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RedArrow
Il y a trois ans, des explosions soudaines ont provoqué des gouffres sur Terre dont des bestioles géantes et invincibles à nos armes (des sortes de fourmis-dragons à tentacules... oui, oui et vous vous direz même "Il n'avait pas tort, ce bougre !", vous verrez) sont sorties pour éliminer 95% de l'humanité. Par chance pour notre espèce, celles-ci ont inexplicablement l'incapacité de survivre au-delà de 8000 pieds d'altitude (pas 7999 ou 8001, non, 8000 tout rond !), le population restante s'est donc réfugiée rapidement sur les hauteurs des États-Unis pour vivre en communautés isolées.
Au sein de l'une d'entre elles, dans le Colorado, le père d'un fils malade, à court de filtres pour l'appareil respiratoire de ce dernier, décide d'entreprendre un dangereux périple le faisant passer en dessous de cette altitude fatale avec deux comparses, une scientifique obsédée par l'idée de trouver un moyen d'en finir avec ces bébêtes et une jeune chasseuse intrépide...
Amateurs de série B post-apo avec gros monstres menaçants à clé, "Elevation" est fait pour vous ! Non pas que le film de George Nolfi ("L'Agence") ait la volonté de bousculer les codes du genre pour vous offrir une proposition follement innovante en ce domaine mais il a au moins le mérite d'utiliser son principe de survie en haute altitude de manière efficace pour emballer quelques séquences haletantes.
En effet, privé d'un dispositif clairement pas aussi fort qu'une privation de sens fondamental comme dans un "Sans un Bruit" par exemple, "Elevation" a beaucoup de mal à transcender son écrin classique de contexte post-apo avec ses objectifs rudimentaires, ses protagonistes attendus ou ses péripéties poussant toujours plus à maximiser facilement la venue des bestioles aux alentours. Cependant, soutenu par son trio d'acteurs qui y apporte un supplément d'âme, de bonnes idées contextuelles pour diversifier/mettre en scène les diverses attaques ou le caractère supposé invincible des créatures enveloppant ses héros d'une aura de désespoir supplémentaire, "Elevation" parvient à éviter toute once d'ennui durant son format de 90 minutes, délivrant un spectacle qui, s'il n'atteint jamais les sommets que son titre pourrait lui réserver, remplit son office de petite série B divertissante du samedi soir. Ni plus, ni moins.
Au sein de l'une d'entre elles, dans le Colorado, le père d'un fils malade, à court de filtres pour l'appareil respiratoire de ce dernier, décide d'entreprendre un dangereux périple le faisant passer en dessous de cette altitude fatale avec deux comparses, une scientifique obsédée par l'idée de trouver un moyen d'en finir avec ces bébêtes et une jeune chasseuse intrépide...
Amateurs de série B post-apo avec gros monstres menaçants à clé, "Elevation" est fait pour vous ! Non pas que le film de George Nolfi ("L'Agence") ait la volonté de bousculer les codes du genre pour vous offrir une proposition follement innovante en ce domaine mais il a au moins le mérite d'utiliser son principe de survie en haute altitude de manière efficace pour emballer quelques séquences haletantes.
En effet, privé d'un dispositif clairement pas aussi fort qu'une privation de sens fondamental comme dans un "Sans un Bruit" par exemple, "Elevation" a beaucoup de mal à transcender son écrin classique de contexte post-apo avec ses objectifs rudimentaires, ses protagonistes attendus ou ses péripéties poussant toujours plus à maximiser facilement la venue des bestioles aux alentours. Cependant, soutenu par son trio d'acteurs qui y apporte un supplément d'âme, de bonnes idées contextuelles pour diversifier/mettre en scène les diverses attaques ou le caractère supposé invincible des créatures enveloppant ses héros d'une aura de désespoir supplémentaire, "Elevation" parvient à éviter toute once d'ennui durant son format de 90 minutes, délivrant un spectacle qui, s'il n'atteint jamais les sommets que son titre pourrait lui réserver, remplit son office de petite série B divertissante du samedi soir. Ni plus, ni moins.
FaRem
Après que des créatures ont anéanti une grande partie de la population, certaines personnes ont survécu en se réfugiant à une certaine altitude que ces bestioles ne supportent pas. Les survivants s'organisent, mais manquent de certaines choses, ce qui oblige Will à descendre pour chercher un médicament pour son fils. Si la prémisse est "différente", je ne vois pas ce que ce détail apporte concrètement à l'histoire. "Elevation" ressemble à n'importe quel film de créatures et l'expérience n'est vraiment pas très palpitante. Une quête artificielle qui n'apporte aucune réponse et qui ne suscite pas non plus d'intérêt tant l'écriture est générique et les affrontements rares. Le casting est correct, mais tout le reste est bancal et même pas un peu divertissant.
