Votre avis sur Grimcutty : l'enfer des réseaux ?
2,0
Publiée le 13 octobre 2022
La seule chose qui m'a donné des frissons dans ce film d'horreur ce sont les passages où l'héroïne fait de l'ASMR.
2,5
Publiée le 11 octobre 2022
Alors qu'elle a abandonné ses activités sportives pour se consacrer pleinement à ses vidéos ASMR, Asha voit soudain sa vie de néo-influenceuse bouleversée par un mystérieux challenge où la figure de Grimcutty semble imposer des défis dangereux aux jeunes de son lycée. Se croyant à l'abri, l'adolescente est pourtant très bientôt confrontée directement à Grimcutty, un phénomène que rien ne paraît pouvoir arrêter...

À l'idée d'assister à un "Slender Man" bis en tant que long-métrage, le spectateur ne peut que s'identifier à ces jeunes tout à coup pris d'une folle envie de s'automutiler devant une nouvelle créature surnaturelle ayant fait ses armes grâce à Internet. Heureusement, sans pour autant parler de vraie réussite, "Grimcutty" repose tout de même sur des intentions un peu moins bêtes et vides que son collègue et sa silhouette anorexique de 2018, déjà oubliés dans les limbes du pire de ce que cinéma d'épouvante contemporain à offrir.

L'addiction aux réseaux sociaux & nouvelles technologies, les effets de mode de challenges aussi dangereux que stupides ou encore l'image parfois détournée de la réalité renvoyée par certains via le virtuel... "Grimcutty" se pare évidemment des thématiques récurrentes d'une telle intrigue pour dénoncer les pires dérives qui rampent derrière le confort moderne de nos sociétés. Néanmoins, le film de John Ross a la bonne idée de les mêler à un problème vieux comme le monde: la rupture que l'on observe parfois d'une génération à une autre et, surtout, ses conséquences ici poussées sous toutes ses formes vis-à-vis du lien parent/enfant. Même si le film essaie de nous en détourner dans un premier temps, nos regards se dirigent vite sur les rapports déséquilibrés de sa famille héroïne où l'éventail de maux étouffés que peut y représenter la pression parentale (le stress, des envies inconscientes de vivre par procuration, la surprotection, un manque de communication, etc) se mue en véritable incompréhension paranoïaque entre adulte et enfant dès lors que la menace apparaît en première ligne. À travers le Grimcutty et sa lame tranchante que seules ses jeunes victimes parviennent à voir, c'est en effet toute la violence de ces comportements abusifs (volontaires ou non) qui lacère la population adolescente.

Outre son concept en lui-même qui permet d'évoquer bon nombre de situations favorisant la rupture entre ces deux "mondes", "Grimcutty" se permet aussi -plutôt intelligemment d'ailleurs- d'en élargir le spectre à des éléments disséminés sur la route chargée de nous éclairer sur sa créature et son mode de fonctionnement, comme par exemple son point d'origine, parfaite extrémité dont la monstruosité s'est dissimulée sous un apparat de perfection virtuelle en vue de se propager, ou le temps d'un ultime affrontement mettant un de ces protagonistes désemparé face à la démesure de ses propres agissements.

Bref, sur sa teneur, vous l'aurez compris, "Grimcutty" n'est pas si bête qu'il en a l'air et se montre même plutôt malin pour intégrer les finalités de son propos à son concept. Par contre, là où le film marque le pas, c'est au niveau de son exécution et de son déroulement hélas trop limités.
Ainsi, malgré quelques apparitions plutôt efficaces en début de parcours (et l'intention plutôt louable d'en faire une créature au rendu "palpable"), la réalisation sans grand génie du film va peu à peu rendre Grimcutty et sa silhouette incongrue finalement assez banals à cause d'un temps de présence trop important à l'écran, issu du fait qu'il soit vu comme une émanation surnaturelle insaisissable et bonne à apparaître n'importe où/n'importe quand jusqu'à entraîner plus de lassitude que de frissons. De même, on ne pourra pas dire que "Grimcutty" nous laissera une grande impression en termes d'ambiance ou du rendu voulu de la montée en puissance de ses manifestations sur la durée, tout comme la progression de son récit se résumera essentiellement aux étapes de l'enquête (classiquement) menée par Asha, elles-mêmes invariablement parasitées soit par un coup de couteau inconséquent du Grimcutty soit par une intervention parentale, avant une dernière partie nous dévoilant des choses que l'on avait comprises bien avant les personnages.

