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    L'Innocence
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    MAD
    MAD

    13 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    La vérité a plusieurs visages, c'est ce qu'on peut retenir de ce film. Le comportement de Minato est troublant, il devient distant et taciturne avec sa mère, et est parfois épris de colère et de tristesse. Mais pourquoi ? Au fur et à mesure, le point de vue de sa mère, de son professeur et de lui-même sont dévoilés, à tour de rôle, et nous permet de cerner la véritable raison de ce mal-être. Est-ce que Minato est celui qui harcèle son camarade de classe, Yori, comme son professeur l'affirme ? Est-ce que M. Hori est celui qui martyrise Minato, comme sa mère le comprend ? Est-ce que la vérité est toute autre ? En tout cas, le fin mot de l'histoire est inattendu.
    La réalisation de Hirokazu Kore-eda porte bien son nom. L'innocence de Minato et de Yori est si belle à voir.
    Critiques d un passionné
    Critiques d un passionné

    78 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    Kore-eda est un cinéaste japonais dont j’apprécie particulièrement le travail et sa façon de dépeindre l’humain, et c’est encore une fois le cas ici.
    Mais plus que tout, son dernier film brille par la qualité de son scénario, qui lui a valu une palme amplement mérité à Cannes.

    Suite à la mort de son père, Minato est élevé par sa mère qui se rend compte que son fils semble être harcelé à l’école…

    Le film va jouer avec différents points de vue, remettant à chaque fois en question l’avis du spectateur sur ce qui se passe à l’écran. Suivant le regard par lequel on vivra les scènes, elles prendront ainsi un tout autre sens qui aura tendance à déstabiliser le spectateur.
    D’autant plus qu’on est en pleine zone grise, cherchant continuellement à savoir qui est le « monstre » dans cette histoire.
    Le film basculera ainsi du thriller au drame social, tout en réussissant à proposer quelques moments oniriques, dont un final éblouissant.

    Mais il faut avouer que l’écriture, aussi intelligente soit-elle, fait aussi que l’on se sent un peu perdu, tant le film aborde des sujets différents : le harcèlement, le deuil, le mensonge, l’éducation, les non-dits, l’amitié, les faux-semblants, le regard des autres… Et même s’il le fait avec beaucoup de pertinence et de délicatesse, on a l’impression qu’il s’éparpille et on se demande parfois où veut vraiment aller le film. Mais c’est sans compter sur un dernier acte admirable où, sans prévenir, tout prendra un sens…
    Et c’est peut-être une limite que j’ai avec le film, car un deuxième visionnage s’impose presque afin tout remettre en ordre.

    Sans être son meilleur film, ce qui est sûr, c’est qu’il aura une nouvelle fois réussi à me marquer par certaines scènes et qu’il risque de murir en moi au fil du temps…

    https://www.critiquesdunpassionne.fr/
    Nathalie S.
    Nathalie S.

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 janvier 2024
    Un film d’une delicatesse rare, qui vous entraine de suppositions en suppositions et par un jeu d’aller retour déconcertant jusque dans la complexe intimité des jeunes protagonistes. Ce film bouleversant et tellement dense a largement mérité sa palme d’or du scenario à Cannes
    Yunathais
    Yunathais

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2024
    excellent film ,à ne pas manquer
    scnénario très interessant qui crée vraiment le suspence jusqu'à la fin du film .(2h)
    très belle bande son/MUSIQUE
    très bons interprètes
    Eleni
    Eleni

    13 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2024
    Fascinant ce dédale dans lequel nous embarque "L'innocence" ! Le croisement de points de vue très différents autour des mêmes faits rend le film très intriguant et troublant, jusqu'au magnifique dénouement.
    Les acteurs sont formidables, notamment les deux jeunes. La musique, très délicate, apporte beaucoup de sensibilité à l'ensemble. Un film d'une grande subtilité sur l'enfance, la famille et la société japonaise en fond de toile.
    Nath Visuals
    Nath Visuals

