Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda signe une œuvre forte, à la fois sophistiquée et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Il faudra attendre la fin de "L’Innocence" et un troisième et magnifique segment dédié à ses deux jeunes protagonistes pour enfin accéder au secret du récit, et peut-être au secret d’une œuvre et d’un cinéaste qui n’a cessé d’être travaillé par la question de la marge et du rejet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Un film-aimant, magistral et pluvieux, qui n'épargne aucun faux-semblant de la société japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Michel Oriot
Kore-eda, observateur sensible de l'enfance et de la famille, construit un film social mêlant les points de vue, tel Akira Kurosawa dans "Rashômon".
Positif
par Frédéric Mercier
Le spectacle de "L'Innocence", c’est la maîtrise absolue de son auteur, d’une puissance discrète mais qui abasourdit.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L'Innocence se pare inconsciemment de puissants atours méta en assumant sa nature manipulatrice, qu'il partage avec le cinéma lui-même.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un labyrinthe narratif truffé de fausses pistes et de faux-semblants, où il serait facile de se perdre et de se faire des nœuds au cerveau, Hirokazu Kore-eda, dont c’est le 16e long-métrage, tient fermement le cap d’un drame captivant sur l’enfance, remarquablement rigoureux.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Quand Kore-Eda et Sakamoto s'emparent du fameux effet "Rashōmon", c'est pour raconter la désynchronisation de leurs personnages. Dit comme ça, c'est très technique mais "L'Innocence" est avant tout un précipité de sensibilité et d'empathie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une intrigue humaniste.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Rien d'étonnant que ce film ait décroché la palme d'or du scénario à Cannes.
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Avec "l’Innocence", Hirokazu Kore-eda aborde les émois contrariés de deux garçons dans le Japon contemporain et poursuit d’une main de maître son exploration des récits à vérités multiples.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
[...] une grâce et une émotion grandissant à mesure que les gamins s’emparent du récit et que la musique pointilliste de Ryuichi Sakamoto parle pour eux.
LCI
par Jérôme Vermelin
L’un des plus beaux films du dernier Festival de Cannes sort aux dernières heures de 2023… et il serait criminel de passer à côté !
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
"L’Innocence" dépeint avec finesse la cruauté de l’enfance et la rigidité de la société japonaise. Le tout servi par une mise en scène virtuose, qui fait atteindre à ce bijou un rare degré de perfection.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Film somme, le plus personnel de son auteur.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La structure non linéaire adoptée par le scénariste pourrait sembler inutilement alambiquée ; elle aiguise au contraire la curiosité.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Françoise Dargent
Déroutant mais subtil.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] le choix de raconter l’histoire du point de vue de plusieurs personnages [...] permet de dévoiler une réalité beaucoup plus complexe et bouleversante : les effets délétères des réseaux sociaux, l’éveil aux émotions sexuelles et l’homophobie latente.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Une fois de plus, Kore-eda signe un film parfaitement maîtrisé et raconte une histoire d’amitié bouleversante entre deux enfants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Avec cette chronique où s'entremêlent le monde austère des adultes et celui imaginaire des enfants, Kore-eda nous entraîne avec beaucoup de naturel et de poésie dans une sorte d'ailleurs lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste, malgré une dernière partie où il cède malheureusement à son penchant coupable pour le sentimentalisme, nous surprend avec une « Innocence » synonyme de renouvellement.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Kore-eda se fait une nouvelle fois le porte-parole d’une enfance livrée à elle-même avec ce beau drame.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Bien plus inspiré que dans sa dernière fiction tournée en Corée du Sud ("Les bonnes étoiles"), Kore-eda dresse un portrait incisif du Japon contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Plus que la construction implacable du récit, c’est la mise en scène qui émerveille, la douceur avec laquelle Hirokazu Kore-eda nous prend par la main pour raconter la dureté de la société japonaise contre ceux qui ne rentrent pas dans le cadre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Hirokazu Kore-Eda raconte les mystères de l'enfance comme un suspense policier, dans un film à la structure alambiquée, mais qui finit par bouleverser.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par S.R.