Trop ordinaire sur ces points, "Grimcutty" aurait donc gagné à avoir une forme plus imaginative afin de mettre en valeur son discours de fond pour une fois plutôt habilement mis au service de sa créature. Dans tous les cas, on vous le confirme une nouvelle fois, l'ami Grimcutty gagne bien plus à être connu pour ce qu'il a à proposer que son maigrichon d'aîné Slender Man.
3,0
Publiée le 25 octobre 2022
Film un peu d'horreur mais sans plus l'histoire est vraiment originale et accrocheuses. Je ne me suis pas ennuyé et il est passé crème.

Je ne comprendrais jamais les critiquent négatifs sur ce film (et d'autres d'ailleurs) et stop au critique à rallonge cela devrait être interdite sur le site.

Je ses pas ce que vous ne comprenez pas dans le mot "rédiger ma critique" ce n'est pas pour faire un résumé, des films, ou vous faire de la pub pour vos sites et faire des Jaime. Ses justes pour écrire une critique Mdr sérieux quoi

Bref à voir histoire intéressante
2,5
Publiée le 15 octobre 2022
Sorti en France tout récemment directement sur Disney+ et réalisé par John Ross, ce film est bien moins mauvais qu'on pourrait le penser. Lorsque des parents apprennent l’existence d'un nouveau challenge pour adolescents consistant à se mutiler après avoir vu un mème, ils se transmettent l'information entre eux et l'effet se propage de plus en plus vite. Bon, je suis très mauvais pour résumer les films donc je ne sais pas si c'est très clair mais on est, en gros, dans une sorte d'hybride entre "The Ring" et "Slender Man". Et c'est une très bonne nouvelle pour moi car ce sont deux choses qui me font particulièrement peur, notamment la seconde. En effet, "Slender Man" (et je parle des jeux et non du très médiocre film de 2018) fonctionne très bien sur moi ; je déteste en effet les grandes formes humaines qui avancent doucement dans la pénombre. Et de ce côté-là, nous sommes ici servis même si, une fois vu de près, le monstre est beaucoup moins effrayant, dû à des effets spéciaux un peu bâclés. En revanche, ses apparitions dans toute la première partie du film sont très réussies ! Si le film est donc plus effrayant que l'adaptation cinématographique de "Slender Man", il est également plus malin. D'une manière peu subtile certes, le film est en réalité une sorte de parabole de la pression sociale qu'exerce les parents sur leurs adolescents. Et notamment les incompréhensions intergénérationnelles dû principalement à l'utilisation des nouvelles technologies etc. Ici, c'est une peur et une incompréhension des parents qui se matérialise sous la forme d'un monstre obligeant les adolescents à se mutiler. De ce point de vue, le film est donc un peu plus profond que le premier film d'horreur venu ne faisant qu'accumuler les jump-scares, ce à quoi je m'attendais ici d'ailleurs. Néanmoins, le film est quelques fois maladroit car il n'est donc que très peu subtil dans son sous-texte mais il est surtout assez mal rythmé. En effet, si la première partie est intéressante, le film accumule quelques fois les longueurs pour être carrément ennuyant dans sa dernière demie-heure, ce qui est bien dommage. On regrettera aussi le côté très prévisible de l'ensemble. "Grimcutty" n'est donc pas un film qui restera dans les annales mais qui propose en tout cas un contenu intéressant, tout en étant quelques fois bien flippant (après, tout dépend des peurs de chacun) !
0,5
Publiée le 14 novembre 2022
Le "Grimcutty" est un mème internet qui sème la panique chez les parents, voyant leurs enfants aimer à se faire peur et tourmenter les autres jeunes de leur âge. Ce challenge débilǝ pour ados boutonneux va prendre une toute autre tournure lorsqu’une version réelle du "Grimcutty" apparaît et qu’elle menace réellement les puceaux à peau grasse…

