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    JEAN-FRANCOIS Bordier
    JEAN-FRANCOIS Bordier

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2023
    Pas facile de rentrer dans ce film dans le film qui a aussi la forme d un documentaire.

    Il y a des longueurs dans la description des traditions ancestrales du village iranien
    Et il n' est pas toujours facile de distinguer la réalité et la fiction

    Mais c est à voir
    Eleni
    Eleni

    13 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 janvier 2023
    Élaboré, subtil et complexe "Aucun ours" est sans aucune doute un grand film. Panahi y ouvre des tiroirs, des croisements, qui nous font pénétrer dans l'intimité de ce que l'on vit dans un pays emmuré. Peu à peu on a l'impression de rentrer dans le cercle privé du réalisateur, voire d'en faire partie.
    CINÉ FEEL
    CINÉ FEEL

    49 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2023
    Un film d’une immense richesse , à la fois fable et documentaire sur la société iranienne, sur le processus de création et sur la manipulation de l’image devenue une arme Une mise en abîme portée par un scénario complexe et subtil qui se dévoile avec parcimonie, qui laisse se perdre le spectateur ( pour son plus grand plaisir) entre réalité et fiction, vérité et mensonge. On sort de là étourdi et impressionné par la force du cinema iranien qui convoque une nouvelle fois l’intime et le politique avec brio.
    Daniel Gonzalez10
    Daniel Gonzalez10

    1 abonné 73 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2022
    Un beau film à l image du cinéma iranien
    Dans ce film a tiroirs la quête de liberté la dispute à l amour
    Mais in fine c est no future pour tous les acteurs
    Babou
    Babou

    8 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 décembre 2022
    Qu'il est difficile de s'affranchir ! Des traditions, des conventions, de la pression sociale et politique. La liberté a un prix et ce film émouvant le montre. Avec, au bout du chemin, la mort et le désespoir (dans un coup de frein, comme s'il n'était plus possible d'avancer) pour ceux qui tentent de fuir. Cette œuvre prouve que la qualité d'un film ne dépend pas des moyens engagés. Tourné clandestinement, avec une équipe réduite, ce film porte avec force un message prégnant, appuyé par le contexte actuel. Impressionnant. Pour nous rappeler la chance que nous avons, nous qui sommes si éloignés de ces préoccupations. Pour le moment...
    Arthus27
    Arthus27

    91 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2022
    Un film à la fois drôle et touchant. Aucun Ours s'inspire grandement de la vie de son réalisateur, Jafar Panahi, qui était alors interdit de sortie du territoire iranien, et interdit de réalisation. Il a depuis été enfermé par le régime.
    Grâce à son écriture fine et a une réalisation riche et signifiante, le film parvient à nous emporter et nous transmet une grande variété d'émotions, nous faisant passer du rire aux larmes (et inversement).
    elisa
    elisa

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2022
    Courageux Jafar PANAHI , défiant mollahs et oppression / répression politiques ! A voir absolument : pour approcher ces culture, croyances, coutumes, qui nous sont étrangères autant qu'étranges. Par nos entrées, nous apportons notre soutien (confortablement installés !) à la Résistance de ceux qui , bien qu'ils en soient privés, se battent encore et toujours pour la LIBERTE !
    1critique
    1critique

    11 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 décembre 2022
    Mon analyse et critique en vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=Ym_XziYcmzg

