Note moyenne
3,2
25 titres de presse
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20 Minutes
Le film dépeint avec justesse les obstacles auxquels sont confrontés les parents d’enfants autistes, notamment dans le milieu scolaire.
Closer
Audrey Lamy incarne son personnage avec brio. Et le tout jeune Eden Lopes réalise déjà une prouesse d'acteur.
Femme Actuelle
Dans ce rôle pas évident, d'autres actrices en vogue auraient pu faire un numéro convenu et vaniteux. Audrey Lamy, heureusement, ne donne pas l'impression qu'elle se regarde jouer.
Franceinfo Culture
"En tongs au pied de l'Himalaya" rend hommage sans pathos à la ténacité et au courage de tous les parents de ces enfants dotés d'"un petit truc en plus".
Le Parisien
Adapté d’une pièce de théâtre, ce film démonte les clichés sur l’autisme et expose les difficultés quotidiennes d’une mère célibataire confrontée à l’éducation d’un enfant « pas comme les autres ». Jamais plombant, souvent drôle, il oscille sans cesse entre légèreté et gravité et touche au cœur.
Télé 2 semaines
Audrey Lamy est poignante en mère courage dans ce film d'une justesse folle.
Télé 7 Jours
En parfait équilibre entre gravité et légèreté, John Wax signe un film subtil, touchant et drôle [...].
Télé Loisirs
Malgré certains choix narratifs superflus, impossible de ne pas se laisser attendrir par ce beau récit de résilience et d'amour.
Version Femina
Si Audrey Lamy trouve ici son plus beau rôle, c’est parce qu’elle déploie son talent sur une partition fine, sensible et drôle, qui bouleverse sans jamais tirer sur la corde de l’émotion, et qu’elle donne la réplique à d’excellents partenaires, comme Nicolas Chupin ou Naidra Ayadi.
aVoir-aLire.com
Sincère et engagé, « En tongs au pied de l’Himalaya » montre sans fard les difficultés que rencontrent tout parent en proie avec l’autisme de son enfant. Une réussite portée par une Audrey Lamy toute en nuances.
Abus de Ciné
Pédagogique et efficace, cette comédie dramatique a la trame certes un peu convenue, a le mérite de poser les difficultés pour une mère d’élever un enfant différent et l’espoir mis en une impossible inclusion de celui-ci dans la société.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Entre rires et larmes, le film trace une ligne d'équilibre précaire mais lumineuse.
Diverto
Il y a beaucoup de tendresse et un regard décalé, presque distancié, dans ce portrait de femme qui ne trouve plus les armes pour combattre, si ce n’est celle, essentielle, de l’amour immodéré d’une mère pour son fils.
L'Obs
Les seconds rôles (mari, frère, père) sont autant de notes décalées et cocasses qui viennent étoffer les mésaventures de l’héroïne (impeccable Audrey Lamy). Quant à la mise en scène du coréalisateur de « Tout simplement Noir », elle ne cherche jamais à se faire plus maligne que son sujet et offre un regard frontal mais délicat, dénué de toute commisération.
La Croix
Le film de John Wax aborde la question de l’autisme à travers le portrait d’une mère désemparée qu’incarne avec sensibilité Audrey Lamy.
Le Dauphiné Libéré
Au pied de cet Himalaya intime, les tongs ne suffisent peut-être pas, mais elles témoignent d'un courage sans faille.
Le Monde
La comédie dramatique de John Wax, avec Audrey Lamy, entrelace la gravité et le rire, et se tient à l’écart du film à sujet, en partie grâce à sa dimension sociale.
Paris Match
Le récit met de côté les écueils du film à thème, et balance entre humour et désespoir dans un beau cri d'amour maternel.
Première
On connaît depuis son seule en scène Dernières avant Vegas le talent comique d’Audrey Lamy. On avait eu trop peu d’occasions (Polisse, Les Invisibles, La Brigade…) d’admirer son aisance à gravir des pentes plus dramatiques comme elle s’y emploie ici avec une fluidité, une justesse, une amplitude qui portent le film vers des sommets.
Télérama
Audrey Lamy s’abandonne totalement dans un rôle taillé sur mesure, celui d’une mère dont la résilience n’empêche pas quelques égarements. Là où cette « dramédie » déçoit, c’est dans sa mise en scène, terne, que même des dialogues bien écrits et l’apparition de Jean-Pascal Zadi ne parviennent pas à faire oublier.
Le Point
Entre le plaidoyer pour l'inclusion et le portrait d'une mère courage, jouée avec beaucoup de justesse par Audrey Lamy, cette comédie dramatique au scénario un peu convenu ne trouve pas son équilibre et reste à la surface des choses sur un sujet délicat qui tient difficilement en 90 minutes.
Les Fiches du Cinéma
Adaptant le one-woman-show éponyme de Marie-Odile Weiss, John Wax se retient de prendre des risques et signe une comédie un peu trop appliquée.
Nice-Matin
Le ton, à la fois léger et sérieux, quand il s’agit de dépeindre le parcours du combattant des parents pour que leurs enfants ne soient pas constamment exclus du reste de la société, sonne plutôt juste.
Ouest France
Ce long métrage tente d'aborder son sujet grave avec humour, mais demeure quelque peu tire-larmes. Pour l'énergie incontestable d'Audrey Lamy.
Les Inrockuptibles
Le combat d’une mère pour son fils autiste dans un film qui ne prend jamais sérieusement en charge le handicap et offre un petit condensé de paternalisme.