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Votre avis sur Sympathy for the Devil ?
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Serie B anecdotique qui malgré son duos d'acteurs peine à convaincre. Nicolas Cage aura pratiquement tout joué dans à peu près tout les styles possibles, mais cette énième prestation en roue libre de sa part ne mène malheureusement à rien, la faute à un scénario ultra basique, qui s'étire en joutes verbales peu inspirées et surtout pas intéressantes. La fin est prévisible et le manque de tensions/suspense entre les personnages finissent d'enterrer le film.
Nicolas Cage est l'un des acteurs les plus fascinants de sa génération. Avec une filmographie folle de plus d'une centaine de films en 40 ans, le neveu Coppola a connu un parcours hors-norme allant des frères Coen et Spike Jonze à des séries Z destinées à payer ses factures exorbitantes, en passant par John Woo et Michael Bay.
Nicolas Cage, connu pour ses pétages de câble légendaires et son goût pour le cabotinage, est depuis quelques années rentré dans une nouvelle phase de sa carrière, conscient de sa propre aura déjantée. Et alors qu'il est vient d'interpréter ni plus ni moins que le comte Dracula dans le ténébreux Renfield,il revient dans un film assez réussi " Sympathy for the devil" sorti aux US le 28 juillet et dont la date de sortie en Europe n'est pas encore précisée.
Construit comme un jeu du chat et de la souris entre deux hommes, The Driver (le conducteur) et The Passenger (le passager) il démarre sur l'arrivée d'un conducteur en apparence innocent à la maternité où sa femme est en train d'accoucher quand un individu ( joué par Nicolas Cage) rentre dans le véhicule, le tient en joue et lui demande de redémarrer. et c'est parti pour 1h15 en temps réel qui les verront aller d'autoroutes à diner, avec en fond Las Vegas et ses visions nocturnes irréelles.
Nicolas Cage est à son meilleur et dans le rôle du conducteur l'acteur suédois Joel Kinnaman découvert dans la saga Easy Money
Nicolas Cage, connu pour ses pétages de câble légendaires et son goût pour le cabotinage, est depuis quelques années rentré dans une nouvelle phase de sa carrière, conscient de sa propre aura déjantée. Et alors qu'il est vient d'interpréter ni plus ni moins que le comte Dracula dans le ténébreux Renfield,il revient dans un film assez réussi " Sympathy for the devil" sorti aux US le 28 juillet et dont la date de sortie en Europe n'est pas encore précisée.
Construit comme un jeu du chat et de la souris entre deux hommes, The Driver (le conducteur) et The Passenger (le passager) il démarre sur l'arrivée d'un conducteur en apparence innocent à la maternité où sa femme est en train d'accoucher quand un individu ( joué par Nicolas Cage) rentre dans le véhicule, le tient en joue et lui demande de redémarrer. et c'est parti pour 1h15 en temps réel qui les verront aller d'autoroutes à diner, avec en fond Las Vegas et ses visions nocturnes irréelles.
Nicolas Cage est à son meilleur et dans le rôle du conducteur l'acteur suédois Joel Kinnaman découvert dans la saga Easy Money
Frédéric M.
Nicolas Cage, et le pitch de l'histoire m'ont intrigué ! J'ai trop laissé mon imagination vagabonder sur le déroulement, lorgnant dans le fantastique, ... hélas peine perdue, le vrai de l'histoire est decevant tout comme les acteurs, le role principal ne convainc pas et Nicolas Cage surjoue... Dommage
Un thriller captivant reposant sur une base simple : un conducteur contraint à conduire par un inconnu armé. La force du film repose sur l'inconnu armé, sur ses raisons à tuer et il est incarné par Nicolas Cage, qui en fait des tonnes pour notre plus grand plaisir.
