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CH1218
207 abonnés
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3,0
Publiée le 10 novembre 2024
L’histoire d’un acteur reconnu qui tente de se rapprocher une énième fois de sa fille. Un joli film simple et non dénué de tendresse, avec un Francois Damiens touchant et Salomé Dewaels que je découvre ici. Petit coup de cœur pour la séquence du bar.
Un acteur reconnu accepte de jouer le rôle de Brel lors des dix dernières années de sa vie, alors que lui même est malade et entame peut-être sa dernière décennie il se rapproche de sa fille. Un phénomène étrange se produit les vies de Jacques et France se mêlent à celles d’Alain et Lou. Un film sensible et tranquille, sans doute trop, sur la paternité et la maladie. Avec un François Damiens qui n’est jamais aussi bon que quand il joue un clown triste.
Le voyage cinématographique de Sous le vent des Marquises débute avec une promesse captivante, mais malheureusement, cette promesse s'effrite au fil du récit. Ce film, bien que doté d'un potentiel narratif intrigant, peine à maintenir son élan initial, laissant le spectateur avec un sentiment mitigé à la fin.
Initialement, l'idée d'explorer la vie de Jacques Brel ou de plonger dans un récit mettant en lumière son parcours aurait pu offrir une expérience cinématographique riche en émotions et en réflexions. Cependant, Sous le vent des Marquises prend une direction différente, se concentrant plutôt sur la relation entre un père et sa fille, avec la maladie comme fil conducteur.
Bien que cette thématique soit profonde et potentiellement émouvante, elle est malheureusement traitée de manière superficielle et prévisible. Le récit souffre de longueurs et d'une certaine monotonie, ce qui nuit à son impact émotionnel et narratif.
En fin de compte, Sous le vent des Marquises peut être qualifié de film moyen. Malgré des éléments prometteurs et des moments poignants, il n'atteint jamais pleinement son potentiel. Les attentes initiales, suscitées par le titre et le contexte, laissent place à une déception progressive, laissant le spectateur sur sa faim et désireux de plus de profondeur et de dynamisme dans l'exploration des thèmes abordés.
Alain est un acteur vedette qui a sacrifié sa vie de famille pour sa carrière. À un moment important de sa vie, il décide de renouer avec sa fille... Si l'histoire du gars malade qui prend conscience des choses importantes de la vie est classique, ce nouveau film de Pierre Godeau est un drame tendre et sensible, une lente balade vers la réconciliation ponctuée de quelques scènes touchantes entre un père et sa fille dans un cadre magnifique et apaisant. De la simplicité, de la pudeur et de la mélancolie dans un film aussi simple que charmant avec également une mise en abyme intéressante au même titre que ce parallèle entre l'acteur et son personnage. En somme, un petit film sans prétention agréable à suivre principalement grâce à la bonne alchimie entre François Damiens et Salomé Dewaels.
Ce film doit être regardé en ayant à l'esprit que ce n'est pas la vie de Jacques Brel, que c'est une fiction de la vie d'un artiste en train de construire une relation avec sa fille. François Damiens joue vraiment bien avec sincérité. Il y a quelques petites longueurs et des allers-retours qui perturbent, il faut se laisser porter sur les moments riches en émotion et en dialogue. C'est bien filmé avec peu de profondeur de champs parfois, belles lumières et de jolis paysages
Malade, Alain abandonne le tournage de son film racontant les dernières années de vie du chanteur Jacques Brel. Il se réfugie en Bretagne, auprès de sa fille, qu’il a trop longtemps délaissé au profit de ses tournages. Des retrouvailles douloureuses mais touchantes.
Nous pensions entendre des chansons de Brel, découvrir un peu plus sa vie, nous régaler de paysages ...rien, nous nous sommes ennuyés comme rarement dans un film ; nous demandant quand est ce qu'il allait commencer , où était la chute...il n'y en a pas !. Des longueurs - nous avons failli nous lever et suivre un monsieur qui prenait la porte, des " cours aprés moi que je t'attrape " en permanence, triste, lourd. L'acteur aurait pu jouer le rôle d'un autre chanteur, çà n'y aurait rien changé. La jeune actrice joue trés bien mais çà n'a pas suffit pour nous motiver .Nul ! Nous avons perdu notre temps.
Un homard, un chat que l'on perd, un film d'ambiance, Brel ou ne pas être Brel voilà la question ! F.Damien passé du gagman pur au rôle de l'acteur fatigué joue encore une fois juste.
Un très joli titre pour un film très décevant Si l intention était bonne Ce film s est révélé d'une platitude sans aucune émotion . L histoire entre ce père et sa fille manquait de profondeur et les dialogues très superficiels. Je me demandais à quelle moment allait commencer ce film mais en fin de compte il n a jamais démarré. Ennuyeux jusqu au bout. Dommage....
Sous les vents des Marquises comporte beaucoup de moments embarrassants : malaisant et pourtant, évitable. La mode de ce personnage masculin mythomane est aujourd'hui parfaitement développé et devient une norme du cinéma, pour n'en citer quelques-uns : Comme un Prince, Sage-Homme, Je ne suis pas un Héro et Le Dernier des Juifs. Mais contrairement à ces films tous très récents, nous avons une explication un peu plus plausible et un résultat touchant et avec une pointe marrante. On aurait bien tort de sous-estimer ce film.