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    L'Innocence
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    235 critiques spectateurs

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    joelle g
    joelle g

    89 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Pas forcément férue de films asiatiques , ce sont les bonnes critiques qui m'ont convaincue....
    ....bon! Plutôt déçue à l'arrivée.
    Film trop..trop lent....qui n'a pas su me émouvoir....
    Ok je comprends le prix du meilleur scénario à Cannes , mais ça ne suffit pas....des cris et des larmes entre autre de la mère quelque peu incompréhensibles....
    Essayer de comprendre la mentalité japonaise très différente de celle des européens...
    Ce n'était pas un film pour moi....
    Aston L
    Aston L

    32 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2023
    Kore Eda signe à nouveau un immense film qui perce les secrets de l'enfance
    Plein de délicatesse et bouleversant
    Ombeline Marchon
    Ombeline Marchon

    5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Film brillant certes, bien filmé si l'on veut, intelligent oui mais ô combien alambiqué - la première heure, on ne comprend rien - et surtout... désespérément ennuyeux. Mais d'un ennui sans nom ! Amoureuse du cinéma en général, je ne publie normalement que les critiques des films que j'ai aimés, mais je n'en peux plus d'aller me fader des films pénibles sous prétexte qu'aux yeux de la critique, tout ce qui est asiatique est génial. Je suis sortie de ce film en colère, et avec la ferme intention de ne plus me faire avoir par le snobisme. J'ai tellement perdu de temps devant ce film... mais ce sera la dernière fois !
    Jean-Pierre Jumez
    Jean-Pierre Jumez

    96 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 janvier 2024
    D'habitude, je prends le contre-pied des évaluations du « masque et la plume ».
    Mais cette fois-ci, les éloges était tels que j'ai craqué.
    MY GOD!!!
    Film décousu, lent, inintéressant.
    On ne m'y reprendra plus...
    Titille13
    Titille13

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Scénario très bien construit
    Sujet délicat qui est vu avec beaucoup de poésie. J’ai été vraiment surprise À voir
    A H
    A H

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2023
    Un film bien construit, remarquable d'intelligence et de finesse qui veut rendre le monde un peu moins intolérant.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2023
    "Un enfant aux yeux de lumière est-il à secourir ou à redouter ? S’il est réellement le "Monster" que tout le monde décrit, ne s’inscrit-il pas dans le cercle vicieux de nos parents, nos aïeux, nos amis, nos amours ? Ce brillant retour d’Hirokazu Kore-eda sur la Croisette vient nous éclairer sur ces différents points de vue."

    "C’est avec un esprit clairvoyant que Kore-eda nous invite dans la pénombre. Mais pour ne pas perdre son audience dans ce décor semi-bétonné et semi-rural, il prend soin de nous guider aux couleurs de l’incendie, vers lequel tous les protagonistes se tournent sans pour autant distinguer ce mal qui va profondément les atteindre. On retrouvera tout ce qui fait la noblesse de ces grands auteurs, en mêlant intimement le drame familial à la délinquance juvénile, une aire de jeu qui ne demande qu’à être remplie, avant de faire chuter le premier domino sur le suivant."

    "Et n’oublions pas de citer Ryūichi Sakamoto, dont les partitions de Furyo et du Dernier Empereur restent emblématiques après sa récente disparition il y a deux mois. Si le cancer a emporté sa vie, sa musique et son esprit traversent ce film avec une tendresse stupéfiante. L’image est d’autant plus sublimée par les petites notes qu’il pianote, tel un parent qui encourage les jeunes héros à trouver leur voie, malgré l’adversité et malgré l’image de créatures hideuses qu’ils renvoient. L'Innocence (Monster) d’Hirokazu Kore-eda est assurément le coup de foudre dont on a besoin, qu’il convient de chérir le plus longtemps possible et qui ouvre la compétition cannoise avec une sensibilité qui va droit au cœur."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    garnierix
    garnierix