soniadidierkmurgia
Nicolas Cage, neveu de Francis Ford Coppola de son état et star d’Hollywood. Accessoirement plus de 100 films à son actif en 42 ans de carrière. Qu’on en juge : 1980 à 1989 : 12 films, 1990 à 1999 : 20 films, 2000 à 2009 : 18 films, 2010 à 2019 : 36 films, 2020 à 2025 : 18 films. Un rythme de tournage directement
spoiler:
indexé sur le train de vie dispendieux et les démêlés de l’acteur avec le fisc américain. Inutile de préciser que depuis une vingtaine d’années les films intéressants ou même juste de regardables ne sont pas légion
(« Kick-Ass », « Le Pacte », « Joe » , « Tokarov » , « Dog eat dog », « Pig ») . Au moins dans les premiers temps la folie animant le jeu de l’acteur cabotin pouvait donner le change, constituant à lui seul un curieux et réjouissant spectacle. Malheureusement dépassé par l’accumulation, spoiler: le pauvre Nicolas Cage se prend désormais régulièrement les pieds dans le tapis de la grossièreté, semblant se répéter au sein de scénarios qui découragent même ses plus ferveurs adeptes
. « Sympathy for the devil » relève justement de la fausse bonne idée de vouloir réunir un Cage devenu hamster dans la roue des films qui s’enchaînent et Joel Kinnaman acteur d’origine suédoise un temps remarqué pour sa participation à deux séries cultes (« The Killing » (2011-2014) et « House of Cards » (2016)) dont l’heure de gloire semble désormais passée. Les deux hommes embarqués dans un road movie autoroutier des plus glauques spoiler: jouent au chat et à la souris pour amener avec des gros sabots le spectateur à se demander si le méchant est vraiment celui qu’il croit. Victime ou coupable
, Cage en totale roue libre ne croit visiblement pas trop à ce qu’il fait, le spectateur un peu hébété non plus d’ailleurs. Résultat, un film un peu long sans réel retournement de situation, tourné avec un budget très limité pour limiter la casse prévisible qui a bien sûr été au rendez-vous. La question est désormais celle-ci : « Les producteurs vont-ils encore longtemps employer un acteur certes talentueux mais plus très crédible dans sa démarche ? »
(« Kick-Ass », « Le Pacte », « Joe » , « Tokarov » , « Dog eat dog », « Pig ») . Au moins dans les premiers temps la folie animant le jeu de l’acteur cabotin pouvait donner le change, constituant à lui seul un curieux et réjouissant spectacle. Malheureusement dépassé par l’accumulation, spoiler: le pauvre Nicolas Cage se prend désormais régulièrement les pieds dans le tapis de la grossièreté, semblant se répéter au sein de scénarios qui découragent même ses plus ferveurs adeptes
. « Sympathy for the devil » relève justement de la fausse bonne idée de vouloir réunir un Cage devenu hamster dans la roue des films qui s’enchaînent et Joel Kinnaman acteur d’origine suédoise un temps remarqué pour sa participation à deux séries cultes (« The Killing » (2011-2014) et « House of Cards » (2016)) dont l’heure de gloire semble désormais passée. Les deux hommes embarqués dans un road movie autoroutier des plus glauques spoiler: jouent au chat et à la souris pour amener avec des gros sabots le spectateur à se demander si le méchant est vraiment celui qu’il croit. Victime ou coupable
, Cage en totale roue libre ne croit visiblement pas trop à ce qu’il fait, le spectateur un peu hébété non plus d’ailleurs. Résultat, un film un peu long sans réel retournement de situation, tourné avec un budget très limité pour limiter la casse prévisible qui a bien sûr été au rendez-vous. La question est désormais celle-ci : « Les producteurs vont-ils encore longtemps employer un acteur certes talentueux mais plus très crédible dans sa démarche ? »
Nicolas Cage mériterait bien un film ou un documentaire entier sur sa filmographie à nulle autre pareille tant l’acteur a eu une carrière hors du commun (dans le bon comme dans le mauvais sens du terme) entre classiques, blockbusters, films d’auteur, nanars et séries B plus ou moins recommandables et/ou cultes. Il tourne en outre comme un stakhanoviste depuis une décennie enchaînant les projets plus ou moins douteux et les bonnes surprises amenées à rester dans les mémoires (comme par exemple le récent « Dream Scenario », le touchant « Joe » ou l’azimuté « Mandy »). Malheureusement ce « Sympathy for the Devil » se place clairement dans les moins bonnes catégories suscitées. D’abord, c’est une série B à petit budget, ensuite il est en totale roue libre (ce qui est à la fois drôle et effrayant tant il se caricature lui-même) et le résultat s’approche plus d’un direct to video d’antan générique interchangeable que d’autre chose.
