Troisième adaptation du roman de Balzac, cette fois c'est Dombasle qui s'y colle. Bien lui en a pris puisqu'elle nous offre son film le plus abordable.Costumes aux couleurs chatoyantes qui éblouissent la photographie, musiques anachroniques, Balzac observant ses personnages vivre...les idées ne manquent pas, même si le manque de moyens se fait ressentir au niveau des décors. Le plaisir du spectateur est bien là, malgré une caméra à l'épaule souvent insupportable. Bon, on ne peut évidemment pas empêcher à Dombasle de faire du Dombasle ( minauder, soupirer, prendre toute la couette, pousser la chansonnette...) mais ce film est une bonne surprise. Un petit détail sans importance, comment Dombasle fait-elle, sur l'affiche, pour tenir sa cigarette de la main droite au bout de son bras gauche..?! Le mystère des actrices est décidément immense !
La nouvelle de Balzac, dont est tiré le film, est raffinée, brillante et subtile. Tout ce que n'est pas cette adaptation, qui ressemble plus à un vieux téléfilm des années 80. C'est mal joué, les images, les costumes sont kitschs et laids et par moment, on se croirait dans une parodie "des nuls", tellement Arielle Dombasle minaude. Elle est de tout les plans, on dirait un clip ou une publicité et bien entendu, elle réussit à nous glisser de loooongs et pénibles morceaux où elle chante ! Je croyais qu'il n'y avait qu'Isabelle Adjani pour s'obstiner, à la soixantaine passée, à jouer des trentenaires, mais non ;-) Seuls points positifs : Julie Depardieu est parfaite en Marquise d'Espart
J apprécie d habitude les petits films, expérimental, à petit budget, mais celui ci il est totalement rate, qui aurait pu avoir son charme, mais force est de constater qu il est trop perché, avec des prestations hasardeuses de ses comédiens, pourtant une bonne distribution. Reprendre une nouvelle de Balzac, il faut avoir de l audace, cela me plaît mais quel déroute, et même parfois un peu trop de pretention avec une mise en scène totalement foutraque. Un film à oublier
De façon inattendue, ce n'est pas mauvais. La volonté de rendre hommage à Balzac inspire de la sympathie. Le film se tient à peu près, mais souffre d'un gros problème de crédibilité du rôle principal, c'est très dommage.
Un film démesuré à son image, on se demande par qui de la Princesse de Cardignan ou d'Arielle Dombasle est inspiré le personnage. Une femme moderne pour cette trouble époque, où les hommes ne sont que des faire-valoir. Extravagante, mais raffinée. Sensuelle mais jamais vulgaire, faire chavirer le cœurs des hommes, n'est pas son affaire. Artificielle est la beauté qui s'efface sur les corps des femmes. Malgré les temps anciens, les fastueux décors, la bourgeoisie délinquante et clinquante, le thème de ce film est très actuel. spoiler: Rien que la la scène de comparaison des mamelons de ces nobles dames est tout adorable en charme. Une note 3.02 sur 5 pour une actrice, une princesse, hors normes à la fois précieuse et fatale.
Trop long court film, le décorum et casting ne suffisent pas à faire passer cet ovni cinématographique, sa réalisation étrange par moment ne m a permis d accrocher, les dialogues qui tombent à plat interprété par des acteurs - qui se regardent le nombril -finissent par nous achever. Trop bizarre pour moi
Quel mauvais carnaval! Quelle mascarade! Un maniérisme exacerbé à nous donner une indigestion de toilettes et de costumes aux couleurs appuyées! DOMBASLE ne dirige aucun acteur, et arrive même à les aligner sur son propre jeu, d'une affligeante médiocrité théâtrale... FAU tire son épingle du jeu, car son rôle d'observateur est tellement décalé qu'il échappe à la bérézina collective. Heureusement que le film n'est pas long!
En adaptant une nouvelle d’Honoré de Balzac, Arielle Dombasle se fait un petit plaisir à la fois derrière et devant la caméra puisqu'elle incarne elle-même cette croqueuse d’hommes vénale. Un délire égotrip probablement trop couteux, et ce peu importe le prix de cette production. Si les costumes et les décors sont plutôt agréables à l'œil, on ne peut pas en dire autant du reste... On a eu droit à la série "Martine" et bien c'est la même chose ici avec Arielle à cheval, en tenue de soirée, s'envoie en l'air, compare ses seins avec une amie, va à l'opéra, apprécie un café-crème et ainsi de suite... On dirait un délire d'actrice-réalisatrice et ça ne va pas plus loin. On rigole, on se moque un bon gros quart d'heure puis on s'ennuie fermement le reste du temps devant ces saynètes sans énergie ou émotion. Bref, une adaptation assez théâtrale et très kitsch qui donne un film sans grand intérêt.
Film démodé au script sans intérêt, que j'ai eu un mal fou à suivre jusqu'à la fin, et dont les mouvements de caméras excessifs donnent mal à la tête...
A. Dombasle fait du Dombasle c'est à dire mal joué, ampoulé, creux - il n'y a rien a faire, elle est mauvaise, elle devrait le savoir, mais elle continue ... c'est navrant !
Fan de Dombasle, j'ai été très déçu par ce "film", qui ressemble plus à un mauvais clip qu'à un film... Comment peut-on en 2023, sortir un tel ovni au cinéma ? J'ai été trompé par la promo tv, notamment sur France 5 dans C'est à vous où les journalistes en plateau n'ont eu de cesse de nous vanter un grand film. Hélas, ce n'est pas un grand film. Seule bonne note pour Michel Fau.
Depuis des décennies, Arielle Dombasle trace un parcours ambitieux, déjanté mais raffiné. Totalement parisienne, en assumant tous les travers de cette posture, Dombasle nous livre cette fois une fantaisie cinématographique soignée, adaptée de deux nouvelles de Balzac. Malgré un budget maigrelet, l'artiste fait illusion et réalise un film intéressant mais qui manque de souffle. Arielle Dombasle joue tellement mal qu'elle en devient touchante.