    231 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2024
    Quand on n'est pas sûr d'avoir tout compris en sortant d'un cinéma, on se dit que le film a des défauts (en général, on n'est pas enclin à reconnaître qu'on peut être soi-même la cause du problème). Le film serait donc mal ficelé, et c'est forcément la faute au réalisateur, qui a compliqué les choses...
    C'est un fait, c'est un film complexe. Dans sa forme, et dans son contenu, à la fois. Complexe comme l'est d'ailleurs l'être humain et sa psychologie. Encore plus complexe que ça : comme l'est l'enfant. Mais aussi comme peut l'être une enquête policière, ou la justice à rendre, surtout. Et finalement, encore un peu plus quand ça se passe au Japon ! - Le pays de la politesse, des courbettes, de la discrétion... qui parfois nous semble compassé.

    L'histoire n'a pas vraiment un début et une fin (elle est pourtant revisitée, diversement, par des flashbacks) ; elle n'a pas non plus de personnages principaux et de personnages secondaires (tous les personnages finissent par devenir principaux). Et pourtant, l'histoire est palpitante, surprenante ; il y a un véritable suspense, il y a beaucoup d'émotions, qui réveillent en nous de la compassion, de la colère, de l'incompréhension (justement) - pas une seconde n'est comique ou relaxante. On est fatigué d'être subjugué, en quelque sorte...

    C'est un film philosophique. On ne compte pas les propos dignes d'être encadrés, de figurer au-dessus de la cheminée ou sur un fronton. Même s'il faut du temps pour les digérer. D'ailleurs la difficulté se loge jusque dans le titre ("monstre" au festival de Cannes, "l'innocence" maintenant - quel rapport ? et pourtant il y en a un).

    C'est un film militant aussi, qui dénonce le conformisme de tous, l'irrespect envers l'autre, quel que soit l'âge. Avec une petite déclinaison pour la société japonaise (le recours à l'alcool, le "bar à hôtesses", la délicatesse...). Militant et courageux (on n'imagine pas, au cinéma ou dans la vie, un gamin avouer qu'il est amoureux d'un autre).

    A.G.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2023
    L'innocence n'a pas la puissance des grands films de Kore-eda. On est assez loin des bouleversants et passionnants Nobody Knows ou une affaire de famille. Or le gros problème du film est ce qui lui a valu un prix à Cannes, c'est-à-dire son scénario. En multipliant les points de vue et les retours en arrière, Kore-eda empêche l'émotion d'affleurer tout en sacrifiant l'axe narratif de certains personnages. Si le propos du film est louable et que certaines scènes sont d'une grande poésie, on aurait préféré un autre traitement que celui proposé par le cinéaste. Kore-eda filmé cependant toujours aussi bien l'enfance n'omettant ni la tendresse ni la cruauté et réussit néanmoins brillamment le récit d'une amitié amoureuse. Bref, un Kore-eda mineur mais non dénué de la beauté qui caractérise son cinéma.
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 379 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2024
    La récompense est à la hauteur de la patiente que demande ce film. La succession des points de vue illustre à quelle point la vérité est fragile, l’opinion malléable, les enfants cruels entre eux, les adultes parfois imperméables à leur mal-être, leurs sentiments et leur véritable nature. Le procédé est classique mais sa mise en œuvre remarquable de même que la réalisation
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 décembre 2023
    La même histoire vue à travers el regard de différents protagonistes, c'est l'option choisie par le cinéaste japonais Kore-Eda pour raconter son nouveau film, option certes pas nouvelle mais toujours originale et indéniablement efficace. La dernière partie se révèle la plus passionnante car le cinéaste aborde enfin le sujet qu'il nous cache depuis le début et l'on a le sentiment que certaines scènes ne sont pas vraiment utiles et l'on se concentre sur des personnages finalement totalement étrangers au propos essentiel. Le film présenté à Cannes est finalement reparti avec le pris du scénario car le professionnalisme du cinéaste a su le mettre en valeur et atténué ses défauts cités plus hauts. Au global, le film est effectivement de belle tenue et mérite le détour. A noter enfin la très belle BO de Sakamoto, une de ses dernières, sinon la dernière !
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2024
    Kore-Eda revenu au Japon reprend son exploration, toujours tout en délicatesse, des drames internes familiaux, et en particulier ceux de l'enfance.
    Le scénario n'est pas de lui, et prend une place prépondérante du moins dans un premier temps. L'exposé de la situation dans cette école primaire est très progressive, on serait presque à trouver le temps long, quoique rapidement on pressent des fêlures dans certains des nombreux protagonistes, telle cette directrice nettoyant consciencieusement le sol de son école ??
    L'ambivalence entre le titre français et celui original Monstre en japonais n'est pas que l'expression d'une différence de culture entre les différents publics ou le caprice des distributeurs. Il se trouve également que le film embraye rapidement sur la voie ouverte par Kurosawa, dans Rashomon. La même scène vue par différents protagonistes ne raconte pas obligatoirement la même histoire. Le procédé existait également dans le triptyque de Lucas Belvaux, Un couple épatant/Cavale/Après la vie.
    Kore-Eda pour sa part ouvre la porte sur le hors champ et reprend le récit de l'enchainement des situations entre les enfants et le maitre, ainsi qu'entre les enfants eux-mêmes.
    Un peu perdu sur le coup, le spectateur doit se laisser porter vers la une troisième partie centrée sur les enfants, essentiellement deux garçons qui se sentant exclus trouvent la ressource de se rapprocher en se réfugiant dans leur wagon secret. spoiler: Avec une très fine allusion sur l'éveil du sentiment amoureux, pas obligatoirement sexué à cet âge ( voir Past lives).