Le cinéaste israélien Yuval Adler, révélé avec le film d’auteur « Bethléem » et vite passé à Hollywood pour des petits films de commande pas forcément inoubliables (le sympathique « Nos secrets », déjà avec le trop rare et sous-employé Joel Kinnaman, et le très oubliable « The Operative »), s’enfonce avec ce petit film sans importance, particulièrement inoffensif et oubliable qui serait resté dans les abimes des plateformes de téléchargement sans la présence du toujours intrigant et imprévisible Nicolas Cage. On se retrouve ici dans un presque huis-clos routier avec quelques séquences destinées à varier les plaisirs et aérer (la scène pivot du dinner, la plus sympa d’ailleurs) mais tout cela est plutôt vide visuellement comme sur le fond. Quand vient le twist final tiré par les cheveux au possible et improbable, on se rend compte de la vacuité de la chose qui n’avait déjà que très peu d’intérêt avant.
Tout cela a au moins le mérite de passer assez vite. Cependant, s’il n’y avait pas Nicolas Cage qui fait le show, laissé volontairement livré à lui-même par un réalisateur probablement conscient des éventuels talents délirants du comédien lorsqu’il est en totale roue libre, ce serait fade, banal et sans grand intérêt. Le pauvre Joel Kinnaman n’a rien à jouer tant son aîné prend toute la place, sauf à la fin mais il est déjà bien trop tard. Il y a quelques dialogues vaguement intéressants et deux ou trois scènes plutôt fun mais « Sympathy for the Devil » ne marquera pas le cinéma plus que les mémoires et se range directement dans le rayon de ces petites séries B inoffensives (pour ne pas dire inintéressantes) qui pullulent dans les catalogues Netflix ou Prime et qui ne mérite pas qu’on perde notre temps à les visionner à moins d’avoir aucune attente particulière.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Le cinéaste israélien Yuval Adler, révélé avec le film d’auteur « Bethléem » et vite passé à Hollywood pour des petits films de commande pas forcément inoubliables (le sympathique « Nos secrets », déjà avec le trop rare et sous-employé Joel Kinnaman, et le très oubliable « The Operative »), s’enfonce avec ce petit film sans importance, particulièrement inoffensif et oubliable qui serait resté dans les abimes des plateformes de téléchargement sans la présence du toujours intrigant et imprévisible Nicolas Cage. On se retrouve ici dans un presque huis-clos routier avec quelques séquences destinées à varier les plaisirs et aérer (la scène pivot du dinner, la plus sympa d’ailleurs) mais tout cela est plutôt vide visuellement comme sur le fond. Quand vient le twist final tiré par les cheveux au possible et improbable, on se rend compte de la vacuité de la chose qui n’avait déjà que très peu d’intérêt avant.
Tout cela a au moins le mérite de passer assez vite. Cependant, s’il n’y avait pas Nicolas Cage qui fait le show, laissé volontairement livré à lui-même par un réalisateur probablement conscient des éventuels talents délirants du comédien lorsqu’il est en totale roue libre, ce serait fade, banal et sans grand intérêt. Le pauvre Joel Kinnaman n’a rien à jouer tant son aîné prend toute la place, sauf à la fin mais il est déjà bien trop tard. Il y a quelques dialogues vaguement intéressants et deux ou trois scènes plutôt fun mais « Sympathy for the Devil » ne marquera pas le cinéma plus que les mémoires et se range directement dans le rayon de ces petites séries B inoffensives (pour ne pas dire inintéressantes) qui pullulent dans les catalogues Netflix ou Prime et qui ne mérite pas qu’on perde notre temps à les visionner à moins d’avoir aucune attente particulière.
