Toute la beauté et le sang versé : Critique presse
Toute la beauté et le sang versé
Note moyenne
4,2
27 titres de presse
Le Parisien
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Libération
Positif
Sud Ouest
Bande à part
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
Franceinfo Culture
L'Obs
La Croix
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Echos
Les Inrockuptibles
Marianne
Marie Claire
Ouest France
Télé 2 semaines
Télérama
aVoir-aLire.com
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Cet affrontement à la David contre Goliath va progressivement porter ses fruits : une belle histoire, doublée de celle, fascinante, de l’une des plus grandes artistes vivantes…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Neuf ans après l’événement « Citizenfour », la documentariste revient avec un film splendide autour de Nan Goldin.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un Lion d'or notable et mérité pour Laura Poitras, qui livre un grand documentaire, à la fois politique et intime.
Libération
par Luc Chessel
La cinéaste Laura Poitras et la photographe Nan Goldin, formant une alliance qui fait événement, offrent à notre époque un film incroyable : à la fois une rétrospective et un manifeste de ce dont l’art, la vie et la lutte politique – le triangle qu’ils peuvent former – sont capables dans l’état actuel des choses.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Philippe Domecq
Toute la beauté et le sang versé est un conte noir où se mêlent l'engagement, l'intime et la poésie.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Ce film bouleversant parvient à éclairer avec une même intensité le travail artistique de Nan Goldin et son activisme. Sur ces deux terrains, il décrit une femme intègre.
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce portrait d’une artiste et activiste qui se dévoile peu à peu, sous le regard de la réalisatrice, est d’une force bouleversante. Car il naît d’une confiance et d’une amitié, et raconte un rapport insensé à la mort et à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Poitras, sans commentaire ni carton, parvient à faire émerger la position paradoxale de Goldin, dedans et dehors. Cette propension, ce goût, même, à s’immerger sans se fondre, à traverser des mondes, elle la partage avec la cinéaste, qui, du début à la fin, contre le tropisme égotiste de tout biopic d’artiste, garde le cap de la traversée d’une époque.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Pensées comme les fragments d'un récit plus global, les photographies de Nan Goldin permettent à la documentariste d’exprimer le lien ineffable entre les événements d’une vie et la construction d’une vision du monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un portrait de Nan Goldin beau et poignant.
Elle
par Françoise Delbecq
Un passionnant portrait.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Patchwork d’une vie d’artiste devenue lanceuse d’alerte et activiste, "Toute la beauté et le sang versé" démontre combien l'image de l’artiste cloîtré dans sa tour d’ivoire est révolue.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
On n’oubliera pas les visages figés des Sackler face aux familles de leurs victimes ni ceux des parents de Goldin âgés, empreintes du déni et de la honte d’une société viciée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le film, admirablement construit, mêle plusieurs niveaux de récits allant de l’intime au politique et, à travers la trajectoire de cette artiste, séquencée en chapitres correspondant chacun à une œuvre (The Ballad of Sexual Dependency ; Sisters, Saints and Sibyls ; Witnesses : Against our Vanishing), donne à voir tout un autre pan de l’histoire de l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Beau et poignant.
Le Figaro
par V. D.
Le film de Laura Poitras sur cette croisade, Toute la beauté et le sang versé, est parfaitement construit, souvent à travers le récit de l'artiste, son échappée belle de sa famille répressive, son arrivée à New York au sein d'une communauté gay qui l'accueille et la fascine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un constat édifiant, servi par une mise en scène puissante, en empathie totale avec son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl.
Sur invitation de l’artiste, la réalisatrice Laura Poitras se trouve au bon endroit au bon moment, mais son travail d’enquête consiste, ici, à prendre de la distance pour retracer l’histoire de la rébellion de son inspiratrice, à partir d’un foisonnement d’archives particulièrement intéressantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film dont la richesse thématique et formelle suscite l'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
À la fois chronique intime, balayage de l’histoire du New York underground des années 1970-1980 et pamphlet contre l’impunité dont jouissent les puissant·es, à l’instar de Citizenfour (2014), antépénultième film de Laura Poitras, Toute la beauté et le sang versé est, malgré la charge parfois à gros sabots de son activisme, un objet plus complexe qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
La réalisatrice Laura Poitras consacre un film passionnant à la photographe américaine Nan Goldin. Ce voyage dans l’histoire agitée de la scène underground des dernières décennies invite également à découvrir son combat contre un scandale sanitaire majeur de notre époque : la « crise des opiacés ». À découvrir d’urgence.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Laura Poitras retrace ses blessures et ses combats dans le scandale des opiacés au fil d’un émouvant documentaire-confession aux accents psychanalytiques.
Ouest France
par Thierry Cheze
Un film majeur.
Télé 2 semaines
par M. AU.
De ce regard cinématographique, auquel se mêle le point de vue photographique, émerge une œuvre harmonieuse, viscérale et puissamment politique.
Télérama
par Samuel Douhaire
Mais Toute la beauté et le sang versé passionne davantage encore par son autoportrait de Nan Goldin sous forme de roman-photo illustré par ses propres images, certaines iconiques, d’autres inédites.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Virtuose et parfaitement maîtrisé, ce documentaire couronné du Lion d’or à Venise est tout autant le témoignage de vie d’une grande artiste que le combat militant et radical d’une photographe rongée par les hérésies de l’industrie pharmaceutique américaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Frédéric Foubert
En mêlant les images de ce combat à celles du parcours esthétique et intime de la photographe, Laura Poitras dessine les contours d’une existence passée à lutter contre des forces américaines répressives très puissantes : le puritanisme hier, la rapacité et l’impunité des hyper-riches aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Cet affrontement à la David contre Goliath va progressivement porter ses fruits : une belle histoire, doublée de celle, fascinante, de l’une des plus grandes artistes vivantes…
Le Point
Neuf ans après l’événement « Citizenfour », la documentariste revient avec un film splendide autour de Nan Goldin.
