Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
François Civil est exceptionnel dans le passionnant « Pas de vagues ».
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
La tension est palpable, et l’étau semble se resserrer d’heure en heure pour cet homme au bord du précipice. Un ressenti renforcé par une mise en scène sans artifice et ultra réaliste, ainsi qu'un jeu d’acteur efficace.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Par rapport à sa bande-annonce grossière, "Pas de vagues" se révèle bien plus nuancé et intelligent. Cette dénonciation virulente d'un système scolaire qui se refuse à prendre en compte la détresse des élèves et des professeurs essuie certes quelques maladresses, mais parvient malgré tout à bouleverser, grâce à une écriture sensible et une interprétation excellente (et la musique de Benassi Bros).
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un thriller saisissant sur une institution en crise.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les personnages possèdent tous une face cachée, ce qui évite au récit de tomber dans la schématisation et lui confère une complexité supplémentaire – complexité sur laquelle se greffe avec intelligence une mise en scène acérée, tendue mais jamais mécanique, ainsi que l’interprétation d’une impeccable justesse de François Civil.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le film, complexe, très noir, asphyxiant, coécrit avec Audrey Diwan, trouve sa force dans une intransigeance qui mène peu à peu à la folie et à la destruction. Pour une simple erreur d’interprétation.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une œuvre coup de poing.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film sous tension et éclairant, porté par un François Civil formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
L'occasion pour Teddy Lussi-Modeste de montrer le désarroi d'un simple professeur dont l'idéalisme se cogne aux maux de la société. En déroulant sous nos yeux l'engrenage monstrueux de la rumeur, il accentue ici la tension de son film porté de bout en bout par le jeu ouvert, puissant de François Civil, capable de faire passer toutes les émotions de son personnage en proie à un cauchemar éveillé.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Teddy Lussi-Modeste, sans une scène de trop, dépeint une école qui n'a plus rien d'un sanctuaire, mais tout du réceptacle de certaines confusions de notre époque. Un constat amer pour un film qui frappe par sa justesse et sa rigueur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thierry Cheze
Passionnant.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
François Civil incarne avec justesse te émotion un homme accusé à tort et lâché par tous.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Sans doute Teddy Lussi-Modeste aborde-t-il trop de sujets au risque d’alourdir son film, mais le message est fort et porté par un François Civil ultrasensible.
Télé Loisirs
par Corentin Marouby
Malgré une mise en scène manquant parfois de finesse, ce récit est remarquable de justesse.
Voici
par La Rédaction
Le réalisateur fait preuve d'intelligence dans le traitement de ce sujet délicat et n’entretient aucun faux suspense malsain.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Après La salle des profs qui pointait du doigt le manque de discernement et les jugements expéditifs au sein d’un collège allemand, Pas de vagues propose une réflexion universelle sur les dérives de nos sociétés qui privilégient, depuis trop longtemps, la bien-pensance à la vérité, et laissent ainsi se répandre un sentiment d’injustice néfaste à la bonne marche de la démocratie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
On regrette néanmoins que le film, réalisé avec soin, ne mène nulle part, laissant le spectateur sur une issue focalisée sur le personnage principal, et sans réponses aux questions posées par ce scénario inspiré par une histoire vraie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La tension croît au fil d’un récit dont la justesse doit beaucoup à l’expérience de Teddy Lussi-Modeste (Jimmy Rivière, Le Prix du succès) qui s’inspire d’un épisode de son propre parcours d’enseignant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J. Ma.
Même si le film (...) procède d’un crescendo victimaire qui pourra sembler un peu chargé, du moins révèle-t-il, pour autant qu’on en puisse juger, une particulière acuité lorsqu’il s’agit de montrer comment l’institution scolaire, censée fournir au professeur au moins les conditions d’une défense équitable, manque à le soutenir à mesure que la violence se fait plus menaçante pour la sécurité de l’établissement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Pas de vagues" décrit avec minutie une mécanique qui s’emballe, une administration qui s’en lave les mains, les raisons des un·es et des autres et qui vont peu à peu menacer la carrière et la vie de couple d’un enseignant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Dans notre monde dopé aux faits divers où toute tentative parole équilibrée est balayée par la course au buzz, Pas de vagues apporte un contrepoids essentiel. Ne vous fiez pas aux rumeurs, plongez au cœur de la complexité qu’il propose.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Pas de vagues traite ici d’un sujet passionnant et sans doute jamais vraiment abordé au cinéma : le langage du prof. Mais au lieu de le déplier dans toute l’étendue qu’il mérite, le film plaque sur lui les constats déclinistes des enquêtes éducatives (et des émissions de Pascal Praud).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Teddy Lussi-Modeste s’est inspiré de sa propre expérience pour raconter l’histoire de Julien, prof de français accusé à tort de harcèlement. Malgré cela, on peine à se laisser convaincre, la faute à des personnages secondaires qui manquent d’épaisseur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le film est trop manichéen pour vraiment interpeller, tout est joué d’entrée de jeu : les bons et les méchants, les cultivés et les incultes, les courageux et les pleutres se distribuent selon une ligne de partage moral ou comportemental lourdement tracé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Julien, héros malmené de l’enseignement public, s’efforce jusqu’au bout de sauver auprès de ses élèves la noblesse du cadre scolaire, mais sa cause est de toute façon perdue depuis le début : Civil, inlassablement filmé plein cadre, est mis au banc de sa propre classe. On est loin des films des années 2000 (Être et avoir, Entre les murs) qui réservaient encore aux élèves un contrechamp égalitaire.
20 Minutes
François Civil est exceptionnel dans le passionnant « Pas de vagues ».
