FIn des plus émouvant dans un film qui a démarrait pourtant d'une drole de manière et pas forcément pour le meilleurs, l'histoire d'un coureur de course a pied. Mais petit a petit nous rentrons dans la vie de ces 2 soldats près a partir à la guerre en quète d'une pseudo gloire. Peu de scène de bataille, Peter Weir se focalise plus sur les expression des visages pour montrer l'horreur de la guerre, exellente idée quand on a peu de moyen. La musique du film alterne subtilement entre musique electro des année 80 a mozart de manière très subtil. Un très bon film meme si on peut préférer un fil qui lui ressemble fortement sur certain aspect : voyage au bout de l'enfer"
Un très bon film qui montre combien perdre sa vie à la guerre est un sacrifice absurde et inhumain. Tout le contraire d'"Il faut sauver le soldat Ryan" de Spielberg qui montre lui, que plus la guerre est atroce, plus le sacrifice est beau, noble et généreux.
Peter Weir nous fait découvrir une partie de l'Histoire qui n'est que trop méconnue : la bataille de Gallipoli impliquant l'armée australienne face aux Turcs. Le film commence en nous présentant les deux héros dans leur terre natale, tous deux sprinters qui finissent par s'engager dans l'armée et puis vient le dépaysement et puis la peur, la découverte des horreurs de la guerre où la vie de tout un bataillon tient parfois sur les épaules ou ici sur les jambes d'une seule personne. Tragique et porté par une très belle musique et une solide interprétation, "Gallipoli" est un très bon film dont l'image de fin reste marquante. Le thème a beau ne pas être original, le contexte l'est et la mise en scène de Weir, laissant la part belle aux paysages est très belle.
Le sacrifice des volontaires australiens face à l’armée Turc à Gallipoli en 1915. Le film démarre sur un ton plutôt léger, le portrait de deux sprinteurs en manque de gloire, pour finir en pamphlet sur l’absurdité de la guerre. La mise en scène de Weir alterne les moments lyriques, drôles et dramatiques avec harmonie.
Gallipoli est avant tout une histoire d'amitié entre deux hommes. Deux hommes que tout paraissait opposer (caractère, éducation, patriotisme), mais qui vont se trouver liés par la guerre. Mel Gibson est remarquable, et laissait déjà entrevoir de sérieuses qualités et un certain charisme. La fin est à couper le souffle. Il manque cependant à ce film un certain rythme.
Gallipoli est à voir absolument pour les personnes qui ne connaissent pas cette partie de l'histoire Australienne. Peter Weir nous plonge dans la WW1 grâce à une histoire d'amitié courte mais très intense, entre Mark Lee, qui est tout simplement super, et un Mel Gibson dés plus naturel. Certes le scénario n'est pas très original mais la fin qui est aussi belle que tragique nous laisse pantois donne un intérêt supplémentaire de visionner ce film.
Superbe film, réalisation très soignée, acteurs impeccables... Un petit bemol cependant concernant le choix de la musique tantôt bien, tantôt anachronique. Excellent film tout de même.
Gallipoli (1982) est un des films les plus méconnu de la filmographie de Peter Weir. (Le Cercle des poètes disparus & The Truman Show entre autres) Pour ce film sur les horreurs de la premiere guerre mondiale, Peter Weir s'est entouré de Mark Lee et Mel Gibson, pour les acteurs principaux. Deux très bons acteurs, il est dailleurs dommage que Mark Lee, n'est pas fait grand chose (presque rien même) après avoir tourné dans Gallipoli. Il avait le talent qu'il fallait pour devenir un très grand acteur, c'est donc bien dommage. C'est déja une des premières raisons pour laquel il faut regarder ce film, pour Mark Lee. Ce film de guerre, ultra réaliste, est magnifique bien que triste au final. Cette histoire d'amitié entre ces deux australiens qui décident d'aller combattre au front est somptueuse, belle histoire émouvante, qui nous laisse au final sans voix. Film de qualité, à voir !
"Gallipoli" n'est pas vraiment un film de guerre. La tristement célèbre campagne des Dardanelles n'est montrée que dans la dernière demi-heure. Avec, d'ailleurs, plusieurs erreurs historiques qui du faire bondir les Anglais, présentés ici comme de pompeux snobes. Non, "Gallipoli" c'est un avant tout l'histoire d'une amitié. Archy et Franck sont deux Australiens très différents, l'un issue du bush, l'autre citadin. Mais ils partagent un talent : ce sont des coureurs hors pair. De fil en aiguille, ils feront connaissance, rejoindront l'armée australienne et atterriront dans les Dardanelles. Le film compte sur son tandem de comédiens aussi charismatiques qu'attachant. Mark Lee et Mel Gibson, juste avant que la carrière de ce dernier ne décolle. Et sur la manière dont cette amitié est construite, avec quelques belles scènes de camaraderie. L'occasion de dresser un portrait de la jeunesse australienne idéaliste, qui volera en éclat à travers la Première Guerre Mondiale. Certes, montrer des jeunes hommes ébranlés par le conflit n'a rien de neuf (on le voit depuis au moins "All Quiet on the Western Front", sorti en 1930). Mais c'est ici fait avec humanité et humour. Et aussi avec des moyens, et de bonnes idées. Je citerai notamment la BO étonnante. Qui mélange de la musique classique et électronique (!). Dont des extraits de l'album Oxygène de Jean-Michel Jarre, pionnier du genre. Ou le final, un uppercut brutal qui m'a hanté plusieurs années lors de mon premier visionnage du film.
Belle histoire pour Gallipoli avec la présence agréable d'un jeune Mel Gibson encore peu connu, dommage que la mise en scène manque d'âme et de véritables scènes de combats. Mais on s'attache aux personnages et l'ensemble a quelque chose d'émouvant. Pas parfait mais à découvrir.
Et encore un quasi chef d'oeuvre du grand peter weir ! Sous éstimé au possible , il est pourtant un remarquable réalisateur . Et ce n'est pas ce film magnifique ( qui a longtemps été le projet le plus onéreux du cinéma australien) qui viendra ternir sa filmo franchement exemplaire.
attention voici un chef d'oeuvre d'émotion, d'amitié, de passion...à voir, revoir et encore tellement c'est magique. Mark LEE vole la vedette au débutant GIBSON et les musiques (JM.JARRE § ALBINONI) n'ont jamais été aussi bien employées.