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Votre avis sur Dernière nuit à Milan ?
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Chef d œuvre du polar italien de cette année ! Histoire de flics ripoux et de mafia chinoise somptueux thriller nocturne et joué magistralement par un brochette d'acteurs exceptionnels... courrez le voir
Dernière nuit à Milan avait (presque) toutes les qualités d'un grand polar. Le découpage, le montage et la réalisation sont terriblement efficaces et donnent une grand nervosité au récit. L'intrigue est originale et implacable. Pierfrancesco Favino est (comme toujours) formidable, parvenant à nous faire ressentir toutes les émotions qui le traverses : la peur, le stress, l'amour...
Malheureusement, le film soufre d'un énorme problème de crédibilité et de cohérence. A aucun moment on ne peut croire à quoi que ce soit : l'écriture des personnages est atroce, les choix opérés sont absurdes, la conclusion est risible... on décroche sans arrêt du film et jusqu'à perdre notre suspension consentie d'incrédulité.
Malheureusement, le film soufre d'un énorme problème de crédibilité et de cohérence. A aucun moment on ne peut croire à quoi que ce soit : l'écriture des personnages est atroce, les choix opérés sont absurdes, la conclusion est risible... on décroche sans arrêt du film et jusqu'à perdre notre suspension consentie d'incrédulité.
Difficile de critiquer ce film... j'en attendais beaucoup et sans être déçue, je ne suis pas pleinement satisfaite. Des images et des plans superbes, le jeu des acteurs est bon mais le scénario est bancal avec des scènes improbables voire tirées par les cheveux. Les 2 heures passent bien mais on ressent un peu des longueurs. Bref, je reste dubitative ! BO sympa !
Ce n'est pas désagréable à suivre, mais on ne croit pas une seconde au scénario et, globalement, aux personnages, très peu élaborés et pas forcément très intéressants. Avec une petite mention spéciale pour le principal personnage féminin, carrément agaçant.
Comme dans Nostalgia, l'interprétation remarquable de l'attachant Pierfrancesco Favino ne permet pas de gommer un scénario qui devient bancal à mi-parcours.
Après un générique assez époustouflant avec des vues aériennes de Milan nocturne magnifiques associées à une musique très originale, appropriée à un thriller "haletant", on tombe dans un scénario assez éculé mêlant mafia et flics ripoux et finalement peu crédible car on ne comprend pas bien comment ce flic "honnête" a pu se laisser embarqué dans une telle galère.
Scénario mal ficelé avec des flashs-back peu crédibles, ce qui en fait un film pas mauvais mais pas terrible.
Scénario mal ficelé avec des flashs-back peu crédibles, ce qui en fait un film pas mauvais mais pas terrible.
Le polar nerveux et sous haute tension de Andrea Di Stephano commence bien, par un long plan séquence au dessus de la nuit milanaise, accompagné d’une musique entêtante qui pose d’emblée l’ambiance anxiogène d’un film qui ne nous lâche pas pendant deux heures. Andrea Di Stephano propose un polar qui, dans sa forme, ne manque pas de qualités. La musique est efficace, bien utilisée et parfaitement adaptée à son sujet, un peu électronique, un peu répétitive, parfaite pour un film noir. Le film est aussi habilement monté,
spoiler:
avec la technique bien connue qui fait que l’on revoit deux fois une scène, une fois au début et une fois au milieu du film, mais sous deux angles totalement différents, pour ne pas dire opposés
. Ce n’est pas inédit, mais c’est un petit effet qui fonctionne toujours. A part un petit flash back de 10 jours pour planter le décor, le film se déroule sur une seule nuit et nous offre une poignée de scènes très réussies, à commencer par la scène clef du film, dans le tunnel de sortie de l’autoroute : une scène très longue, qui va crescendo dans la tension nerveuse (pour le spectateur aussi !) spoiler: pour se terminer dans le feu et le sang. Installer le suspens par des petits détails (ici un véhicule qui manœuvre, ici un coup d’œil nerveux dans le rétro)
pour scotcher le spectateur à son siège, là encore ce n’est pas nouveau mais encore faut-il bien le faire, et ici c’est très bien fait. J’aime aussi la scène du téléphone : spoiler: Franco appelle un numéro et observe qui va décrocher, et de la découverte de qui va décrocher va décider de son destin
, la scène est bien amenée, bien calibrée, c’est du beau travail. Si on ajoute à cela une ville de Milan parfaitement filmée, quelques très jolis plans, un jeu avec la lumière bien pensé, on obtient un film très maitrisé et efficace, et on se dit que le film noir italien en a sous le pied. Pierfrancesco Favino campe un policier un peu débonnaire, probablement mal considéré par sa hiérarchie, un peu méprisé aussi sans doute. Dans un premier temps, il est totalement dépassé par la situation, enchaine mauvaises décisions sur mauvaises décisions. Et puis, forcé par les évènements, se met enfin, sur le tard, à agir enfin comme le policier chevronné qu’il est. spoiler: Il est évidemment un peu trop tard pour cela, car on se doute très vite que cette nuit scellera son destin, et pas pour le meilleur.