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Thriller qui ne vole pas bien haut, malgré la bonne volonté des acteurs. On notera qu'il n'y a jamais de voitures sur les routes américaines, ni de personnes de passage, c'est ridicule. C'est un genre de huis clos en voiture avec des bavardages débiles et une histoire qui tire en longueur inutilement. Le scénario n'a rien de bien recherché, c'est faible, ni plus ni moins.
Tout est assez classique et revu dans ce flim, nonobstant la réalisation et les situations sont assez intéressantes pour se laisser porter jusqu'à la fin qui n'est pas du tout mauvaise et comme on pourrait l'attendre, bonne surprise en l'état.
FaRem
Alors qu'il s'apprête à rejoindre sa femme en salle d'accouchement, un homme voit un autre homme faire irruption dans sa voiture. Ce dernier lui pointe une arme dessus et lui demande de le conduire quelque part. Malheureux hasard ou coup prémédité ? On s'en moque un peu et c'est tout le problème du film de Yuval Adler. Le mystère est amplifié pour pas grand-chose comme s'il y avait une grande révélation à la clé, ce qui n'est pas le cas d'autant plus que ce qui se passe est évident... Ce trajet manque de tension et d'ambiguïté avec le braqueur qui ne joue pas assez avec sa victime. Pourtant, Nicolas Cage est génial dans ce rôle et fait de son mieux pour porter ce film malheureusement trop inégal et prévisible. Bref, un film qui a ses moments comme dans le diner, mais l'ensemble n'est pas terrible.
🎬 RENGER 📼
David est en route pour l’hôpital où sa compagne s’apprête à accoucher d’un moment à l’autre. Sur le parking des urgences, il est contraint d’accueillir (sous la menace d’une arme) un inquiétant passager, qui va lui faire vivre une nuit infernale…
J’ai tendance à me méfier des films avec Nicolas Cage, trop de hype pour bien souvent, pas grand chose à se mettre sous la dent. Derniers exemples en date, lorsqu’il incarnait un vampire dans Renfield (2023) ou quand il s’était glissé dans la peau d’un bandit solitaire dans Prisoners of the Ghostland (2021). C’est donc avec une agréable surprise qu’on le retrouve dans la peau de ce voyageur psychopathe qui vole littéralement la vedette (et encore, le mot est faible) au suédois Joel Kinnaman.
Nicolas Cage est égal à lui-même, tout en exubérance, un monstre en puissance qui se déchaîne pendant 90min à travers une logorrhée ahurissante (l’hallucinante séquence dans le "Roadhouse Diner"), face à un Joel Kinnaman tout en sobriété verbale. Un voyage au bout de l’enfer qui nous tient en haleine jusqu’au dénouement final, le tout, magnifié par une photo soignée que l'on doit à Steven Holleran (un périple à Las Vegas et ses environs, au beau milieu de la nuit, éclairé par les néons et les rares lampadaires qui jalonnent les routes du Nevada). Dans le même registre, impossible de ne pas repenser à Collateral (2004) de Michael Mann.
Sympathy for the Devil (2023) a été pensé pour Nicolas Cage, il est au centre de toute l’intrigue, quitte à éclipser Kinnaman. Et au final, c’est bien là le problème, car en l’espace de 90min, en dehors de ravir les fans de la première heure de Nic Cage (dont je fais partie), le scénario s’avère bien pauvre et s’en retrouve bêtement étiré avec des rebondissements simplistes histoire de tenir les 90min. Sans la présence de Nicolas Cage, le film serait clairement passé sous les radars et serait sans réel intérêt malgré certaines qualités.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
J’ai tendance à me méfier des films avec Nicolas Cage, trop de hype pour bien souvent, pas grand chose à se mettre sous la dent. Derniers exemples en date, lorsqu’il incarnait un vampire dans Renfield (2023) ou quand il s’était glissé dans la peau d’un bandit solitaire dans Prisoners of the Ghostland (2021). C’est donc avec une agréable surprise qu’on le retrouve dans la peau de ce voyageur psychopathe qui vole littéralement la vedette (et encore, le mot est faible) au suédois Joel Kinnaman.
