Première Affaire est une œuvre cinématographique qui laisse une belle empreinte dans le paysage du cinéma contemporain. À travers une narration captivante et des performances d'acteurs d'une intensité rare, ce film transporte les spectateurs dans un voyage émotionnel profondément poignant. L'histoire, tissée avec subtilité, explore les méandres complexes des relations humaines et les dilemmes moraux qui les sous-tendent. Les acteurs incarnent leurs personnages avec une authenticité saisissante, insufflant vie et profondeur à chaque rôle. Leur performance est tout simplement remarquable, nous offrant des moments de vérité brute et d'émotion pure qui résonnent longtemps après la fin du film.
Première Affaire, premier film de très belle facture d'une jeune réalisatrice Victoria Musiedlak à suivre de près. Parcours saisissant et touchant d'une jeune avocate pénaliste le film tient en haleine grâce notamment à une mise en scène maîtrisée et l'interprétation captivante de Noée Abita.
Plus qu'un polar, plus qu'une enquête, c'est un récit d'apprentissage, cette « Première affaire » est le moment de toutes les premières fois et l'on assiste, fascinés, à la naissance d'une femme. Magnifique et troublante performance de l'actrice Noée Abita, dont les yeux immenses et noirs nous fixent avec une sourde intensité. La manière de filmer l'histoire et ses personnages, à la fois crue et sensuelle, la beauté des cadrages et la photographie font le reste. Un très beau premier film à ne pas manquer !
Magnifique première réalisation. On est plongé dans une enquête sombre et passionnante. L'interprétation des acteurs principaux est parfaite. J'ai aussi adoré la BO.
Super premier film qui montre l'évolution d'une jeune avocate jetée dans le monde glacial d'une affaire pénale. Belle mise en scène qui met le spectateur dans l'ambiance du film si particulière. L'actrice principale, d'abord timide et gauche s'affirme pleinement en tant que femme et avocate. Je recommande. Allez y
Un premier long maîtrisé, original et fort, qui nous emmène dans les rouages d’un métier souvent mal exploité au cinéma. Une réalisatrice a suivre de très près !
"Première affaire" : premier long métrage de Victoria Musiedlak, un film passé par Locarno et Angoulème. Première affaire pénale pour Nora Aït, une jeune avocate qui, jusque là, avait été cantonnée dans le traitement de dossiers financiers. Peut-être aussi première affaire sentimentale sérieuse pour une jeune femme qui, à 26 ans, ne connaît pas grand chose de la vie. A la fin de ses études, peu de temps auparavant, Nora avait été engagée dans le cabinet d'Édouard Saint-Brieuc, spécialisé dans le droit des affaires. Un beau jour, son patron lui apprend par téléphone qu'elle doit se rendre à Arras pour représenter Jordan Blesy, un jeune homme de 18 ans. Dans sa cité, la rumeur court que Jordan et sa soeur seraient les fruits d'un inceste entre frère et soeur ce qui vaut à Jordan d'être surnommé « le monstre ». Soupçonné d'avoir enlevé une jeune fille, Jordan a été placé en garde à vue et il se retrouve face à Alexis Servan, un policier dont la rudesse des questions lui fait perdre le contrôle de son sphincter urinaire. Rude aussi est l'arrivée, sans aucune préparation, de Nora dans le grand bain du pénal, spoiler: d'autant plus lorsque la garde à vue de Jordan est requalifiée en homicide volontaire . Lire la suite sur https://www.critique-film.fr/critique-premiere-affaire/