Il a une jeune épouse, une seconde noce, une jeune femme très volubile, un peu hors des réalités et un peu inconsciente des choses et qui ne lui facilite pas la vie cette nuit là, c’est le moins que l’on puisse dire. Linda Caridi donne corps à cette jeune femme et elle le fait tellement bien que son personnage en devient assez vite crispant. Les seconds rôles sont un peu éclipsés par ce couple infernal. Le scénario, dont il ne faut évidemment pas trop en dire, est à la fois simple et compliqué à décrypter. Sur le fond, on comprend vite dans quel nid de guêpe Franco à mis les pieds, spoiler: ce qui était inévitable dés le moment om accepte de travailler pour un vieux patriarche qui sent la mafia chinoise à plein nez (quel manque de discernement de la part d’un flic si intègre, on en reste confondu !). Le petit retournement de fin, le moment où Franco comprends qui l’a mis dans une situation impossible et pourquoi, est assez bien mené. Mais ne nous attendez pas à coup de théâtre spectaculaire, c’était malheureusement assez prévisible.
Dans la scène du tunnel, on reste aussi interdit par l’attitude d’affolement de Franco qui semble avoir oublié, sous l’effet de la panique, toute les leçons de la police de base : il utilise son portable, spoiler: il maquille grossièrement une scène de crime devant des dizaines de voitures qui passent, il oublie totalement que les tunnels routiers sont à 99% couverts par des caméras de surveillance, etc…
Est-ce une faiblesse du scénario ou bien la preuve que Franco est totalement dépassé par la situation ? Je ne sais pas, dans le doute on va considérer que c’est la seconde option. Je termine en disant que j’aime beaucoup la dernière scène, elle est très émouvante et apporte une touche finale sans apporter de conclusion franche. spoiler: La toute dernière image (un homme qui s’approche) ne donne pas la réponse : une arrestation ? Une exécution sommaire ? Un passant qui ne fait que passer ?
Jusqu’à la dernière image le film aura été malin et efficace.
. Ce n’est pas inédit, mais c’est un petit effet qui fonctionne toujours. A part un petit flash back de 10 jours pour planter le décor, le film se déroule sur une seule nuit et nous offre une poignée de scènes très réussies, à commencer par la scène clef du film, dans le tunnel de sortie de l’autoroute : une scène très longue, qui va crescendo dans la tension nerveuse (pour le spectateur aussi !) spoiler: pour se terminer dans le feu et le sang. Installer le suspens par des petits détails (ici un véhicule qui manœuvre, ici un coup d’œil nerveux dans le rétro)
pour scotcher le spectateur à son siège, là encore ce n’est pas nouveau mais encore faut-il bien le faire, et ici c’est très bien fait. J’aime aussi la scène du téléphone : spoiler: Franco appelle un numéro et observe qui va décrocher, et de la découverte de qui va décrocher va décider de son destin
, la scène est bien amenée, bien calibrée, c’est du beau travail. Si on ajoute à cela une ville de Milan parfaitement filmée, quelques très jolis plans, un jeu avec la lumière bien pensé, on obtient un film très maitrisé et efficace, et on se dit que le film noir italien en a sous le pied. Pierfrancesco Favino campe un policier un peu débonnaire, probablement mal considéré par sa hiérarchie, un peu méprisé aussi sans doute. Dans un premier temps, il est totalement dépassé par la situation, enchaine mauvaises décisions sur mauvaises décisions. Et puis, forcé par les évènements, se met enfin, sur le tard, à agir enfin comme le policier chevronné qu’il est. spoiler: Il est évidemment un peu trop tard pour cela, car on se doute très vite que cette nuit scellera son destin, et pas pour le meilleur.
Il a une jeune épouse, une seconde noce, une jeune femme très volubile, un peu hors des réalités et un peu inconsciente des choses et qui ne lui facilite pas la vie cette nuit là, c’est le moins que l’on puisse dire. Linda Caridi donne corps à cette jeune femme et elle le fait tellement bien que son personnage en devient assez vite crispant. Les seconds rôles sont un peu éclipsés par ce couple infernal. Le scénario, dont il ne faut évidemment pas trop en dire, est à la fois simple et compliqué à décrypter. Sur le fond, on comprend vite dans quel nid de guêpe Franco à mis les pieds, spoiler: ce qui était inévitable dés le moment om accepte de travailler pour un vieux patriarche qui sent la mafia chinoise à plein nez (quel manque de discernement de la part d’un flic si intègre, on en reste confondu !). Le petit retournement de fin, le moment où Franco comprends qui l’a mis dans une situation impossible et pourquoi, est assez bien mené. Mais ne nous attendez pas à coup de théâtre spectaculaire, c’était malheureusement assez prévisible.
