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    I Like Movies
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    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 048 abonnés 7 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2024
    Lawrence Kweller, 17 ans, est un cinéphile mal dans sa peau et maladroit. Il doit mettre de l’argent de côté pour payer les frais de scolarité d’une université new-yorkaise spécialisée dans le cinéma et pour cela, il accepte un job dans un vidéo club où il va nouer une relation aussi ambiguë que compliquée avec sa manager…

    Premier long-métrage pour la réalisatrice Chandler Levack qui dresse ici le portrait à la fois touchant et sincère d’un ado anxieux et narcissique. Je dois l’admettre, sur certains points (je dis bien, “certains”), je me suis reconnu dans le personnage de Lawrence. Non, je ne suis pas un connard nombriliste et encore moins inepte à la vie en société, mais comme lui à son âge, ma vie sociale passait après le cinéma, visionnant au minimum un film par jour. Plus d’une fois je me suis reconnu dans son personnage et son amour immodéré pour le 7ème Art.

    « Pour moi, les films c'est toute ma vie, j'en ai besoin comme j'ai besoin d'air pour respirer »

    Et c’est en cela que le film est touchant, la réalisatrice à réussi à brosser le portrait d’un ado comme on en voit peu au cinéma, évoluant dans un milieu qui réveillera la fibre nostalgique en chacun de nous, puisque l’intrigue se déroule au début des années 2000, lorsque les vidéo-clubs avaient encore pignon sur rue. Mais le film ne se focalise pas uniquement sur Lawrence, puisqu’il est aussi question d’Alana, la manageuse du vidéo-club, un personnage qui apporte toute son importance au récit.

    I Like Movies (2022) est un film canadien à petit budget qui nous renvoie 20 ans en arrière avec une réelle facilité, le tout, porté par d’excellents comédiens (Isaiah Lehtinen y est la révélation du film, aux côtés de Romina D'Ugo).

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    FaRem
    FaRem

    8 449 abonnés 9 391 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2023
    Pour son premier long-métrage, Chandler Levack s'est inspirée de sa propre expérience dans un vidéoclub. S'il ne s'agit pas d'un récit autobiographique, la réalisatrice était comme son personnage principal un cinéphile passionné qui paniquait à l'idée de savoir ce qu'elle allait faire plus tard. C'est le cas de Lawrence, qui passe le plus clair de son temps à regarder des films ou à trainer avec son meilleur ami Matt lorsqu'il n'est pas à l'école jusqu'au jour où il se fait embaucher dans un vidéoclub dans l'espoir de payer ses études de rêves dans une université de cinéma new-yorkaise. Un récit de passage à l'âge sur une personne qui tente de trouver sa place dans ce monde. On pourrait dire la même chose sur Alana, la patronne du magasin avec qui il va bien s'entendre. Ce personnage est peut-être le plus intéressant et aurait pu mener à une critique du milieu du cinéma même si ce n'est évidemment pas le sujet. Quant à Lawrence, il a des "circonstances atténuantes", mais ce n'est pas le personnage le plus sympathique qui soit. Il traverse une période difficile, mais ce n'est pas une raison d'être un mauvais fils ou un mauvais ami. Un personnage détestable, mais un film appréciable avec de bons thèmes et beaucoup de références cinématographiques.
    Jorik V
    Jorik V

    1 259 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2023
    Celui-là, il faisait incontestablement partie de ces petites productions faisant le tour des festivals indépendants qu’on avait vraiment envie d’aimer. Voire plus : d’adorer et même peut-être de ranger au rayon des films culte. Notamment pour tout cinéphile qui se respecte. Jugez plutôt : on y croque le portrait d’un amoureux de cinéma au début des années 2000, au temps où les vidéoclubs avaient encore pignon sur rue et brassaient les passionnés de septième art pointu autant que les afficionados de divertissement du samedi soir, dans son élément entre séances de ciné, travail au vidéoclub du coin et soirée films à la maison. « I like movie – Manique de films » aurait pu et aurait dû être du caviar fait long-métrage pour tout cinéphile ou cinéphage qui se respecte. Une œuvre qui était faite pour permettre l’identification totale de ces catégories de spectateurs, une sorte d’hommage à ceux qui vivent pour cet art. Et aussi un plaisant aperçu de ce microsome pour les autres. Et bien on en sera d’autant plus déçu tant ce film n’est rien de tout cela ou si peu.

    Déjà il déploie tous les tics d’un certain cinéma indépendant de cette période (sauf qu’il a été tourné à notre époque) à un point que ça en deviendrait presque gênant. Ou peut-être est-ce fait exprès de la part du réalisateur torontois Chandler Levack? En tout cas cela donne un aspect délavé et vieillot à « I like movies – Maniaque de films ». De l’image au format carré à son grain poussiéreux en passant par ses personnages en marge et ses extérieurs tristes et impersonnels on se croirait à Sundance à la fin des années 90. Et si l’histoire de cet adolescent fan de cinéma n’est pas dénuée d’intérêt, elle donne la part belle à un protagoniste agaçant comme cela faisait longtemps que l’on n’en avait pas vu sur grand écran. Tête à claques, égoïste, prétentieux, énervant, déplaisant... Les qualificatifs manqueraient presque pour dépeindre ce personnage hautement désagréable. Si Levack s’est mis en scène de manière autobiographique avec Lawrence, il ne s’est pas gâté, mais, surtout, le portrait n’est clairement pas flatteur. Difficile dans ces conditions d’adhérer plus en amont aux soucis et pérégrinations de son personnage.

    Heureusement, un contrepoids se fait grâce à un second rôle de toute beauté en la personne de sa patronne au vidéoclub. Son personnage est beau, ses traumas sont probants en plus de résonner avec l’actualité et l’actrice qui l’incarne est magnétique et douée au possible. Les séquences où elle apparaît représentent sans conteste les meilleurs moments du film. D’ailleurs toutes les scènes au vidéoclub, avec leur aspect passéiste et nostalgique d’une époque révolue, sont les plus pertinentes et réussies. On aurait aimé aussi plus de dialogues orientés cinéma et plus de références pour une œuvre avec un tel sujet. Prenant finalement la forme d’un coming age movie, « I like movies – Maniaque de films » loupe le coche et en deviendrait presque frustrant. Le culte est loin et ce petit film s’avère proprement insignifiant en plus d’être énervant avec son personnage antipathique au possible.

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    eldarkstone
    eldarkstone

    209 abonnés 2 061 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Une histoire à la base intéressante, bâclée par un aspect trop gentillet et simpliste, avec des acteurs de seconde zone ...
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