Ça ne vole pas très haut, ni très bas d’ailleurs. Ça se laisse juste regarder. C’est un film qui s’oublie immédiatement.
Les quelques têtes connues ne peuvent sauver ce fiasco. On croirait le premier film entièrement écrit par IA. C'est nul ! Les effets spéciaux sont partout, on en vient à se demander si les décors montagneux sont réels.
On passe un bon moment, c'est un bon film. Nous espérons avoir une suite. Le scénario est classique mais il fonctionne
Je vous trouve sévères avec 2,5 de moyenne.
On n'est pas obligé d'avoir à chaque fois des chefs d'oeuvres. Un bon scénario et des effets qui tiennent la route suffisent à distraire. L'intrigue des 2500 m de límites, même si tirées par les cheveux, n'a jamais été vu donc pour ça, je mets 4 pour l'audace et la prise de risque scénaristique.
On n'est pas obligé d'avoir à chaque fois des chefs d'oeuvres. Un bon scénario et des effets qui tiennent la route suffisent à distraire. L'intrigue des 2500 m de límites, même si tirées par les cheveux, n'a jamais été vu donc pour ça, je mets 4 pour l'audace et la prise de risque scénaristique.
je n'attendais pas grand chose de ce petit film de SF. Néanmoins le suspens est intéressant et les effets spéciaux sont propres. Un film à regarder sass attendre un chef d 'oeuvre avec un scénario cousu de fil blanc
Alors je l'ai regardé hier je l'ai trouvé très bien j'ai lu un commentaire, et les gens non pas écouter ou mal compris ce n'est pas des bête mais des drones intelligent piloté par autre choses qui ce trouve dans l'espace proche pour ma part je trouve l'histoire intéressant la seule chose ou j'ai été déçu c'est qu'ils dure juste une heure vingt, ce film aurait pu duré deux heures sans problème
Vue au cinéma aux USA. Un film qui joue sur l'ambiance, les bestioles sont en effet bien enterrées, on ne les voit pas trop. Correct comme divertissement.
Vu en avant première.
L'idée n'était pas mal, la chute est bien. Mais dans l'ensemble le film est extrêmement plat.
A éviter si vous avez mieux à faire.
L'idée n'était pas mal, la chute est bien. Mais dans l'ensemble le film est extrêmement plat.
A éviter si vous avez mieux à faire.
"Elevation" est un film que je n'ai pas énormément apprécié. L'histoire est très sympa et prenante. Par contre les personnages complètement affreux et un peu abrutis. Les dialogues sont affligeants et une facilité scénariste à certains moments du film. Après les scènes d'action sont dans l'ensemble bien réussies et les effets spéciaux sont bien faits.
Vraiment trop long pour rien c'est dommage en vraie mais sinon ca peut passer sur la trame du scénario mais attention
Un point A et un point B à relier avec des creatures à eviter. Puis en 1 h on arrive à tuer les "bebetes" et sauver l'humanité. Aucune profondeur, peu de dialogues, bref, un navet total à fuir ...
Vu à Montréal.
On n’était pas vraiment totalement confiant avant d’entamer cette série B sortie en catimini aux États-Unis le mois dernier, annulée au Québec et dont la seule fenêtre de tir pour une sortie française semble être la VOD. De son pitch avec ses monstres sortis des entrailles de la terre à son contexte postapocalyptique en passant par son casting de seconds couteaux et son réalisateur à priori inconnu, ne nous inspirait guère confiance. Mais comme quoi il ne faut pas juger un livre à sa couverture ou comme l’illustre adage « l’habit ne fait pas le moine » le laisse entendre, « Elevation » est finalement bien plus réussi et surprenant que ce qu’il laissait croire de prime abord. Déjà, George Nolfi avait réalisé le très sympathique et original thriller « L’Agence » il y a quinze ans avec Matt Damon ainsi que le méconnu, inédit en salles mais très apprécié « The Banker » avec Samuel L. Jackson, Nicholas Hoult et déjà Anthony Mackie réunis pour l’adaptation d’une incroyable histoire vraie. Un film sacrifié à cause des mesures sanitaires mais qui a eu droit à un excellent petit bouche-à-oreille chez les initiés. Ensuite, le casting composé de Mackie, qui peut être autre chose qu’un acteur Marvel comme il nous le rappelle ici, associé à une autre actrice de la firme, Morena Baccarain (la saga « Deadpool »), s’avère loin d’être une distribution de seconde zone. Et si l’histoire nous convie effectivement à une série B, celle-ci est très propre sur tous les points et terriblement efficace... Voilà donc plutôt une bonne surprise.