Dans la scène du tunnel, on reste aussi interdit par l’attitude d’affolement de Franco qui semble avoir oublié, sous l’effet de la panique, toute les leçons de la police de base : il utilise son portable, spoiler: il maquille grossièrement une scène de crime devant des dizaines de voitures qui passent, il oublie totalement que les tunnels routiers sont à 99% couverts par des caméras de surveillance, etc…
Est-ce une faiblesse du scénario ou bien la preuve que Franco est totalement dépassé par la situation ? Je ne sais pas, dans le doute on va considérer que c’est la seconde option. Je termine en disant que j’aime beaucoup la dernière scène, elle est très émouvante et apporte une touche finale sans apporter de conclusion franche. spoiler: La toute dernière image (un homme qui s’approche) ne donne pas la réponse : une arrestation ? Une exécution sommaire ? Un passant qui ne fait que passer ?
Jusqu’à la dernière image le film aura été malin et efficace.
"Dernière nuit à Milan" est un thriller à l'esthétique magnifique qui prouve que l'élégance est une des qualités majeures de l'Italie... L'introduction, avec la vue aérienne de la ville et la musique, est saisissante. La photographie, les cadrages et les plans sont superbes. L'intrigue et l'articulation de l'histoire mettent le spectateur sous tension constante. Les acteurs sont excellents mais le doublage français est hélas assez moyen. La fin aurait mérité que sa signification soit plus affirmée. Cela reste un film remarquable.
MediaShow
Le polar italien Dernière nuit à Milan est une très belle découverte et un excellent long-métrage signé Andrea Di Stefano. Malgré un schéma narratif classique, le scénario est bien rythmée avec une histoire captivante et une approche intéressante de cette descente aux enfers d’un homme de loi. Notons également une bande-originale exceptionnelle ainsi qu’une brillante interprétation de Pierfrancesco Favino. Coup de cœur !
Ma critique complète, sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2023/06/16/critique-film-derniere-nuit-a-milan/
Ma critique complète, sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2023/06/16/critique-film-derniere-nuit-a-milan/
Le réalisateur Andrea Di Stefano a un parcours atypique qui se confirme avec son troisième film. En effet et d’habitude, un réalisateur fait ses preuves dans son pays et se fait remarquer et recruter par Hollywood par la suite. On peut citer par exemple son compatriote Stefano Sollima qui a délivré le magistral film de mafia proche du chef-d’œuvre « Suburra » (une œuvre qui a d’ailleurs ensuite été développée en série) et qui a été choisi outre-Atlantique pour réaliser la suite de « Sicario ». Lui a fait le cheminement inverse car on l’a découvert avec le film un peu décevant sur Pablo Escobar « Paradise Lost » suivi du très bon film policier inédit en salles, car tombé durant la période de totalitarisme sanitaire, « The Informer ». Le voilà qui revient en Italie pour réaliser son premier film de cinéma dans son pays natal avec un polar musclé et maîtrisé de bout en bout. Car « Dernière nuit à Milan » est certainement son meilleur film des trois comme quoi on est bien mieux chez soi.
Le film est bâti sur une scène pivot de braquage entre flics ripoux et malfrats asiatiques sur une sortie d’autoroute. Si celle-ci est tendue et plutôt impressionnante, elle manque un peu de lisibilité et s’avère presque brouillonne. En outre, on peut regretter quelques invraisemblances dont la fin, avec le sort du personnage principal que l’on peut trouver peu crédible. Si ce n’est ces menus défauts, « Dernière nuit à Milan » est un petit bijou de polar sous tension qui ne nous lâche pas d’une semelle durant plus de deux heures. Et, pour une fois, la scène inaugurale qui présente une séquence en flash froward (donc se déroulant après ce qui va suivre) est totalement justifiée et apporte un éclairage nouveau sur l’intrigue. Car ce procédé est un peu devenu une mode et il est utilisé un peu partout sans réel intérêt narratif. Après cette scène d’introduction, le film prend son temps durant une demi-heure pour présenter les enjeux en douceur sans nous ennuyer pour autant et une fois la scène centrale passée, on ne lâche plus le personnage principal d’une semelle.