    55 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    Le film de Kore-eda a le mérite d'avoir gardé son mystère jusqu'à la fin et je pense à la surprise du grand nombre. Je ne vais évidemment pas dévoiler la fin qui m'a beaucoup étonné mais le film est tourné de manière à ce qu'en fait la fin du film ne soit pas vraiment la fin de l'histoire. Le réalisateur japonais monte son film de la même manière qu'un certain Kurosawa dans Rashômon. Les problèmes sont vite posés mais les causes sont parsemées entre les différents points de vue de chaque personnage du film. On peut également retrouver ce type de montage dans Memento de Nolan. Bien que le film soit très émouvant, il nous octroie des émotions et nous frustre par une incompréhension sur un action qui sera éclairée seulement 1h30 plus tard, car nous étions sur le point de vue de la "mauvaise personne". Finalement, nous avons un peu le même problème que la mère du jeune Minato. Cette mère célibataire qui ne peut que constater que son fils va mal, qui émet des hypothèses et qui cherche à découvrir la cause et les solutions.
    Pour ce qui est des acteurs, plus des trois quarts des acteurs du film sont des enfants et je tiens à saluer cette réussite. En France les enfants qui jouent dans un film ont interdiction de jouer au-delà d'un certain nombre d'heures par jour, qui sont bien inférieur aux adultes. Je ne sais pas s'il existe des règles similaires au pays du soleil levant mais dans tous les cas, c'est dur de faire un film avec autant d'enfants. D'autant plus que la plupart du temps, le jeu d'acteur n'est pas toujours au rendez-vous. Mais dans ce film, les enfants jouent merveilleusement bien, on y croit vraiment et des futurs grands acteurs japonais se cachent probablement dans ce film.
    Spoilers : Le sujet principal du film qui est caché jusqu'à la fin est l'homosexualité. Kore-eda cherche à réveiller les consciences à travers ce film où au Japon, les avancées en ce qui concerne les homosexuels sont assez loin des pays occidentaux. Je salue cette volonté mais je trouve que le montrer avec des si jeunes enfants n'est pas un bonne idée. Évidemment cela est un question de point de vue, mais à cet âge là, personne n'est à l'aise avec ses sentiments amoureux et je pense que tout le monde peut en témoigner. Le réalisateur justifie en quelque sorte le comportement des enfants et le harcèlement par cette cause. Alors que l'on sait très bien qu'en primaire et au collège, les enfants sont cruels entre eux et l'homosexualité à cet âge là est quelque chose que l'on ne comprend pas forcément. Peut-être que certains s'y attendaient mais pour moi, cette révélation à la fin n'avait pas forcément besoin d'être là et m'a beaucoup étonné.
    Malgré ça, le film reste très beau et touchant et aurait mérité bien plus au festival de Cannes. Cette œuvre de Kore-eda aurait davantage mérité la palme d'or que Anatomie d'une chute de Justine Triet.
    Fryzer
    Fryzer

    15 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2024
    EXCELLENT, quelle écriture tellement bien composée, je suis surpris car je m'attendais tout sauf à ça, j'ai tout aimé.
    Enki Dou
    Enki Dou

    4 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    Une très belle et grave histoire d'amour secret, qui finit ... bien ou mal, le spectateur choisira (la chute m'a semblé assez claire, même si le film peut laisser à ceux qui en ont envie la possibilité de croire à une autre fin).

    Toute l'intelligence du film est dans la confrontation des points de vue (celui de la mère, ceux des adultes) à la réalité (celle vécue par les deux enfants), qui permet au spectateur de comprendre progressivement ce qui s'est passé. Les adultes, qui ne voient qu'une infime partie de la réalité des enfants, et qui croient, comme nous tous, ce qu'ils ont envie de croire, se trompent, parfois dramatiquement, en accusant les mauvaises personnes. Les enfants mentent pour se protéger. Les adultes se mentent à eux-mêmes (et mentent à l'occasion aux autres), pour se protéger ou pour protéger ce à quoi ils tiennent (la réputation de l'école par exemple).