CNews
La tension est palpable, et l’étau semble se resserrer d’heure en heure pour cet homme au bord du précipice. Un ressenti renforcé par une mise en scène sans artifice et ultra réaliste, ainsi qu'un jeu d’acteur efficace.
Ecran Large
Par rapport à sa bande-annonce grossière, "Pas de vagues" se révèle bien plus nuancé et intelligent. Cette dénonciation virulente d'un système scolaire qui se refuse à prendre en compte la détresse des élèves et des professeurs essuie certes quelques maladresses, mais parvient malgré tout à bouleverser, grâce à une écriture sensible et une interprétation excellente (et la musique de Benassi Bros).
L'Humanité
Un thriller saisissant sur une institution en crise.
L'Obs
Les personnages possèdent tous une face cachée, ce qui évite au récit de tomber dans la schématisation et lui confère une complexité supplémentaire – complexité sur laquelle se greffe avec intelligence une mise en scène acérée, tendue mais jamais mécanique, ainsi que l’interprétation d’une impeccable justesse de François Civil.
La Voix du Nord
Le film, complexe, très noir, asphyxiant, coécrit avec Audrey Diwan, trouve sa force dans une intransigeance qui mène peu à peu à la folie et à la destruction. Pour une simple erreur d’interprétation.
Le Figaro
Une œuvre coup de poing.
Le Parisien
Un film sous tension et éclairant, porté par un François Civil formidable.
Le Point
L'occasion pour Teddy Lussi-Modeste de montrer le désarroi d'un simple professeur dont l'idéalisme se cogne aux maux de la société. En déroulant sous nos yeux l'engrenage monstrueux de la rumeur, il accentue ici la tension de son film porté de bout en bout par le jeu ouvert, puissant de François Civil, capable de faire passer toutes les émotions de son personnage en proie à un cauchemar éveillé.
Les Echos
Teddy Lussi-Modeste, sans une scène de trop, dépeint une école qui n'a plus rien d'un sanctuaire, mais tout du réceptacle de certaines confusions de notre époque. Un constat amer pour un film qui frappe par sa justesse et sa rigueur.
Ouest France
Passionnant.
Public
François Civil incarne avec justesse te émotion un homme accusé à tort et lâché par tous.
Télé 7 Jours
Sans doute Teddy Lussi-Modeste aborde-t-il trop de sujets au risque d’alourdir son film, mais le message est fort et porté par un François Civil ultrasensible.
Télé Loisirs
Malgré une mise en scène manquant parfois de finesse, ce récit est remarquable de justesse.
Voici
Le réalisateur fait preuve d'intelligence dans le traitement de ce sujet délicat et n’entretient aucun faux suspense malsain.
aVoir-aLire.com
Après La salle des profs qui pointait du doigt le manque de discernement et les jugements expéditifs au sein d’un collège allemand, Pas de vagues propose une réflexion universelle sur les dérives de nos sociétés qui privilégient, depuis trop longtemps, la bien-pensance à la vérité, et laissent ainsi se répandre un sentiment d’injustice néfaste à la bonne marche de la démocratie.
Franceinfo Culture
On regrette néanmoins que le film, réalisé avec soin, ne mène nulle part, laissant le spectateur sur une issue focalisée sur le personnage principal, et sans réponses aux questions posées par ce scénario inspiré par une histoire vraie.
La Croix
La tension croît au fil d’un récit dont la justesse doit beaucoup à l’expérience de Teddy Lussi-Modeste (Jimmy Rivière, Le Prix du succès) qui s’inspire d’un épisode de son propre parcours d’enseignant.
Le Monde
Même si le film (...) procède d’un crescendo victimaire qui pourra sembler un peu chargé, du moins révèle-t-il, pour autant qu’on en puisse juger, une particulière acuité lorsqu’il s’agit de montrer comment l’institution scolaire, censée fournir au professeur au moins les conditions d’une défense équitable, manque à le soutenir à mesure que la violence se fait plus menaçante pour la sécurité de l’établissement.
Les Inrockuptibles
"Pas de vagues" décrit avec minutie une mécanique qui s’emballe, une administration qui s’en lave les mains, les raisons des un·es et des autres et qui vont peu à peu menacer la carrière et la vie de couple d’un enseignant.
Première
Dans notre monde dopé aux faits divers où toute tentative parole équilibrée est balayée par la course au buzz, Pas de vagues apporte un contrepoids essentiel. Ne vous fiez pas aux rumeurs, plongez au cœur de la complexité qu’il propose.
Critikat.com
Pas de vagues traite ici d’un sujet passionnant et sans doute jamais vraiment abordé au cinéma : le langage du prof. Mais au lieu de le déplier dans toute l’étendue qu’il mérite, le film plaque sur lui les constats déclinistes des enquêtes éducatives (et des émissions de Pascal Praud).
Les Fiches du Cinéma
Teddy Lussi-Modeste s’est inspiré de sa propre expérience pour raconter l’histoire de Julien, prof de français accusé à tort de harcèlement. Malgré cela, on peine à se laisser convaincre, la faute à des personnages secondaires qui manquent d’épaisseur.
Libération
Le film est trop manichéen pour vraiment interpeller, tout est joué d’entrée de jeu : les bons et les méchants, les cultivés et les incultes, les courageux et les pleutres se distribuent selon une ligne de partage moral ou comportemental lourdement tracé.
Cahiers du Cinéma
Julien, héros malmené de l’enseignement public, s’efforce jusqu’au bout de sauver auprès de ses élèves la noblesse du cadre scolaire, mais sa cause est de toute façon perdue depuis le début : Civil, inlassablement filmé plein cadre, est mis au banc de sa propre classe. On est loin des films des années 2000 (Être et avoir, Entre les murs) qui réservaient encore aux élèves un contrechamp égalitaire.