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    Pas de vagues
    Note moyenne
    3,4
    25 titres de presse
    • 20 Minutes
    • CNews
    • Ecran Large
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Voix du Nord
    • Le Figaro
    • Le Parisien
    • Le Point
    • Les Echos
    • Ouest France
    • Public
    • Télé 7 Jours
    • Télé Loisirs
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Franceinfo Culture
    • La Croix
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Première
    • Critikat.com
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Cahiers du Cinéma

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    25 critiques presse

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    François Civil est exceptionnel dans le passionnant « Pas de vagues ».

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    CNews

    par La rédaction

    La tension est palpable, et l’étau semble se resserrer d’heure en heure pour cet homme au bord du précipice. Un ressenti renforcé par une mise en scène sans artifice et ultra réaliste, ainsi qu'un jeu d’acteur efficace.

    La critique complète est disponible sur le site CNews

    Ecran Large

    par Judith Beauvallet

    Par rapport à sa bande-annonce grossière, "Pas de vagues" se révèle bien plus nuancé et intelligent. Cette dénonciation virulente d'un système scolaire qui se refuse à prendre en compte la détresse des élèves et des professeurs essuie certes quelques maladresses, mais parvient malgré tout à bouleverser, grâce à une écriture sensible et une interprétation excellente (et la musique de Benassi Bros).

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Humanité

    par Michaël Mélinard

    Un thriller saisissant sur une institution en crise.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Les personnages possèdent tous une face cachée, ce qui évite au récit de tomber dans la schématisation et lui confère une complexité supplémentaire – complexité sur laquelle se greffe avec intelligence une mise en scène acérée, tendue mais jamais mécanique, ainsi que l’interprétation d’une impeccable justesse de François Civil.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    Le film, complexe, très noir, asphyxiant, coécrit avec Audrey Diwan, trouve sa force dans une intransigeance qui mène peu à peu à la folie et à la destruction. Pour une simple erreur d’interprétation.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Figaro

    par Eric Neuhoff

    Une œuvre coup de poing.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Un film sous tension et éclairant, porté par un François Civil formidable.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Le Point

    par La Rédaction

    L'occasion pour Teddy Lussi-Modeste de montrer le désarroi d'un simple professeur dont l'idéalisme se cogne aux maux de la société. En déroulant sous nos yeux l'engrenage monstrueux de la rumeur, il accentue ici la tension de son film porté de bout en bout par le jeu ouvert, puissant de François Civil, capable de faire passer toutes les émotions de son personnage en proie à un cauchemar éveillé.

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Echos

    par Olivier De Bruyn

    Teddy Lussi-Modeste, sans une scène de trop, dépeint une école qui n'a plus rien d'un sanctuaire, mais tout du réceptacle de certaines confusions de notre époque. Un constat amer pour un film qui frappe par sa justesse et sa rigueur.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Ouest France

    par Thierry Cheze

    Passionnant.

    Public

    par Sarah Lévy-Laithier

    François Civil incarne avec justesse te émotion un homme accusé à tort et lâché par tous.

    Télé 7 Jours

    par Isabelle Magnier

    Sans doute Teddy Lussi-Modeste aborde-t-il trop de sujets au risque d’alourdir son film, mais le message est fort et porté par un François Civil ultrasensible.

    Télé Loisirs

    par Corentin Marouby

    Malgré une mise en scène manquant parfois de finesse, ce récit est remarquable de justesse.

    Voici

    par La Rédaction

    Le réalisateur fait preuve d'intelligence dans le traitement de ce sujet délicat et n’entretient aucun faux suspense malsain.

    aVoir-aLire.com

    par Claudine Levanneur

    Après La salle des profs qui pointait du doigt le manque de discernement et les jugements expéditifs au sein d’un collège allemand, Pas de vagues propose une réflexion universelle sur les dérives de nos sociétés qui privilégient, depuis trop longtemps, la bien-pensance à la vérité, et laissent ainsi se répandre un sentiment d’injustice néfaste à la bonne marche de la démocratie.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Franceinfo Culture

    par Laurence Houot

    On regrette néanmoins que le film, réalisé avec soin, ne mène nulle part, laissant le spectateur sur une issue focalisée sur le personnage principal, et sans réponses aux questions posées par ce scénario inspiré par une histoire vraie.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    La Croix

    par Corinne Renou-Nativel

    La tension croît au fil d’un récit dont la justesse doit beaucoup à l’expérience de Teddy Lussi-Modeste (Jimmy Rivière, Le Prix du succès) qui s’inspire d’un épisode de son propre parcours d’enseignant.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Monde

    par J. Ma.

    Même si le film (...) procède d’un crescendo victimaire qui pourra sembler un peu chargé, du moins révèle-t-il, pour autant qu’on en puisse juger, une particulière acuité lorsqu’il s’agit de montrer comment l’institution scolaire, censée fournir au professeur au moins les conditions d’une défense équitable, manque à le soutenir à mesure que la violence se fait plus menaçante pour la sécurité de l’établissement.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    "Pas de vagues" décrit avec minutie une mécanique qui s’emballe, une administration qui s’en lave les mains, les raisons des un·es et des autres et qui vont peu à peu menacer la carrière et la vie de couple d’un enseignant.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Première

    par Thierry Chèze

    Dans notre monde dopé aux faits divers où toute tentative parole équilibrée est balayée par la course au buzz, Pas de vagues apporte un contrepoids essentiel. Ne vous fiez pas aux rumeurs, plongez au cœur de la complexité qu’il propose.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Critikat.com

    par Jean-Sébastien Massart

    Pas de vagues traite ici d’un sujet passionnant et sans doute jamais vraiment abordé au cinéma : le langage du prof. Mais au lieu de le déplier dans toute l’étendue qu’il mérite, le film plaque sur lui les constats déclinistes des enquêtes éducatives (et des émissions de Pascal Praud).

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Les Fiches du Cinéma

    par Marine Quinchon

    Teddy Lussi-Modeste s’est inspiré de sa propre expérience pour raconter l’histoire de Julien, prof de français accusé à tort de harcèlement. Malgré cela, on peine à se laisser convaincre, la faute à des personnages secondaires qui manquent d’épaisseur.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Didier Péron

    Le film est trop manichéen pour vraiment interpeller, tout est joué d’entrée de jeu : les bons et les méchants, les cultivés et les incultes, les courageux et les pleutres se distribuent selon une ligne de partage moral ou comportemental lourdement tracé.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Cahiers du Cinéma

    par Mathilde Grasset

    Julien, héros malmené de l’enseignement public, s’efforce jusqu’au bout de sauver auprès de ses élèves la noblesse du cadre scolaire, mais sa cause est de toute façon perdue depuis le début : Civil, inlassablement filmé plein cadre, est mis au banc de sa propre classe. On est loin des films des années 2000 (Être et avoir, Entre les murs) qui réservaient encore aux élèves un contrechamp égalitaire. 

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