    S'il y a bien un coupable plus coupable que les autres (et, spoil, ce n'est pas un enfant), personne, ou presque, n'est complètement innocent. Les adultes sont aveugles parce qu'ils ne veulent pas voir. Les enfants, qui comprennent certaines choses bien mieux que les adultes, sont cruels et impitoyables entre eux, et reproduisent les préjugés des adultes.

    Plutôt que d'innocence, le film parle de ce qu'on cache ou de ce qu'on se cache à soi-même. Sa force est que s'il n'épargne personne, il ne condamne personne non plus. Sa force est aussi son universalité : même si l'histoire se passe au Japon, elle pourrait se passer n'importe où (on pense par exemple au harcèlement à l'école).

    Il est vrai que la compréhension du film exige un peu d'efforts de la part du spectateur : la vérité de chaque événement, et du film dans son ensemble, étant la somme des vérités de chaque personnage, vérités que le film donne à voir à mesure qu'il avance, il faut rester éveillé du début à la fin.

    C'est notamment pour cette raison qu'on aurait envie de le revoir. Mais c'est aussi parce qu'il est beau : la scène où la directrice et l'enfant jouent ensemble du clairon ("ce que tu ne peux pas dire, souffle-le") est une pure merveille, comme celle où les deux enfants jouent au "Qui suis-je" dans le wagon ...

    Ce n'est certes pas le film qu'il faut aller voir pour se remonter le moral. Mais c'est un film très beau et très fort.
    Ratafia
    Ratafia

    5 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    Avis contrasté en sortie de salle : Une première partie surjouée, suivi d'un lourd puzzle flash-back explicatif, pour finir en séquence "émotion" plutôt réussie. Mais en fait, non, je n'ai pas aimé :-(
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    14 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2024
    La vérité n'est pas forcément celle que l'on croit.

    Un film japonais et son origine est importante. Donc un film dans un système social où le mensonge est honni et où ne doit pas perdre la face, où la normalité est reine.

    Dans ce contexte un enfant Minato est un enfant unique élevé par une mère veuve rencontre des problèmes a l'école. Sa mère décide de mettre les pieds dans le plat pour résoudre le problème et cela débute par une confrontation a trois.La mère, un professeur, et l'école représentée par sa directrice.

    L'histoire est déroulée puis reprise par effet Rashōmon avec des enrichissements, des éclairages autres. Jusqu’à donner une conclusion qui n'est peut être qu'un autre point de vue?

    Un film un peu lent au début dans le premier déroulé. Ensuite magnifiquement construit avec des points fixes permettant de se situer dans la temporalité. Un prix du scénario totalement mérité.

    La vérité n'est pas forcément ce que l'on croit.
    christophe D10
    christophe D10

    17 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juillet 2024
    Encore un film encensé par les critiques qui se révèle être une grosse déception.
    Le scénario est tortueux a souhait, mais en étant souvent peu crédible, et le récit se perd en route en mêlant de manière assez peu réaliste plusieurs histoires assez différentes.
    La 2eme partie ou on ne voit quasiment plus que les
    deux enfants est un véritable supplice tellement on s’ennuye.
    Un film de plus complètement surcoté …
    Nico78b
    Nico78b

    24 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2024
    Je pensais pas faire une review aussi longue pour ce film mdrr, mais il a des choses à dire l'ancien il débite. Vous trouverez dans cette review (de 1200 mots) des commentaires pertinents, et des passages divertissants. Peut-être je vous arracherai un soufflement de nez couplé d'une esquisse labiale, ou peut-être récolterai-je un tas de "WAA il fait tiep lui il raconte quoi mdrr". Dites-moi en comm dans quel camp vous vous situez ;).