    Le 23 Novembre dernier, alors que son réalisateur croupit dans une geôle insalubre de Téhéran,
    sortait en France le dernier long-métrage de Jafar Panahi, dissident iranien à la renommée internationale.
    Réduit à la détention quand d’autres artistes moins malheureux connaissent la censure, Jafar Panahi est un
    jeteur de pont, une figure tutélaire relais entre le coeur d’une société iranienne écrasée par la radicalisation
    du pouvoir et les nations étrangères attentives face à ce nouveau géant de la géopolitique internationale.
    Jafar Panahi en prison, c’est une intelligence gâchée, c’est indignement couper les ailes d’un cinéma en
    pleine maturité, c’est rompre l’écho d’une des voix les plus importantes et géniales du cinéma
    contemporain. Car disons-le : Jafar Panahi s’est affirmé comme l’un des plus grands cinéastes de la
    décennie, et à coup sûr aura la postérité qui lui est échu, y compris dans son pays d’origine quand les
    temps y seront plus propices. Son travail d’analyse de la société iranienne est monumental, et sa mise en
    scène limpide, jamais froide, toujours curieuse et attentive, tant sociologiquement
    qu’anthropologiquement, fait de lui cet artiste qui dérange, car il ne trahit rien: ni ses ambitions
    révolutionnaires ni la rigueur dialectique d’une telle entreprise. Si l’humanisme de Jafar Panahi est
    évidemment moteur de son cinéma, il est une lumière plus discrète, venue de dos, bon à souligner les
    contours de ses personnages, à les distinguer, qu’il traite comme des sujets d’études à part entière. Cette
    sympathie froide de Panahi est caractéristique de la dualité de son cinéma: à la fois empathique et
    chaleureux, immergé à l’intérieur des cercles, des familles, des traditions, mais toujours distant d’un pas,
    ce recul de l’œil lucide qui ne prend pas parti sans avoir pris le soin de s’expliquer les rouages matériels
    de la société et de la nature du récit. Dans Aucun Ours, cette démarche est perceptible et c’est à mon avis
    l’une des meilleures raisons pour Jafar Panahi de se mettre en scène, dans un propos meta-textuel, où le
    cinéma parle avant tout du cinéma. Sa personnalité, auquel s’ajoute le statut de libre-penseur poursuivi
    par le pouvoir, est l’incarnation même de sa démarche philosophique et scientifique. Car Jafar Panahi
    dans le film est un être essentiellement passif: si le film tente tant bien que mal de suivre une trame, à
    savoir la réalisation d’un long-métrage de l’autre côté de la frontière turque, auprès duquel d’ailleurs il ne
    peut tenir qu’une place de spectateur, Jafar Panahi est ballotté entre divers tourments familiaux et
    politiques auquel il concède du temps et de la matière. Il ne fait aucune résistance aux circonvolutions du
    récit : il se laisse porter sans jugement dans les affres de l’intrigue, à l’intérieur des cahutes en pierre ou le
    long de la vallée de contrebande, et se plie aux traditions sanctifiées de la ruralité. Cette part documentaire
    si chère à Godard est fondamentale dans le cinéma de Panahi, et le talent de Panahi est de la rendre
    foisonnante comme la vie: dans chaque plan, il y a une porte de sortie, une rencontre humaine qui dévie le
    cours naturel du scénario : il y a un bouillonnement intérieur comme une trace, un indice, qu’il ne faut pas
    laisser échapper.

    Film sur la censure qui consiste à empêcher de montrer, obligeant le cinéaste à toutes les
    contorsions, mais aussi film sur l’auto-censure, qui consiste à ne pas savoir voir, de laquelle Jafar Panahi
    apprend à se prémunir Le cinéaste possède une mission : servir au mieux la vérité! Le faux-monologue de
    l’actrice Zara, brillamment mis en scène, est un manifeste fédérateur pour les oreilles et les yeux des
    Iraniens de demain que Panahi souhaiteraient voir transfigurer la société théocrate, et qu’il fait participer
    dans son film comme un appel au réveil collectif, Mais c’est aussi une mise en garde à l’attention des
    sociétés occidentales auprès desquelles il entretient un succès nullement crédule, pertinemment conscient
    que l’intérêt qu’il suscite s’inscrit dans un historique anti-musulman, dans une rhétorique droit de
    l’hommiste paternaliste et infantilisante. Le cinéma du faux, surtout quand il s’agit des grosses
    productions orientalisantes, est une gangrène historiographique, bien souvent issue des lectures libérales
    du proche et moyen orient. Il sait que son succès n’est pas toujours désintéressé, et que la censure et la
    propagande font tout aussi partie de l’Occident, dans une forme plus discrète, mais tout aussi pernicieuse.
    L’insincérité, celle de son mari, qui finira de mener Zara au suicide, et de ses lamentations de quoi graver
    le précepte du cinéaste, et peut-être de tout bon cinéaste: "Elle a supporté la torture, l’exil, mais elle n’aura
    jamais supporté le mensonge".

    L’Iran n’est plus une nation quelconque à l’échelle du monde. Contrairement au récit occidental, l’Iran est
    une nation émergente techniquement moderne, et le bouillon traditionnel de rites et de superstitions; la
    mainmise d’un pouvoir totalisant, à l’image de ces ours montés de toute pièce. La force de Panahi, au
    travers de ses déambulations, est de séparer le grain de l’ivraie, de faire la part belle entre ce qui relève
    véritablement des valeurs fondamentales du pays persan et ce qui relève de l’enclave politique. Il parvient
    à renverser le couple conservatisme/progressisme en l’immergeant dans le concept de lutte des classes:
    entre ce qui appartient véritablement à l’axologie populaire et ce qui relève de la culture bourgeoise et
    dominante : c’est-à-dire au culte de la soumission.