On a tous entendu parler du "Momo Challenge" entre 2018 & 2019, lorsqu’il défraya la chronique aux quatre coins du globe, créant malgré lui, d’innombrables légendes urbaines (des adolescents en seraient morts). Il n’en fallait pas plus pour attiser la convoitise de certains et nous pondre un scénario tellement ɔon que l’on n’est pas surpris de le voir débarquer en douce sur les plateformes de streaming (Hulu & Disney+).

Grimcutty - L'Enfer des réseaux (2022) est l’archétype du "teenage horror movies" surfant sur les dernières tendances du moment (à commencer par le challenge internet ou le simple fait que l’héroïne soit une youtubeuse qui fasse de l’ASMR) avec des adolescents tête à claque (leur addiction pour les réseaux sociaux et qui traitent leurs parents de fascistes quand ils se font confisquer leurs smartphones, ouin ouin…).

Malgré l’apparence plutôt réussie du Grimcutty (un lointain cousin de Ryuk dans Death Note), on regrettera qu’il soit aussi peu mis en avant, on compte ses apparitions sur les doigts d’une seule main.

Bref, le concept même du film a tellement été poncé en large et en travers (la confrontation entre les ados et les parents, ce qu’ils peuvent voir et ne pas voir) que le film s’avère clairement totalement suranné avant l’heure (c’était prévisible, faire un film sur un mème internet pour prépubère, c’est vraiment une idée connǝ).

A titre de comparaison, je préfère amplement revoir "Bok Bok" la version parodique du sketch du Saturday Night Live. A signaler enfin, qu'une seconde adaptation sur grand écran serait préparation (un projet annoncé en 2019, sans doute avorté depuis). Produite par Takashige Ichise, le producteur de Ring (1998) & The Grudge (2002), affaire à suivre… (ou pas !).

● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
3,0
Publiée le 22 janvier 2023
« Grimcutty » est un bon thriller d’horreur disposant d’une histoire familière, d’une intrigue classique et d’un développement original. Le rythme est usuel pour le genre, le récit est fluide et la narration est linéaire. Le script comporte quelques incohérences, mais la mise en scène de John Ross laisse peu de temps au spectateur pour trop s’y attarder. La photographie est classique, la bande musicale joue pleinement son rôle dans l’établissement de l’ambiance, alors que le montage est ordinaire tout en étant cohérent. La distribution offre de bonnes prestations dans l’ensemble, avec un petit plus pour Joel Ezra Hebner qui donne un aspect singulièrement effrayant au monstre. L’ensemble manque d’innovation pour se démarquer dans ce genre saturé par toutes sortes d’êtres maléfiques.
2,0
Publiée le 15 octobre 2022
Voici un énième film d'horreur narrant l'influence néfaste des objets technologiques sur nos chères têtes blondes, à la différence que celui-ci est distribué par la plateforme de streaming Hulu / Disney+. Sur le papier ce métrage a l’air correct car il évoque l'anxiété des parents vis-à-vis du rapport qu'entretiennent leurs enfants avec les réseaux sociaux, tout comme le récit apporte un petit plus en évoquant sans forcément trop les expliquer des termes récents comme les tutoriels ASMR (vidéos de relaxation par le son) et le syndrome FOMO (la peur de manquer une information capitale si on n’interagit pas avec son portable ou tout autre appareil). Toutefois, si le fond va, la forme elle, est très paresseuse et répétitive. C’est bien simple, cela ne fait pas peur, les jump scares étant mal disséminés et l’ensemble manque tout de même pas mal d’hémoglobine. De plus, le croquemitaine (le Grimcutty) issu de la paranoïa des parents est certes sympa mais un peu trop calqué sur le SlenderMan avec son corps dégingandé et ressemble à s’y méprendre au dieu de la mort dans le manga Death Note au niveau faciès. Bref, pas très original comme look ! Alors quand en plus, on n’a aucun background concret concernant les origines du monstre issu d’Internet et que l’enquête est trop classique dans son déroulé, vous aurez vite une idée de ce qui vous attend ! Côté distribution, les plus observateurs auront remarqué la présence de Shannyn Sossamon, ayant fait pas mal de teenage movies et films d’épouvante qui a d’un seul coup bien vieilli et est un peu fripée, un peu comme ce long-métrage objet de notre critique !
3,0
Publiée le 22 avril 2023
Parti du fait divers "Momo Challenge" Grimcutty, malgré pas mal de facilité est pavé de bonnes intentions. Le réalisateur met le doigt sur l'enfer des réseaux sociaux et de l'hyperconnectivité en impliquant toute la famille, chacun a sa part de responsabilité. Le scénario est donc plutôt original et les comédiens pas mauvais du tout. Reste un Grimcutty assez peu convaincant en CGI mais au design amusant. Pas un grand film d'horreur certes mais loin d'être mauvais également.
2,5
Publiée le 29 octobre 2022
"Grimcutty : l'enfer des réseaux" disponible sur Disney+ en France se révèle comme un assez bon thriller d’horreur. Grâce à un rythme efficace, une narration linéaire et une tension qui monte au fil du scénario, le film se montre plutôt divertissant dans l’ensemble. Cependant, le long-métrage de Jonh Ross est assez décevant au niveau de sa réalisation. Avec une mise scène classique et un visuel peu convaincant, le film ne semble jamais très ambitieux. Malgré sa créature monstrueuse effrayante et ses quelques rebondissements horrifiques, l’histoire aurait gagné en intensité avec plus d’horreur et de drame. Au final, "Grimcutty : l'enfer des réseaux" n’est pas le film le plus réussi du genre à cause de son manque de cohérence et de son potentiel gâché, mais se regarde sans prise de tête pour une soirée d’Halloween.
-
11/20
Critique sur Grimcutty : l'enfer des réseaux (film)
Vu le 22.10.2022 sur Disney+
1,0
Publiée le 18 décembre 2022
Un film d’horreur encore moins effrayant qu’une publicité pour de la Bledina. Le film a juste voulu surfer sur un même internet répandu, mais n’a rien à proposer au niveau des thèmes abordés, de la direction artistique, de la mise en scène qui aligne des Jumps Scare grossiers et inefficaces. Comble de l’ironie il m’a tellement ennuyé que j’ai voulu attraper mon portable pour regarder ce qui se passait sur les réseaux sociaux.
2,5
Publiée le 16 octobre 2022
Quand Disney+/Hulu tente d'inventer son propre Slenderman et Momo, cela donne Grimcutty. En vrai, ce métrage est clairement une adaptation ou bien un plagiat du phénomène Momo... Et Dieu sait que l'adaptation de Slenderman n'était déjà pas excellente.

Après, il est vrai qu'on a de temps à autre une bonne ambiance. Et le sujet est réel et plutôt dans l'air du temps (l'inquiétude, la confiance et les réseaux sociaux.).

Puis, il y a un côté ASMR qui n'est pas utile, du tout ! Cet aspect ne nous pousse malheureusement qu'à nous faire somnoler et rien de plus. Ce qu'il faut l'avouer est très bête pour un film d'horreur, car bien qu'il possède des jump scares, ils ne font aucun effet.

En ce qui concerne le monstre, il laisse partager. Il est visuellement flippant avec une morphologie adéquate bien que très banale. Sa carrure peut un peu rappeler Le bonhomme tordu ou tout simplement Slenderman par sa forme et taille. Et c'est sans compter que son visage ressemble fortement à celui de Momo, le phénomène internet, tu parles d'une coïncidence...
Par contre, il y a vraiment quelque chose qui cloche dans le costume de cette créature, car j'avais comme l'impression de trop remarquer la sensation du latex ou du plastique sur sa peau, c'est dommage.