    Ok je vais commencer par le positif pour montrer que je ne suis pas qu'une brute sans coeur insensible à la délicatesse et à ce qui est Kawai-nee ^^.

    Une des grandes réussites de ce film, c'est d'interroger sur la famille et la figure du père absent - ou, dans le cas de Hoshikawa, défaillant. Il le fait avec une touchante délicatesse, mais aussi - comme c'était déjà le cas dans "Une affaire de famille" - en égratignant les faux-semblants de la société japonaise, son formalisme excessif, son illusion à vouloir résoudre le moindre différend par la présentation théâtralisée d'excuses outrées. Que ce soit au travers des enfants et leur méchanceté puérile, ou bien des adultes et leur jugement tranchant, ce film aborde aussi parfaitement le thème si cher au Japon du regard extérieur, de la fausse perception et des répercussions que peuvent avoir des rumeurs.

    Ok il faut savoir que lorsque j'écris ma review, j'écris ce qu'il me passe par la tête, je regarde d'autres critiques puis je structure. Je commence toujours par le négatif parce que je suis un rageux, puis je me concentre sur le développement du positif. Et il faut dire qu'à froid, je reconnais que ce film présente quand même beaucoup + de qualité que ce que ma première impression ne me laissait penser. Donc le dernier point positif de ce film, est la manière dont est emmenée la marginalisation. Dans une société où les apparences font tout, où il faut se fondre dans la masse en étant un "homme fort qui aime les femmes", le tabou de l'homosexualité, surtout infantile, vient emmener une nouvelle couche de sens à l'histoire. Alors qu'on imagine d'abord Mugino comme étant un malade mental, on évolue ensuite vers une perception de l'enfant comme étant un bully, puis finalement on a son POV et comprend qu'il est un être sensible et ne trouve juste pas sa place dans la société. On peut prendre ca comme une leçon de vie, ne pas juger avant d'avoir tous les éléments d'une question. Ceci est aussi valable pour le professeur qu'on imagine d'abord comme étant une enflure solitaire et pervers, puis notre perception évolue (même si je le pressentais qu'il était pas si méchant :P )).

    Voila pour le positif. Je pourrais aussi y ajouter la musique, je suis d'humeur généreuse aujourd'hui.

    Maintenant, passons à ce qui intéresse mon audience (= extrêmement peu de monde): le négatif.

    Déja, ce film n'aura pas de place dans mon coeur car s'il se passait à Cergy Pointoise où Sucy-en-Brie (=pas au Japon), i prefer not to speak. If I speak I am in big trouble.

    Ils veulent faire un film effet Rashomon? Bah on va comparer avec Rashomon hihi :P
    Encore dans Rashomon , on avait des personnages intenses défendant délibérément leur propre honneur, le tout avec des plans très significatifs et une histoire aux évènements marquants. Ici, les persos ne sont pas proactifs, ils se laissent aller par les évènements, manquent un peu de présence et les évènements "plaque tournante" du récit ne sont que peu profonds (un coup dans le nez --> est-ce fait exprès ou pas ? pas assez dramatique imo...)

    (le paragraphe suivant a été écrit dans un élan d'ennui au travail, mais il est passionnant).