Nicolas Cage est égal à lui-même, tout en exubérance, un monstre en puissance qui se déchaîne pendant 90min à travers une logorrhée ahurissante (l’hallucinante séquence dans le "Roadhouse Diner"), face à un Joel Kinnaman tout en sobriété verbale. Un voyage au bout de l’enfer qui nous tient en haleine jusqu’au dénouement final, le tout, magnifié par une photo soignée que l'on doit à Steven Holleran (un périple à Las Vegas et ses environs, au beau milieu de la nuit, éclairé par les néons et les rares lampadaires qui jalonnent les routes du Nevada). Dans le même registre, impossible de ne pas repenser à Collateral (2004) de Michael Mann.
Sympathy for the Devil (2023) a été pensé pour Nicolas Cage, il est au centre de toute l’intrigue, quitte à éclipser Kinnaman. Et au final, c’est bien là le problème, car en l’espace de 90min, en dehors de ravir les fans de la première heure de Nic Cage (dont je fais partie), le scénario s’avère bien pauvre et s’en retrouve bêtement étiré avec des rebondissements simplistes histoire de tenir les 90min. Sans la présence de Nicolas Cage, le film serait clairement passé sous les radars et serait sans réel intérêt malgré certaines qualités.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Sympathy for the Devil s’appuie avant tout sur la performance charismatique de Nicolas Cage, qui porte le film par son énergie déjantée et imprévisible. Son jeu capte toute l’attention, éclipsant les autres aspects, notamment la prestation moins convaincante de Joel Kinnaman, qui peine à égaler l’intensité de son partenaire. Le scénario, bien qu’efficace dans sa simplicité, manque de surprises et s’appuie sur des clichés familiers du genre. Visuellement, les scènes nocturnes et la tension grandissante offrent quelques instants mémorables, mais le film reste inégal. En fin de compte, c’est Cage qui sauve l’ensemble, transformant une œuvre moyenne en un divertissement ponctuellement intéressant, sans toutefois marquer durablement.
Un Nicolas Cage movie, comme il en a fait tant d'autres, option cheveux rouges cette fois ci. Scenario très simpliste et sans aucune surprise, contrairement à ce que pouvait laisser penser la bande annonce. Tout est la dès le début de l'histoire, et le résultat est très decevant donc. Nicolas Cage sort évidemment tous ses tics d'acting. Le tout n'est pas ridicule, entre Locke et Collatéral, mais version Temu. C'est pas trop mal réalisé toutefois.
spoiler:
C'est l'histoire d'un homme qui se rend à l'hôpital et une fois arrivé là-bas, il se fait prendre en otage par un homme qui le menace avec une arme et le force à l'emmener on ne sait où
Histoire/scénario : rien de bien original dans ce film, un mec qui se fait prendre en otage, on a déjà vu ce genre de film avec Tom Cruise si je me souviens bien.
Acteurs : on retrouve Joel Kinnaman qui a joué dans pas mal de films comme Robocop mais sa tête ne me dit rien, et évidemment Nicolas Cage, toujours aussi cinglé dans son rôle et qui se débrouille vraiment bien.
Effets spéciaux/décors : pas grand-chose de ce côté-là, quelques coups de feu et cascade de voitures, mais bon, rien de bien fou.
Pour les décors, on se retrouve à Las Vegas, je crois, mais pareil, rien de bien incroyable à signaler.
Le film se laisse regarder une fois, mais ce n'est clairement pas le film de l'année.
Nicolas Cage est bon dans son rôle de cinglé comme d'habitude.
1 h 30 a passé dans une voiture où l'on apprend l'histoire petit à petit et où on comprend tout a la fin, mais ne vous attendez pas à des révélations de fou.
