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steevevo
8 abonnés
523 critiques
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2,5
Publiée le 6 juin 2024
Drame familliale sur une faille en Norvège. Tout est-il dit ? Presque. La faille est autant familiale que géographique, donc. Si les scènes catastrophes sont plutôt bien menées, en revanche les situations périphériques sont trop longues et assez peu passionnantes. Et puis, faut bien dire que les maladresses qui entourent nos (anti)héros sont légions, disputes et réconciliation à contre-temps.
On est très loin du catastrophe américain c'est certain, je pense que pour les moyens de production c'est plutôt pas trop mal mais certain effets spéciaux mon laisser un peu trop sur ma faim. (spoil) Et puis l'histoire des deux hommes qui ce batte pour la même femme je trouve que ça n'a pas forcément ca place dans ce genre de film ... Je m'attendais à un peu mieux..
Un navet intersidéral ! Le film catastrophe de série Z …..Rien ne sonne vrai , les acteurs sont nuls , l’intrigue est cousue de fil blanc , les effets spéciaux digne des années 80 . Pour info , faudra dire au scénariste que quand un plancher feraillé se fissure , celui ci ne s’effrite pas comme une gaufrette . Il passera moins pour un con la prochaine fois En fait c’est un film psychosocial d’une famille à la dérive avec en fond un film pseudo catastrophe Conclusion : FUYEZ
(Dommage qu’on ne peut pas mettre de notes négatives )
Désolé, mais j'ai tenu, tenu, mais force d'ennui, j'ai coupé 20 minutes avant la fin. Entre énormités (on peut passer c'est un film catastrophe), décors en carton pâte, mais surtout longueurs à n'en plus finir, j'ai fini par appuyer sur stop.
Je n'accroche décidément pas aux films suédois. Ici encore une histoire à dormir debout : Un effondrement des mines va entraîner l'effondrement de la ville, tout ça avec en fond, une famille qui se déchire, les enfants en opposition à leur mère, un ex mari pas vraiment ex qui se la joue "je veux pas perdre ma famille" en faisant 12 coups fourrés alors que la ville s'effondre, le fils en danger, tout va bien ... Et évidemment attention spoiler : happy ending, tout le monde s'y retrouve. Bref, on l'a tenté on a regretté
J'ai trouvé ce film très intéressant à regarder, malgré certes quelques petits moments assez long il reste pour moi un film à regarder de son histoire vraie émouvante.
Un assez bon film catastrophe servi par un casting solide, bien qu'on croise plein de clichés de ce genre film, ça divertit et ça apporte un bon suspense et une bonne tension sans abus d'effets spéciaux mais plus sur le jeu et la relation des acteurs
Voilà qu on nous refait le coup de la ville qui va s écrouler. Bien sûr il y a la mère séparée avec deux ados et le père qui va se battre pour récupérer sa famille avant les décombres. Une scène plutôt réussie et la fin ...entre du remplissage avec des pensifs sur la famille...
. Mais quelle mouche a piqué le scénariste pour qui saupoudre un film catastrophe avec des problèmes familiaux dont on se contrefout. Si l'on met de côté cette aberration, le film possède quelques qualités, d'abord la présence de Tuva Novotny, impériale dans son rôle, ensuite le fim nous offre trois séquences d'action, les deux premières sont plutôt réussies, la troisième qui est l'avant dernière séquence du film est trop maladroite pour être apprécié. En conclusion la note ne sera que moyenne.
je comprends pas les critiques négatives je l'ai bien aimé,il y a de l'action ,des effets spéciaux assez bien faits c'est sur que ce n'est pas un gros budget incomparable avec le cinéma américain bien que ceux ci font beaucoup de daube et de plus en plus ,les acteurs sont pas mauvais moi j'ai passé presque deux heures et je n'ai pas vu le temps passé
Absolument pas original, The Abyss souffre de ses dialogues creux et de ses personnages insipides. En parallèle, le scénario n'innove pas et reste minimaliste. Lent, sans développement, ce petit film suédois n'est pas passé loin de la catastrophe au sens figuré du terme...
Avec "The abyss", le cinéma suédois singe le cinéma catastrophe américain dans ce qu’il a de plus navrant. Il en exploite tous les poncifs jusqu’à flirter avec la caricature (le climax en devient involontairement drôle) mais il n’a ni les capacités ni les moyens de créer le grandiose.