    Comme beaucoup devant ce film, j'ai croisé la route de mon ennemi d'antan, je dirai même que j'ai croisé le fer avec celui qui rode et contre lequel les réalisateurs mènent une guerre totale. De tous temps, les hommes ont essayé de le dompter, de le tromper où simplement de lui échapper. Encore une fois, malgré un bel effort de ma part, je me retrouva face à lui, désemparé. Vous le connaissez tous, cet ennemi naturel de l'homme, cette plaie pour l'humanité, cet tourment éternel, cet adversaire avec lequel je lutte à l'heure ou je vous parle, j'ai nommé: l'ennui. (J'aurai juste pu dire: je me suis fait chier. Mais tu connais storytelling tout ca, faut faire rêver autrui). Et ce notamment vers le milieu et début de la fin, où j'ai été fortement tenté par ce malicieux et espiègle téléphone (que j'avais pourtant écarté). Dans la pénombre de la salle, la seule source de lumière provenait d'en face de moi: le film. A ma gauche, légèrement derrière, posé sur un siège, je ressentais sa présence, il m'appelait, il me suppliait de le prendre en main et jouir de ses plaisirs. Je n'ai néanmoins pas succombé à la tentation. Comment ai-je fait me demanderiez-vous. C'est simple, je me suis attelé à une série de calculs mentaux complexes et aboutis pour arriver au résultat suivant. J'ai estimé la probabilité d'avoir une notification aux alentours de 3.25%. Entre 2.23% et 3.47% pour être précis. J'ai donc décidé d'augmenter ces chances (pour booster mon ego) en laissant passer le temps et en laissant le soin à tous mes amis, à toutes les filles qui me courent après (0) de quémander mon attention par l'intermédiaire d'un message. Pour ceux que ca intéressent, à la fin du film j'avais aucune notification. A part FlashScore qui m'annonce le retour d'Antoine Kombouare au poste d'entraineur du FC Nantes. Bref. J'avais juste mal calculé.

    Bon je vais pas m'étendre sur le sujet, je sais que ma vie sociale vous intéresse énormément mais je vais revenir sur notre pièce de boeuf. Je pense que ce film aurait gagné à avoir une vingtaine de minute en moins, ne serait-ce que pour garder l'audience captivée.

    spoiler: Finalement, et par suite logique, le fait d'avoir un peu décroché a rendu la finalité du film très mièvre. Le moment de "libération" à la fin n'a pas tellement eu l'effet escompté, je trouvais pas ca touchant dans le sens ou tous leur problèmes ne sont pas réglés. La dernière scène est censée provoquer un sentiment de soulagement, les problèmes sont derrière eux, ils ont passé la tempête (figurativement et littéralement). Mais le fait est que le petit Hoshikawa va retrouver son daron violent alcoolique et homophobe, et que Mugino va retourner à l'école ou il va se faire bully quoi.. Donc voila leur cri final de libération ne m'a pas attrapé au vol, et je suis sorti du film avec comme un sentiment d'inaccompli.


    Néanmoins, je reconnais que ce film présente des qualités. J'hésite entre 3 et demi et 4, et je ne vais pour cette fois pas suivre le noble adage "when in doubt, go for the lower rating", puisque le principal obstacle que j'ai rencontré sur le chemin de l'appréciation de ce film n'est qu'un ennui partiel.

    Pour ceux qui ont lu jusque la je sais pas ce que vous avez à faire de vos vies, force à vous trouvez un taff ptn
    Benoooo
    Benoooo

    19 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2024
    Émouvant et surprenant. On peut ajouter à cela que ce film est dépaysant. J'ai passé un très bon moment.
    NardoBordo
    NardoBordo

    12 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 février 2024
    Superbe film d’Hirokazu Kore-eda. Culture totalement japonaise, nous avons du mal, en occident, à voir les contours, la finesse. Sensibilité à fleur de peau dans ce beau décor naturel. Beaucoup de sujets sont traités, ces 2 jeunes garçons nous les font découvrir subtilement. Le poids de la tradition et de l'éducation, la famille mono parentale au Japon, le harcèlement, l'amitié cachée et rêveuse. Il en est de même sur les premiers émois, les questionnements. Le tout accompagné par le son en finesse de Ryūichi Sakamoto...
    marie M.
    marie M.

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2024
    Magnifique film original qui mérite l'attention
    L'innocence des enfants qui inventent des histoires
    Accusation d'un adulte à tort ça fait réfléchir sur le pouvoir de la parole
    Belle interprétation des jeunes acteurs
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