    Les adultes règlent leurs comptes entre eux, à force de cacher la part de monstre qui peut se tapir en certains d'entre eux. Ni l'incendie , ni la tornade ne sauront exorciser leurs dérives.
    spoiler: L'image finale laisse la porte ouverte à une possible réincarnation plutôt qu'une improbable survie. Idem concernant la ballade du prof Hiro sur le bord du toit.

    On ressort riche de questions, dans ce mélange de situations universelles, mais gardant néanmoins leur saveur très japonaise.
    Un film aux multiples facettes que l'on doit certainement mieux explorer lors d'une prochaine revisite.
    cinéma vo - janvier 2024
    Gérard B.
    Gérard B.

    4 abonnés 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2024
    Les trois périodes sont tellement caricaturales que le scénario perd toute sa crédibilité. On a du mal à s'attacher aux personnages si bien que l'on peut s'endormir à certains moments, mais le réveil est assuré par la musique.
    Montet Evelyne
    Montet Evelyne

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2024
    Je suis allée voir ce film car il bénéficiait d’une très bonne critique aussi bien de la presse que des spectateurs et j’ai été très déçue. Je me suis ennuyée pendant 2 heures. Ce film est lent et le scénario alambiqué. De plus je n’ai pas aimé la façon très réaliste du tournage de « l’innocence ». J’ai résisté à l’envie de sortir de la salle de cinéma avant la fin du film tellement je me suis ennuyée. Je ne recommande pas du tout ce film.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2024
    « Ce qui s'est réellement passé n'a aucune importance. » Au moment où cette phrase est prononcée, cette parole fait l'effet d'une bombe. Un signe d'abandon comme si l'image donnée était plus importante que les faits. Cependant, Hirokazu Kore-eda ne s'arrête pas là et nous raconte cette histoire à travers différents points de vue, ce qui va tout changer... C'est le véritable coup de force du réalisateur japonais puisque chaque point de vue apporte une lecture différente que soit sur l'éducation, la scolarité, le harcèlement scolaire, la solitude, la monoparentalité, l'éveil émotionnel et tout ce qui est abordé dans ce film très riche en thèmes et en perspectives qui met en garde contre les interprétations subjectives et les préjugés. On passe d'un film révoltant sur les failles d'un système scolaire à un magnifique conte sur l'innocence et la vulnérabilité de l'enfance. Bref, un très bon film à la fois remarquablement bien écrit et incarné.
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