoire est sympa, les personnages sont plus ou moins attachants et les scènes de combat sont distrayants. Le visionnage vaut le coup pour la virtuosité de ses scènes d'action. Donnie Yen nous montre tout son savoir-faire et c'est souvent épique et dantesque , mais scénario est confus et complexe inutilement seul les gens qui connaissent par coeur le roman seront de quoi l'on parle et les autres seront un peux perdu c'est bien dommage cela aurait était sympa d'adapter le film pas que pour les spécialiste mais aussi les non initiés dommage . Mais film à voir .
Dommage, on sent que ce profile une belle histoire, les Song sont divisés par des manipulations qui viennent à la fois de l'extérieur et de l'intérieur, et un homme qui désire juste vivre pauvre, paisiblement et juste va en faire les frais car le secret de sa naissance éclate à moitié et est le prétexte de tant de manipulation, par des gens sans scrupules qui détournent Kung Fu et théories bouddhistes pour accéder au pouvoir de leurs fondements, une réalité depuis l'antiquité en Chine (lire le Discours de la Tortue de Cyrille Javary) et si quelques fragments du scénario nous fait entrevoir cela, avec une fin qui prétend que tout n'a pas été dit on est dans l'outrance de scène de combats et de superpouvoir pour vendre un mauvais film d'après un Comics américain, et au lieu de servir le Kung Fu et les théories bouddhistes, elles sont tellement noyés par une surenchère d'effets spéciaux et de scène de combats qu'on perd de vue l'essentiel de l'histoire et de la philosophie chinoise! Dommage! On veux trop vendre à l'occident au lieu de vendre la culture chinoise et ses paradoxes!
Bof. Bof. J'adore Donnie Yen, heureusement qu'il est là pour relever l'intérêt du film. Car il y a peu de chose à sauver, scénario inintéressant, film long, musique soporifique et effets spéciaux médiocre. Aussitôt vu, aussitôt oublié.
Le visionnage vaut le coup pour la virtuosité de ses scènes d'action. Donnie Yen nous montre tout son savoir-faire et c'est souvent épique et dantesque. Le problème c'est que cela ne fait pas un film. Le scénario est confus et complexe inutilement. De plus, c'est long et bavard. Ça aurait pu être un très bon film. Dommage.
Mon choix s'est basé sur ce film grâce à l'excellent notation sur Allociné . Je ne comprends pas ces notes .... J'ai pas dû voir le même film. L'histoire se déroule 30 ans, ils le disent plusieurs fois, après une scène où le héros était encore un nourrisson, interprété par Donnie Yen, 60 ans. On voit qu'il n'a pas bu dans la même fontaine de jouvence que Tom Cruise. à 1erte vue, on se dit que la jeunesse éternelle des scientologue fonctionne mieux que celle acheté sur TEMU. Autant les scènes de combat à la DragonBall sont bien réalisées, autant le reste du film est trop caricatural et trop classique.
Donnie Yen repasse derrière la caméra pour la première fois en près de vingt ans pour proposer une adaptation de "Demi-Dieux et Semi-Démons" de Jin Yong. Il y incarne Qiao Feng qui est systématiquement précédé par la mort, ce qui lui vaut d'être accusé à tort d'avoir tué l'un des chefs de son clan, mais pas seulement... Il se lance alors dans une quête de ses origines et de la vérité. Le début d'une histoire alambiquée aux enjeux beaucoup trop souvent mal installés. La première partie est solide, car l'intrigue est alors assez simple, mais la seconde est trop brouillonne en plus de trainer inutilement en longueurs. Il y a heureusement de très bonnes scènes d'action durant lesquelles les personnages voltigent et se balancent des boules d'énergie. Ces dernières sont très souvent spectaculaires, mais sont également et bien malheureusement peu nombreuses. C'est finalement la seule chose qui vaut le coup dans ce film inégal et trop long qui souffre d'un scénario un peu bête et mal écrit.