Dans ce rôle, l’acteur italien et star en son pays Pierfransisco Favino est impeccable. En policier intègre qui va se voir embarqué dans une affaire complexe et se faire trahir à la veille de sa retraite, il est impeccable. Juste, à la fois faillible et fort, il porte le film sur ses épaules sans souci. Le scénario est prenant et la mise en scène alerte et ample de Di Stefano nous embarque sans peine. En témoigne, le plan en drone sur Milan de nuit qui amorce le film qui se révèle d’ailleurs de toute beauté. Rares sont les films de ce genre à nous scotcher à notre fauteuil de la sorte sans baisse de rythme et « Dernière nuit à Milan » en fait partie, prouvant encore une fois le renouveau incontestable du cinéma italien depuis quelques années. Un excellent suspense à la fois original et intense qui réussit avec brio sa mission de divertissement sous haute tension.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Le film est bâti sur une scène pivot de braquage entre flics ripoux et malfrats asiatiques sur une sortie d’autoroute. Si celle-ci est tendue et plutôt impressionnante, elle manque un peu de lisibilité et s’avère presque brouillonne. En outre, on peut regretter quelques invraisemblances dont la fin, avec le sort du personnage principal que l’on peut trouver peu crédible. Si ce n’est ces menus défauts, « Dernière nuit à Milan » est un petit bijou de polar sous tension qui ne nous lâche pas d’une semelle durant plus de deux heures. Et, pour une fois, la scène inaugurale qui présente une séquence en flash froward (donc se déroulant après ce qui va suivre) est totalement justifiée et apporte un éclairage nouveau sur l’intrigue. Car ce procédé est un peu devenu une mode et il est utilisé un peu partout sans réel intérêt narratif. Après cette scène d’introduction, le film prend son temps durant une demi-heure pour présenter les enjeux en douceur sans nous ennuyer pour autant et une fois la scène centrale passée, on ne lâche plus le personnage principal d’une semelle.
Dans ce rôle, l’acteur italien et star en son pays Pierfransisco Favino est impeccable. En policier intègre qui va se voir embarqué dans une affaire complexe et se faire trahir à la veille de sa retraite, il est impeccable. Juste, à la fois faillible et fort, il porte le film sur ses épaules sans souci. Le scénario est prenant et la mise en scène alerte et ample de Di Stefano nous embarque sans peine. En témoigne, le plan en drone sur Milan de nuit qui amorce le film qui se révèle d’ailleurs de toute beauté. Rares sont les films de ce genre à nous scotcher à notre fauteuil de la sorte sans baisse de rythme et « Dernière nuit à Milan » en fait partie, prouvant encore une fois le renouveau incontestable du cinéma italien depuis quelques années. Un excellent suspense à la fois original et intense qui réussit avec brio sa mission de divertissement sous haute tension.
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Malgré une intrigue quelque peu nébuleuse, ce thriller du réalisateur italien Andrea Di Stefan, sorti en 2023, se démarque par son extrême nervosité. A la veille de son départ à la retraite, un policier se retrouve au cœur d’un éprouvant drame. La mise en scène soignée permet de vivre deux fois la même soirée tout en apportant des angles de vue et de compréhension complémentaires. Cette astuce narrative maintient une tension permanente propre à satisfaire les amateurs du genre. Bref, un film efficace et énergique.
Andrea Di Stephano s’empare des codes du genre avec brio, et sur une trame assez classique – un policier honnête pris au piège de la lutte entre mafias chinoise et italienne – réalise un suspense haletant, captivant tant sur la forme (magnifique séquence centrale du tunnel) que sur le fond.
Et Pierfrancesco Favino incarne avec justesse et charisme ce personnage de flic tiraillé entre conscience et instinct de survie...
Du bel ouvrage dans la veine des grands polars des années 70... A ne pas manquer !
Et Pierfrancesco Favino incarne avec justesse et charisme ce personnage de flic tiraillé entre conscience et instinct de survie...
Du bel ouvrage dans la veine des grands polars des années 70... A ne pas manquer !
Oh la la, quel film ! Du grand cinéma, de l'excellent casting, un scénario de haut vol, de l'émotion et d'excellents jeux d'acteurs. Bravo
Le charisme de Pierfrancesco Favino opère toujours mais ne parvient pas à éclipser quelques longueurs dans la seconde partie du film qui, après une première partie menée tambour battant, plombe le récit. Même si Milan est magnifiquement filmée, le film aurait pu faire preuve de plus de concision pour rester pleinement efficace.
jusqu'à la reprise du récit, j'étais en train de me dire mais waouh quel polar....et quand l'histoire reprend le fil qu'elle avait lâché pour qu'on puisse comprendre pourquoi il doit abandonnner sa soirée de fête, là ça devient bof, les scènes deviennent longues comme pour meubler, et aussi elles deviennent farfelues..
comme le soufflet en cuisine....
moyen parce que c'est pas non plus un complet navet
comme le soufflet en cuisine....
moyen parce que c'est pas non plus un complet navet
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