    À l’image de son film, que le réalisateur Jafar Panahi veut comme une alternative à la propagande
    iranienne, le personnage Jafar Panahi entend faire vivre une rupture métaphysique majeure. L’imbroglio
    autour de la promesse de mariage, vieille tradition patriarcale sans justification métaphysique, dessine les
    contours d’une société du serment et de la parole consacrée. Mais si une cérémonie comme le
    lavage de pieds est porteuse de sens, en tant qu’elle véhicule un flux symbolique véritable et participe au
    tissu social, la parole sacrée érigée en justice participe à le déchirer. Panahi le montre: la parole est sujette
    au marchandage, et les tenants du pouvoir, aussi petit soit-il que celui du maire, s’accommodent bien
    d’une parole tronquée à des fins diplomatiques. Dans ce genre de tribunal, auquel le personnage de Jafar
    Panahi se confronte comme Socrate devant les sophistes, il règne l’arbitraire au nom du serment, mais
    cette parole sacrée a perdu de sa force, et par extension, son critère de vérité. À cette problématique
    contemporaine, Jafar Panahi entend bien apporter la charge de la preuve, ici, c’est le rôle tenu par la
    photographie et le cinéma, la photographie comme trace formelle d’un événement dans le temps, et le
    cinéma, ces 24 vérités par secondes, comme le témoignage dans un espace et un temps délimité, Ainsi,
    Jafar Panahi crée une rupture métaphysique majeur, en contradiction des infrastructures iraniennes salies
    par la corruption et l’idéologie réactionnaire. L’enregistrement vidéo ou la captation photographique sont
    des innovations cruciales dans les luttes citoyennes, ils ont servi de preuve des répressions, des exactions,
    et de tous les débordements, au proche et moyen orient, en Asie, en Amérique, et même en Europe, en
    témoigne récemment la guerre en Ukraine ou encore la crise des gilets jaunes en France. Plus concrète
    que la parole, la preuve matérielle est une étape décisive dans la lutte du peuple iranien pour une
    réappropriation de la notion de justice. L’intérêt excessif des villageois pour la photographie de Panahi
    prouve bien que la rupture métaphysique est en germe, qu’il existe déjà quelque part un affaissement de la
    croyance en la parole sacrée qu’il s’agit de conduire jusqu’à son terme. Le refus des images à travers
    l’iconoclasme millénaire de l’Islam, mais que les sociétés musulmanes ont ou non appliqué, avec plus
    ou moins de force, tout comme le christianisme n’était pas destiné à l’iconophilie il y a des siècles, est
    en train de s’émousser par une sorte d’empirisme et sous le mouvement des révolutions à travers le
    monde
    .
    Cependant, la scène du tribunal prouve bien que la preuve par l’image est un progrès nécessaire,
    mais pas suffisant. Le personnage de Jafar Panahi a beau sceller son témoignage dans la carte mémoire de
    son appareil photo, il ne joue pas le jeu de l’accusation et certifie ne pas posséder le cliché tant convoité.
    La raison est simple: quel est l’intérêt d’une telle photographie? Avec brio, Jafar Panahi ouvre une
    problématique majeure : celle de l’appropriation collective de l’image, en termes plus politique, celle de la
    socialisation des moyens de production photographiques et cinématographiques. Le rôle du cinéaste-
    reporter est-il de porter à charge un individu dans une querelle de mœurs ? Non, cela l’état Iranien le fait
    très bien : à savoir produire des images que pourtant il réprouve, à des fins répressives ou de propagande.
    Un cliché, une vidéo, est falsifiable, tronquable, on peut l’instrumentaliser à des fins politiques et en
    détourner le sens à loisir. Jafar Panahi n’est pas un juge , et une image univoque est une preuve beaucoup
    trop friable. Ce qui donne du sens à l’image : c’est le récit. Tout l’« intérêt de l’oeuvre de Panahi se trouve
    ici résumé : les enjeux artistiques et intellectuels sont les seuls à pouvoir donner une voix conséquente à
    l’image. Quelque part, la mise en abyme reboucle sur elle-même : la forme du film est une démonstration
    du fond du récit. Par sa réalisation ingénieuse, Jafar Panahi met en scène sa propre démarche artistique et
    intellectuelle qu’il veut pour preuve de la supériorité dialectique sur les outrages totalitaires du pouvoir
    iranien. À la fois invitation à produire collectivement des images, et à les agencer dans la forme la plus
    pure du journalisme ou de l’objet d’art, le film est une invitation philosophique au dépassement de
    l’opinion et de la doxa, une invitation à repenser le monde à partir des articulations logiques de la
    philosophie millénaire arabe. Mais plus encore, le film sonne comme un avertissement à ces curieux
    occidentaux qui du haut de leur prétention laïque, se délectant de la chute d’un obscurantisme religieux
    amalgamé, semble retomber dans une mythologie quasi-religieuse : celle de l’image sans récit, à l’heure
    où le système politique et économique occidental nourrit tous les mensonges pour sa propre survie.
    frederic T.
    frederic T.