L’Innocence, bien nommé Monster en japonais, interroge la complexité de l’enfance comme le système social nippon avec une distante ironie, offrant également des respirations végétales d’une grande beauté visuelle.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Kore-eda multiplie les perspectives avec grâce et fluidité. Il saisit une clé de l’adolescence : elle reste un mystère indéchiffrable.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Au-delà de l'argument dénonçant l'intolérance institutionnelle, ce qui émerveille de bout en bout, c'est l'absolue maîtrise d'un metteur en scène au sommet de sa puissance expressive.
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Ce drame porté par les regards et les non-dits doit beaucoup aux interprétations puissantes et justes de tous ses interprètes, les plus aguerris comme les plus jeunes.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Hirokazu Kore-Eda fait une nouvelle fois la démonstration de son irrésistible talent de conteur au cinéma à travers ce triptyque mystérieux et troublant sur l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
[...] le réalisateur brode autour de cette ligne centrale une mise en scène qui en opacifie le motif et qui fait se succéder une suite de récits qui se contredisent et s’enrichissent avant d’offrir une image plus pérenne de la réalité que nous dévoile le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Louis Guichard
Ce n’est peut-être pas sa contribution la plus mémorable, ni le meilleur film de Hirokazu Kore-eda. Mais il y a, dans "L’Innocence", un élégant geste d’empathie et d’identification.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Le film ne lésine pas sur la prestidigitation : chaque recoin du décor, chaque accessoire, chaque réplique seront revisités, changeront de forme sous vos yeux ébahis. Le problème, c’est que depuis le début un bout du lapin dépasse.
Critikat.com
par Josué Morel
Kore-eda s’en tient à une stratégie narrative roublarde et artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si le réalisateur japonais a toutes les raisons de teinter de gravité l’enfance, son approche par trop intellectuelle risque de perdre une partie des spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Sandra Onana
Mais en maquillant son intrigue en labyrinthes, multipliant les allers-retours et fausses pistes superflues, Kore-eda finit par épuiser la croyance que l’on a bien voulu investir en son récit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Voix du Nord
Le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda signe une œuvre forte, à la fois sophistiquée et bouleversante.
Les Inrockuptibles
Il faudra attendre la fin de "L’Innocence" et un troisième et magnifique segment dédié à ses deux jeunes protagonistes pour enfin accéder au secret du récit, et peut-être au secret d’une œuvre et d’un cinéaste qui n’a cessé d’être travaillé par la question de la marge et du rejet.
Marie Claire
Un film-aimant, magistral et pluvieux, qui n'épargne aucun faux-semblant de la société japonaise.
Ouest France
Kore-eda, observateur sensible de l'enfance et de la famille, construit un film social mêlant les points de vue, tel Akira Kurosawa dans "Rashômon".
Positif
Le spectacle de "L'Innocence", c’est la maîtrise absolue de son auteur, d’une puissance discrète mais qui abasourdit.
Bande à part
Du grand art.
CinemaTeaser
L'Innocence se pare inconsciemment de puissants atours méta en assumant sa nature manipulatrice, qu'il partage avec le cinéma lui-même.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un labyrinthe narratif truffé de fausses pistes et de faux-semblants, où il serait facile de se perdre et de se faire des nœuds au cerveau, Hirokazu Kore-eda, dont c’est le 16e long-métrage, tient fermement le cap d’un drame captivant sur l’enfance, remarquablement rigoureux.
Ecran Large
Quand Kore-Eda et Sakamoto s'emparent du fameux effet "Rashōmon", c'est pour raconter la désynchronisation de leurs personnages. Dit comme ça, c'est très technique mais "L'Innocence" est avant tout un précipité de sensibilité et d'empathie.
Elle
Une intrigue humaniste.
Femme Actuelle
Rien d'étonnant que ce film ait décroché la palme d'or du scénario à Cannes.
L'Humanité
Avec "l’Innocence", Hirokazu Kore-eda aborde les émois contrariés de deux garçons dans le Japon contemporain et poursuit d’une main de maître son exploration des récits à vérités multiples.
L'Obs
[...] une grâce et une émotion grandissant à mesure que les gamins s’emparent du récit et que la musique pointilliste de Ryuichi Sakamoto parle pour eux.
LCI
L’un des plus beaux films du dernier Festival de Cannes sort aux dernières heures de 2023… et il serait criminel de passer à côté !