Les Fiches du Cinéma
Un Lion d'or notable et mérité pour Laura Poitras, qui livre un grand documentaire, à la fois politique et intime.
Libération
La cinéaste Laura Poitras et la photographe Nan Goldin, formant une alliance qui fait événement, offrent à notre époque un film incroyable : à la fois une rétrospective et un manifeste de ce dont l’art, la vie et la lutte politique – le triangle qu’ils peuvent former – sont capables dans l’état actuel des choses.
Positif
Toute la beauté et le sang versé est un conte noir où se mêlent l'engagement, l'intime et la poésie.
Sud Ouest
Ce film bouleversant parvient à éclairer avec une même intensité le travail artistique de Nan Goldin et son activisme. Sur ces deux terrains, il décrit une femme intègre.
Bande à part
Ce portrait d’une artiste et activiste qui se dévoile peu à peu, sous le regard de la réalisatrice, est d’une force bouleversante. Car il naît d’une confiance et d’une amitié, et raconte un rapport insensé à la mort et à la vie.
Cahiers du Cinéma
Poitras, sans commentaire ni carton, parvient à faire émerger la position paradoxale de Goldin, dedans et dehors. Cette propension, ce goût, même, à s’immerger sans se fondre, à traverser des mondes, elle la partage avec la cinéaste, qui, du début à la fin, contre le tropisme égotiste de tout biopic d’artiste, garde le cap de la traversée d’une époque.
Critikat.com
Pensées comme les fragments d'un récit plus global, les photographies de Nan Goldin permettent à la documentariste d’exprimer le lien ineffable entre les événements d’une vie et la construction d’une vision du monde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un portrait de Nan Goldin beau et poignant.
Elle
Un passionnant portrait.
Franceinfo Culture
Patchwork d’une vie d’artiste devenue lanceuse d’alerte et activiste, "Toute la beauté et le sang versé" démontre combien l'image de l’artiste cloîtré dans sa tour d’ivoire est révolue.
L'Obs
On n’oubliera pas les visages figés des Sackler face aux familles de leurs victimes ni ceux des parents de Goldin âgés, empreintes du déni et de la honte d’une société viciée.
La Croix
Le film, admirablement construit, mêle plusieurs niveaux de récits allant de l’intime au politique et, à travers la trajectoire de cette artiste, séquencée en chapitres correspondant chacun à une œuvre (The Ballad of Sexual Dependency ; Sisters, Saints and Sibyls ; Witnesses : Against our Vanishing), donne à voir tout un autre pan de l’histoire de l’Amérique.
Le Dauphiné Libéré
Beau et poignant.
Le Figaro
Le film de Laura Poitras sur cette croisade, Toute la beauté et le sang versé, est parfaitement construit, souvent à travers le récit de l'artiste, son échappée belle de sa famille répressive, son arrivée à New York au sein d'une communauté gay qui l'accueille et la fascine.
Le Journal du Dimanche
Un constat édifiant, servi par une mise en scène puissante, en empathie totale avec son sujet.
Le Monde
Sur invitation de l’artiste, la réalisatrice Laura Poitras se trouve au bon endroit au bon moment, mais son travail d’enquête consiste, ici, à prendre de la distance pour retracer l’histoire de la rébellion de son inspiratrice, à partir d’un foisonnement d’archives particulièrement intéressantes.
Les Echos
Un film dont la richesse thématique et formelle suscite l'admiration.
Les Inrockuptibles
À la fois chronique intime, balayage de l’histoire du New York underground des années 1970-1980 et pamphlet contre l’impunité dont jouissent les puissant·es, à l’instar de Citizenfour (2014), antépénultième film de Laura Poitras, Toute la beauté et le sang versé est, malgré la charge parfois à gros sabots de son activisme, un objet plus complexe qu’il n’y paraît.
Marianne
La réalisatrice Laura Poitras consacre un film passionnant à la photographe américaine Nan Goldin. Ce voyage dans l’histoire agitée de la scène underground des dernières décennies invite également à découvrir son combat contre un scandale sanitaire majeur de notre époque : la « crise des opiacés ». À découvrir d’urgence.
Marie Claire
Laura Poitras retrace ses blessures et ses combats dans le scandale des opiacés au fil d’un émouvant documentaire-confession aux accents psychanalytiques.
Ouest France
Un film majeur.
Télé 2 semaines
De ce regard cinématographique, auquel se mêle le point de vue photographique, émerge une œuvre harmonieuse, viscérale et puissamment politique.
Télérama
Mais Toute la beauté et le sang versé passionne davantage encore par son autoportrait de Nan Goldin sous forme de roman-photo illustré par ses propres images, certaines iconiques, d’autres inédites.
aVoir-aLire.com
Virtuose et parfaitement maîtrisé, ce documentaire couronné du Lion d’or à Venise est tout autant le témoignage de vie d’une grande artiste que le combat militant et radical d’une photographe rongée par les hérésies de l’industrie pharmaceutique américaine.
Première
En mêlant les images de ce combat à celles du parcours esthétique et intime de la photographe, Laura Poitras dessine les contours d’une existence passée à lutter contre des forces américaines répressives très puissantes : le puritanisme hier, la rapacité et l’impunité des hyper-riches aujourd’hui.