Enfin bref, c'est moyen ou disons plutôt banal finalement.
5,0
Publiée le 12 mai 2024
Je mets la note maximale pour rehausser un peu la moyenne générale.J aurais mis 3/5.Ce film est injustement sous noté.Il possède un bon scénario,un dénouement intéressant et pour ma part inattendu,et il y a de la tension et de l action.Que demander de plus?
3,0
Publiée le 1 août 2023
Enfer des réseaux, accros aux connections, peur des parents des dérives numériques, ce récit original totalement encrer dans l'ère du temps prouve la dangerosité des défis et actes temporaires lancer tel des modes au jeunes. Un récit incroyablement imaginatif pour mettre sur pied la peur des parents provoquant la naissance d'un monstre représentant le Dark web ou les dangers cruels qui sévices à l'intérieur. Avec un long temps mort en milieu de récit, qui ne dure pas heureusement, les scènes restent percutantes, le casting (inconnu pour ma part) est royal jusqu'à l'apogée psychique. Un récit sombre, douloureux et psychologique qui devrait nettement être montrer dans les collèges et lycées pour une campagne de sensibilisation XL. S'il est clair que l'ombre se nomme Grimcutty, elle n'est en rien issue des contes des frères Grimm.
3,0
Publiée le 3 septembre 2023
Le personnage central du film défini à merveille le concept même du "MÈME". Un être créé de toute pièce en raison de l'effervescence de certains sur les réseaux sociaux. Plus on y pense, plus il devient réel, et malveillant. A cette trame plutôt intéressante, le réalisateur JOHN ROSS, 3ème du nom, ajoute ne bonne dose de moraline, pour dire que les choses ne font empirer lorsque les parents s'en mêlent en dramatisant trop. Bref, tout cela n'est pas trop mal construit scénaristiquement. Mais, les quelques situations saugrenues vers la fin, et la performance plutôt ordinaire des acteurs, empêchent le film de rester gravé dans nos mémoires.
3,0
Publiée le 12 novembre 2022
"Grimcutty : l'enfer des réseaux" est un film qui partait d'une bonne intention, mais qui pouvait aussi facilement dériver vers quelque chose de très cliché vu son sujet. Toute l'idée de base est de proposer un film d'horreur tournant autour du danger d'Internet et des réseaux sociaux en général. L'idée pouvait être intéressante, on joue sur des sujets d'actualité, mais on peut aussi rapidement tomber dans le paternalisme trop important. Là où le film aurait pu se planter, c'est donc dans son message. En voyant un long-métrage de ce genre, on pouvait s'attendre à une morale à base de "les réseaux sociaux, ce n'est pas bien". Mais ma grande surprise vient finalement du fait que le film joue intelligemment de son sujet. Si on le commence de manière assez brutale et que l'on semble vite plonger dans ce genre de point de vue, la suite va se détourner de cela. Tout le message du film va être plus nuancé, certes, il va nous confronter à la réalité de ces réseaux et à leurs dangers. Mais il va aussi offrir un point de vue plus large. Le film va développer le fait de ne pas trop en faire à propos de ces réseaux sociaux. On comprend très vite que nous sommes dans un tout mesuré, où les parents, les personnages qui sont évidemment contre cela, ne sont pas présentés comme apportant la vérité. J'ai même envie de dire, bien au contraire ! Le film prône un message d'avertissement par rapport à cela, mais aussi de tolérance pour ne pas tomber dans des extrêmes. C'est assez intéressant, bien exploité et le film surprend par cela. Il est dommage que le reste soit, malgré tout, assez classique. Vu le sujet, je dois quand même avouer que ce film d'horreur est assez plat, principalement au niveau des moments horrifiques. C'est peu impactant et le tout joue sur pas mal de clichés et de facilités du genre. Mais globalement, je pardonne quand même. Certes, ce n'est pas un film parfait, mais il y a du bon à en tirer au niveau de la manière dont on traite une thématique. Ce n'est pas un projet à voir absolument, mais il peut fournir un bon moment pour une soirée entre potes. Pour conclure, pas si horrible que cela.
Les meilleurs films de tous les temps