La Croix
"L’Innocence" dépeint avec finesse la cruauté de l’enfance et la rigidité de la société japonaise. Le tout servi par une mise en scène virtuose, qui fait atteindre à ce bijou un rare degré de perfection.
La Septième Obsession
Film somme, le plus personnel de son auteur.
Le Dauphiné Libéré
La structure non linéaire adoptée par le scénariste pourrait sembler inutilement alambiquée ; elle aiguise au contraire la curiosité.
Le Figaro
Déroutant mais subtil.
Le Journal du Dimanche
[...] le choix de raconter l’histoire du point de vue de plusieurs personnages [...] permet de dévoiler une réalité beaucoup plus complexe et bouleversante : les effets délétères des réseaux sociaux, l’éveil aux émotions sexuelles et l’homophobie latente.
Le Parisien
Une fois de plus, Kore-eda signe un film parfaitement maîtrisé et raconte une histoire d’amitié bouleversante entre deux enfants.
Le Point
Avec cette chronique où s'entremêlent le monde austère des adultes et celui imaginaire des enfants, Kore-eda nous entraîne avec beaucoup de naturel et de poésie dans une sorte d'ailleurs lumineux.
Les Echos
Le cinéaste, malgré une dernière partie où il cède malheureusement à son penchant coupable pour le sentimentalisme, nous surprend avec une « Innocence » synonyme de renouvellement.
Les Fiches du Cinéma
Kore-eda se fait une nouvelle fois le porte-parole d’une enfance livrée à elle-même avec ce beau drame.
Marianne
Bien plus inspiré que dans sa dernière fiction tournée en Corée du Sud ("Les bonnes étoiles"), Kore-eda dresse un portrait incisif du Japon contemporain.
Paris Match
Plus que la construction implacable du récit, c’est la mise en scène qui émerveille, la douceur avec laquelle Hirokazu Kore-eda nous prend par la main pour raconter la dureté de la société japonaise contre ceux qui ne rentrent pas dans le cadre.
Première
Hirokazu Kore-Eda raconte les mystères de l'enfance comme un suspense policier, dans un film à la structure alambiquée, mais qui finit par bouleverser.
Rolling Stone
L’Innocence, bien nommé Monster en japonais, interroge la complexité de l’enfance comme le système social nippon avec une distante ironie, offrant également des respirations végétales d’une grande beauté visuelle.
Sud Ouest
Kore-eda multiplie les perspectives avec grâce et fluidité. Il saisit une clé de l’adolescence : elle reste un mystère indéchiffrable.
Transfuge
Au-delà de l'argument dénonçant l'intolérance institutionnelle, ce qui émerveille de bout en bout, c'est l'absolue maîtrise d'un metteur en scène au sommet de sa puissance expressive.
Télé 2 semaines
Ce drame porté par les regards et les non-dits doit beaucoup aux interprétations puissantes et justes de tous ses interprètes, les plus aguerris comme les plus jeunes.
aVoir-aLire.com
Hirokazu Kore-Eda fait une nouvelle fois la démonstration de son irrésistible talent de conteur au cinéma à travers ce triptyque mystérieux et troublant sur l’adolescence.
Le Monde
[...] le réalisateur brode autour de cette ligne centrale une mise en scène qui en opacifie le motif et qui fait se succéder une suite de récits qui se contredisent et s’enrichissent avant d’offrir une image plus pérenne de la réalité que nous dévoile le film.
Télérama
Ce n’est peut-être pas sa contribution la plus mémorable, ni le meilleur film de Hirokazu Kore-eda. Mais il y a, dans "L’Innocence", un élégant geste d’empathie et d’identification.
Cahiers du Cinéma
Le film ne lésine pas sur la prestidigitation : chaque recoin du décor, chaque accessoire, chaque réplique seront revisités, changeront de forme sous vos yeux ébahis. Le problème, c’est que depuis le début un bout du lapin dépasse.
Critikat.com
Kore-eda s’en tient à une stratégie narrative roublarde et artificielle.
Franceinfo Culture
Si le réalisateur japonais a toutes les raisons de teinter de gravité l’enfance, son approche par trop intellectuelle risque de perdre une partie des spectateurs.
Libération
Mais en maquillant son intrigue en labyrinthes, multipliant les allers-retours et fausses pistes superflues, Kore-eda finit par épuiser la croyance que l’on a bien voulu investir en son récit.