On sent et on sait que le budget ne devait pas être conséquent mais, en connaissance de cause, Nolfi ménage ses effets. On ne verra pas les bêtes qui feront tout le sel et le côté spectaculaire du film avant une bon tiers de la projection permettant de bien introduire le concept et les personnages sans pour autant traîner la patte et nous rendre impatients. Mais en dépit du manque de moyens, celles-ci sont très bien faites laissant découvrir des effets spéciaux de qualité avec quatre scènes d’attaques toutes spectaculaires et bien orchestrées. Le cadre des Rocky Mountains du Colorado avec tous les survivants vivant dans les hauteurs, puisque les bestioles ne tolèrent pas l’altitude, est original et bien exploité. On pense un peu aux séries B de luxe au même type de concept tels que « Sans un bruit » ou encore « Birdbox » puisqu’ici c’est le CO2 qui les attire en remplacement du bruit ou de la vue. Certes moins mémorable et impressionnant que ces modèles, en plus d’être doté d’un script assez basique et linéaire, « Elevation » n’en demeure pas moins un bon petit moment de détente sans accrocs. Les acteurs jouent bien et on a tenté de leur offrir des rôles pas trop caricaturaux et plus profonds qu’à l’accoutumée ainsi que des situations crédibles avec des réactions logiques, ce qui n’est pas si courant. On regrettera peut-être que la fin ouvre cet univers avec ambition vers la pure science-fiction mais nous laisse conséquemment sur un goût de trop peu frustrant et cela malgré une séquence finale du meilleur effet laissant la porte ouverte à une suite.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
On n’était pas vraiment totalement confiant avant d’entamer cette série B sortie en catimini aux États-Unis le mois dernier, annulée au Québec et dont la seule fenêtre de tir pour une sortie française semble être la VOD. De son pitch avec ses monstres sortis des entrailles de la terre à son contexte postapocalyptique en passant par son casting de seconds couteaux et son réalisateur à priori inconnu, ne nous inspirait guère confiance. Mais comme quoi il ne faut pas juger un livre à sa couverture ou comme l’illustre adage « l’habit ne fait pas le moine » le laisse entendre, « Elevation » est finalement bien plus réussi et surprenant que ce qu’il laissait croire de prime abord. Déjà, George Nolfi avait réalisé le très sympathique et original thriller « L’Agence » il y a quinze ans avec Matt Damon ainsi que le méconnu, inédit en salles mais très apprécié « The Banker » avec Samuel L. Jackson, Nicholas Hoult et déjà Anthony Mackie réunis pour l’adaptation d’une incroyable histoire vraie. Un film sacrifié à cause des mesures sanitaires mais qui a eu droit à un excellent petit bouche-à-oreille chez les initiés. Ensuite, le casting composé de Mackie, qui peut être autre chose qu’un acteur Marvel comme il nous le rappelle ici, associé à une autre actrice de la firme, Morena Baccarain (la saga « Deadpool »), s’avère loin d’être une distribution de seconde zone. Et si l’histoire nous convie effectivement à une série B, celle-ci est très propre sur tous les points et terriblement efficace... Voilà donc plutôt une bonne surprise.
On sent et on sait que le budget ne devait pas être conséquent mais, en connaissance de cause, Nolfi ménage ses effets. On ne verra pas les bêtes qui feront tout le sel et le côté spectaculaire du film avant une bon tiers de la projection permettant de bien introduire le concept et les personnages sans pour autant traîner la patte et nous rendre impatients. Mais en dépit du manque de moyens, celles-ci sont très bien faites laissant découvrir des effets spéciaux de qualité avec quatre scènes d’attaques toutes spectaculaires et bien orchestrées. Le cadre des Rocky Mountains du Colorado avec tous les survivants vivant dans les hauteurs, puisque les bestioles ne tolèrent pas l’altitude, est original et bien exploité. On pense un peu aux séries B de luxe au même type de concept tels que « Sans un bruit » ou encore « Birdbox » puisqu’ici c’est le CO2 qui les attire en remplacement du bruit ou de la vue. Certes moins mémorable et impressionnant que ces modèles, en plus d’être doté d’un script assez basique et linéaire, « Elevation » n’en demeure pas moins un bon petit moment de détente sans accrocs. Les acteurs jouent bien et on a tenté de leur offrir des rôles pas trop caricaturaux et plus profonds qu’à l’accoutumée ainsi que des situations crédibles avec des réactions logiques, ce qui n’est pas si courant. On regrettera peut-être que la fin ouvre cet univers avec ambition vers la pure science-fiction mais nous laisse conséquemment sur un goût de trop peu frustrant et cela malgré une séquence finale du meilleur effet laissant la porte ouverte à une suite.
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Pas mauvais. L'idée est pas mal même si il y a quelques incohérences. Malgré des longueurs par moment, le film se regarde facilement.
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