Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce qui est beau, dans ce deuxième long [...], c’est qu’il ne juge pas ses personnages. Il ne les caricature pas, les éclaire sous des jours différents, au sens figuré comme au sens propre, tant la photo et les cadres parfaits embellissent ces protagonistes et les rendent multiples.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Culturopoing.com
par Eleonore Vigier
Un récit à l’image profondément belle, riche en références artistiques [...] autour d’une relation mère-fils hantée par le poids des non-dits et brisée par une société corrompue et violente, les poussant à s’engager dans une voie aux antipodes de leurs principes moraux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Camille Nevers
Dans la lumière changeante des lieux nombreux et des stations successives, l’alternance des mouvements et des repos, "les Damnés ne pleurent pas" n’est pas un film cruel. C’est ce qui en fait le prix, l’originalité, comme la lumière : la douceur du sort, même acharné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par S. G.
« Mamma Roma » de Pasolini en tête, l’Anglo-Marocain Fyzal Boulifa dénonce les hypocrisies d’une société patriarcale dominée par la transaction dans ce mélodrame puissant desservi par sa longueur mais excellemment joué par deux acteurs débutants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Portrait croisé d’une mère célibataire marocaine et de son fils de 17 ans, et en creux de la cruauté du monde, le long métrage de Fyzal Boulifa a le grand mérite de s’extirper d’un scénario d’abord un peu consensuel pour oser des retournements inattendus.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Malgré un air de déjà-vu, ce film séduit par l'écriture de ses deux personnages et leur incarnation.
Télérama
par Marie Sauvion
Formidablement incarné par deux acteurs non professionnels, le tandem touche au cœur, avec une mention spéciale pour la mamma (Aïcha Tebbae), que ni les hommes, ni Dieu n’empêcheront d’aimer la fête.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
C’est aussi la limite du film, privé de la puissance du mélodrame par son goût pour la bifurcation, des rapports intra-familiaux aux relations postcoloniales, de la condition homosexuelle au Maroc à la survivance de la polygamie.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film, influencé à l’évidence par les grandes figures à la fois comiques et sociales du cinéma italien, néanmoins trop programmatique et trop disparate, tient surtout par la présence forte et attachante des deux acteurs non professionnels qui occupent le devant de la scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Des personnages passionnants desservis par un récit qui aurait mérité à être resserré pour mieux en exprimer toute la puissance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Ce qui est beau, dans ce deuxième long [...], c’est qu’il ne juge pas ses personnages. Il ne les caricature pas, les éclaire sous des jours différents, au sens figuré comme au sens propre, tant la photo et les cadres parfaits embellissent ces protagonistes et les rendent multiples.
Culturopoing.com
Un récit à l’image profondément belle, riche en références artistiques [...] autour d’une relation mère-fils hantée par le poids des non-dits et brisée par une société corrompue et violente, les poussant à s’engager dans une voie aux antipodes de leurs principes moraux.
Libération
Dans la lumière changeante des lieux nombreux et des stations successives, l’alternance des mouvements et des repos, "les Damnés ne pleurent pas" n’est pas un film cruel. C’est ce qui en fait le prix, l’originalité, comme la lumière : la douceur du sort, même acharné.
L'Obs
« Mamma Roma » de Pasolini en tête, l’Anglo-Marocain Fyzal Boulifa dénonce les hypocrisies d’une société patriarcale dominée par la transaction dans ce mélodrame puissant desservi par sa longueur mais excellemment joué par deux acteurs débutants.
Les Fiches du Cinéma
Portrait croisé d’une mère célibataire marocaine et de son fils de 17 ans, et en creux de la cruauté du monde, le long métrage de Fyzal Boulifa a le grand mérite de s’extirper d’un scénario d’abord un peu consensuel pour oser des retournements inattendus.
Ouest France
Malgré un air de déjà-vu, ce film séduit par l'écriture de ses deux personnages et leur incarnation.
Télérama
Formidablement incarné par deux acteurs non professionnels, le tandem touche au cœur, avec une mention spéciale pour la mamma (Aïcha Tebbae), que ni les hommes, ni Dieu n’empêcheront d’aimer la fête.
Cahiers du Cinéma
C’est aussi la limite du film, privé de la puissance du mélodrame par son goût pour la bifurcation, des rapports intra-familiaux aux relations postcoloniales, de la condition homosexuelle au Maroc à la survivance de la polygamie.
Le Monde
Le film, influencé à l’évidence par les grandes figures à la fois comiques et sociales du cinéma italien, néanmoins trop programmatique et trop disparate, tient surtout par la présence forte et attachante des deux acteurs non professionnels qui occupent le devant de la scène.
Première
Des personnages passionnants desservis par un récit qui aurait mérité à être resserré pour mieux en exprimer toute la puissance.