Acteurs : on retrouve Joel Kinnaman qui a joué dans pas mal de films comme Robocop mais sa tête ne me dit rien, et évidemment Nicolas Cage, toujours aussi cinglé dans son rôle et qui se débrouille vraiment bien.
Effets spéciaux/décors : pas grand-chose de ce côté-là, quelques coups de feu et cascade de voitures, mais bon, rien de bien fou.
Pour les décors, on se retrouve à Las Vegas, je crois, mais pareil, rien de bien incroyable à signaler.
Le film se laisse regarder une fois, mais ce n'est clairement pas le film de l'année.
Nicolas Cage est bon dans son rôle de cinglé comme d'habitude.
1 h 30 a passé dans une voiture où l'on apprend l'histoire petit à petit et où on comprend tout a la fin, mais ne vous attendez pas à des révélations de fou.
sympathy for the devil avec un nicholas cage qui cabotine tout du long, surtout dans la scène du roadhouse ou il est génial, petit problème de rythme sur la longueur mais ça vaut le coup si on apprecie l acteur principal.
"Détour Infernal !"
Assez sympathique ce ''Sympathy for the Devil'' de Yuval Adler (l'excellent ''The Secret We Keeps''), quand bien même si celui-ci se cherche une catégorie à laquelle appartenir ! En effet, durant 90' (la durée idéale pour ce genre de production), le spectateur oscille entre le polar urbain et le thriller routier, mais c'est à l'orée du fantastique que le long-métrage prend toute sa substance mystérieuse. Attention au titre qui peut être trompeur. Une fois encore, Nike Cage casse la baraque avec ses cheveux rouge et son costard de crooner, face à Joël Kinnaman en partance pour la maternité. Alors qu'il se gare dans le parking de l'hôpital, David Chamberlain (Kinneman) est pris en otage dans son propre véhicule par un passager (Cage) muni d'un revolver et d'une posture de fou furieux. Sous la contrainte, David n'a pas d'autre choix que de servir de chauffeur pour cet étrange personnage. S'engage alors une nuit d'enfer en périphérie d'un Las Vegas où toutes les routes mènent au face-à-face de plus en plus tendu... Sans être le film du siècle, ''Sympathy for the Devil'' fait pourtant mouche à plusieurs reprises. Grâce à des retournements de situation faisant dévier un récit qui paraissait cousu de fil blanc, le film (parfois violent), nous emmène vers un final auquel on ne s'attendait pas ! Toutefois, de plus amples explications et des flash-back n'auraient pas été de trop.
Assez sympathique ce ''Sympathy for the Devil'' de Yuval Adler (l'excellent ''The Secret We Keeps''), quand bien même si celui-ci se cherche une catégorie à laquelle appartenir ! En effet, durant 90' (la durée idéale pour ce genre de production), le spectateur oscille entre le polar urbain et le thriller routier, mais c'est à l'orée du fantastique que le long-métrage prend toute sa substance mystérieuse. Attention au titre qui peut être trompeur. Une fois encore, Nike Cage casse la baraque avec ses cheveux rouge et son costard de crooner, face à Joël Kinnaman en partance pour la maternité. Alors qu'il se gare dans le parking de l'hôpital, David Chamberlain (Kinneman) est pris en otage dans son propre véhicule par un passager (Cage) muni d'un revolver et d'une posture de fou furieux. Sous la contrainte, David n'a pas d'autre choix que de servir de chauffeur pour cet étrange personnage. S'engage alors une nuit d'enfer en périphérie d'un Las Vegas où toutes les routes mènent au face-à-face de plus en plus tendu... Sans être le film du siècle, ''Sympathy for the Devil'' fait pourtant mouche à plusieurs reprises. Grâce à des retournements de situation faisant dévier un récit qui paraissait cousu de fil blanc, le film (parfois violent), nous emmène vers un final auquel on ne s'attendait pas ! Toutefois, de plus amples explications et des flash-back n'auraient pas été de trop.
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