    16 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2022
    Dans « Aucun Ours » Jafar Panahi joue Jafar Panahi réalisateur, qui tourne clandestinement l’histoire d’un couple d’iraniens réfugiés en Turquie depuis 10 ans qui tentent d’obtenir de faux passeports pour rejoindre l’Europe. Les acteurs jouent leur véritable histoire et interpellent Panahi sur le sens de son travail face à leur douloureux destin, lui qui s’est caché dans un village frontalier pour les diriger à distance.... Cette mise en abîme sur la responsabilité et l’importance des images est encore amplifiée par sa rencontre avec un jeune couple que des photos pourraient compromettre et que les villageois essaient d’obtenir pour condamner leur amour au nom de traditions ancestrales...
    Tout se mélange et se complète comme un fascinant puzzle qui assemblerait fiction et vie réelle pour dénoncer une société corsetée dans ses codes sociaux, religieux, traditionnels, patriarcaux,....
    Si le propos est glaçant et prémonitoire, il n’est pas dénué d’humour et même d’autodérision.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2022
    Aucun ours est un film iranien qui raconte l’histoire d’un réalisateur qui ne peut réaliser son film lui même et qui par conséquent logé dans un petit village frontalier du lieu de tournage. Entre rebondissements dans le village où ce dernier est et rebondissements sur le tournage, le personnage encaissé et ne se laisse pas déstabiliser. Captivant.
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    Comme à chaque film de Jafar Panahi, la première chose qui frappe à la vision d'Aucun ours, c'est l'extrême intelligence du cinéaste.

    Intelligence dans le procédé mis en place (la réalité vécue par les acteurs d'un film dans le film, en parallèle de ce que vit Panahi lui-même dans un village isolé d'où il dirige le film), intelligence dans les ressorts manipulés pour maintenir notre intérêt (fausses pistes et coups de théâtre) et intelligence enfin dans l'acuité avec laquelle sont montrés les rapports humains.

    Si nous sommes habitués à des démonstrations de savoir-faire de la part de Panahi (il y a des plans-séquences d'une formidable virtuosité dans ce film réalisé avec trois sous), on est plutôt surpris ici de voir l'émotion affleurer progressivement, jusqu'à un double final surprenant, pessimiste et bouleversant.

    Dans ce film doux amer qui condamne deux aliénations (le pouvoir politique iranien et les traditions villageoises rétrogrades), la placide silhouette du cinéaste maintenant emprisonné est terriblement fragile. Et émouvante.

    A voir absolument.
    Djifunk
    Djifunk

    32 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    Sur un ton très calme Panahi filme l' oppression des femmes et des réalisateurs. Malgré ce calme la tension est bien présente dans le film de ce cinéaste engagé et subtil.
    philhag
    philhag

    28 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 décembre 2022
    Je me suis profondément ennuyé. Tout d'abord, pendant peut être 15mn à 30 mn on ne comprend pas qui est qui, quoi est quoi. Mais peut-être ai-je dormi un instant ... Le film très long se réveille après la demi-heure. Le scénario prend alors sa signification mais toujours avec ses doutes.
    Si je l'avais vu à la télévision, j'aurais vite zappé.
    Il reste que les acteurs sont très vrais et la caméra est bonne.
    MICHEL SANCHEZ
    MICHEL SANCHEZ

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2022
    Très grand film de Panahi. Des mises en abymes qui montrent ses difficultés pour tourner des films, la dichotomie entre réalité et fiction des acteurs du film à tourner, les incompréhensions entre un monde rural confit dans ses traditions et les idéaux des citadins
    Luc R.
    Luc R.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2022
    Sublime ! Un résumé impressionnant de la société iranienne. Scénario magnifique, tournage impressionnant.
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