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    Christophe… définitivement
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    Alain R
    Alain R

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 février 2024
    Vu en DVV. Documentaire dont les scènes sont souvent tournées dans la pénombre.
    Très peu d'extraits de concerts en live.
    Certainement peu de moyens financiers pour la réalisation.
    Un doc relativement ennuyeux et pas à la hauteur de ce formidable artiste surtout concernant sa deuxième période consacrée à la perfection du son et des instruments.
    On en sort déçu.
    Dommage...
    jcgonzales
    jcgonzales

    6 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2023
    Drôle de sensation alors que défile le générique, heureusement que la musique est là pour nous remémorer tous les morceaux qui ont bâti son personnage parce que le bonhomme est bien sombre, et vraiment pas attachant pour deux sous avec cette manière de ne pas articuler qui finalement couvre la vacuité de ses interventions. Je n'ai pas été sensible au côté expérimental de la prise de vue, ni à la prise de son, il est vrai compliquée par les fulgurances de l'artiste.
    Parce qu'il faut bien dire qu'il s'agit d'un vrai artiste qui aura produit de très beaux morceaux intemporels et impeccables, et je pense aussi à son dernier album qui reste une très belle œuvre.
    Lynebonnaud
    Lynebonnaud

    1 abonné 52 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2023
    Début des années 2000, c’est à ce moment là comme beaucoup d’autres certainement, que j’ai pu découvrir ou plutôt redécouvrir le chanteur romantique Christophe. Jean-Marie Foulquier, fondateur des Francofolies de La Rochelle, en avait retransmis à la radio l’intégralité du concert de l’Olympia. Le chanteur revenait avec des réorchestrations de ces anciens tubes débarrassés de la mièvrerie de l’époque yéyé, d’une jeunesse un peu vide paisible et joyeuse, à l’univers électronique de Jean-Michel Jarre. Le succès mondial d’Aline, lui permet de s’affranchir des diktats des maisons de disques et de laisser libre cours à sa créativité. Sa voix hors norme, devient un instrument de musique à part entière dans ses chansons.
    L’artiste est connu pour sa passion du 7ème art et son érudition en matière des techniques de projection. Le film démarre sur une litanie des titres de ses films fétiches, dont il projette les mots comme autant d’univers cinématographiques. Animal de nuit, il démarrait ses journées à 21h pour les terminer au petit matin par un film qu’il regardait, à l’heure où le commun des mortels part au travail.
    Ange Leccia est connu à Nantes pour sa superbe installation dans le bassin de l’Erdre à la sortie du tunnel, près de l’espace LU, « Nymphéa ». Laëtitia Casta, icône de notre société s’y trouve telle une ondine, offerte aux yeux des badauds. Elle semble tenter de leur parler telle une sirène prisonnière sous la surface des eaux de la ville. Les feuilles mortes flottent sur le doux visage de la Daisy de Christophe, l’installation est pour le moins troublante.
    Aussi la tentation était grande de savoir quel objet filmique sortirait de l’imagination des plasticiens.
    Christophe y apparaît de manière spectrale, de dos à contre-jour, irradié d’une lumière bleue phosphorescente. Nous sommes alors transportés dans un univers de sensations. Le documentaire va suivre certaines chansons de l’Olympia à Versailles. De manière décousue nous suivons Daniel Bevilacqua, toujours dissimulé derrière les verres bleus des lunettes du chanteur Christophe, dans son espace intime, là où s’initie son processus de création.
    Nous le suivons dans sa collection privée, entouré de ses objets, tel un espace pour lui rassurant, un monde parallèle construit au fil du temps. Des affiches, des photos de Lou Reed à Bowie en passant par Alain Bashung. Le chanteur alsacien qui par son interprétation avait réinventé « Les mots bleus ». Des Juke box, des disques et des représentations de cinéma, autant de vestiges de son espace intime. Artiste exigeant, qui nous échappe dès qu'il ouvre la bouche, souvent incompréhensible.
    Le film par petites touches numériques tel un tableau impressionniste tente de rendre compte de tout cela, pour s’approprier par l’image quelque chose de gracieux du processus de création de l’artiste.
    Nulle trace ici du sublime et dernier album de Christophe « Les vestiges du chaos ». Les captations viennent d’avant et créaient une expérience sonore et visuelle, pas toujours agréable à voir et parfois inaudible. Le documentaire est audacieux mais il m’aura laissé au bord du chemin. Visuellement ma préférence reste au magnifique travail de Blow up « Christophe et le cinéma », qui rend aussi hommage aux plasticiens de « Christophe… Définitivement ».
    Il se termine par la scène de « Quand j’étais chanteur » de Xavier Giannoli, sur « Les paradis perdus » avec Gérard Depardieu et Cécile de France. La scène est magnifique d’émotion palpable, le temps est suspendu, accroché au timbre cristallin de la voix de Christophe au cinéma.
    LSD
    LSD

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 août 2023
    N’est même pas qualifiable sans histoire mal film à rendre malade pourrait même dégoûter dès cet artiste sûrement talentueux mais gâcher
    brunocinoche
    brunocinoche

    96 abonnés 1 106 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2023
    Un documentaire expérimental à l'image du chanteur toujours en pleine recherche. Il faut donc accepter ce parti-pris de mise en scène aux images saturées et aux sons pas toujours audibles, dommage quand même pour un documentaire sur un chanteur. Mais au fil des images, on rentre dans l'univers de l'artiste, les plus beaux moments étant bien évidemment ceux où l'on peut écouter clairement l'artiste reprendre ses plus grands succès ou des chansons moins connues tout aussi remarquables.
    iof
    iof

    5 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2023
    Film, reportage, captation, je ne sais pas trop qualifier cet objet visuel consacré au chanteur Christophe. Réalisé par les vidéastes Dominique Gonzalez Foerster et Ange Leccia, l'image du film est travaillée à l'extrême. Cela donne du chanteur une image très saturée, crépusculaire et phantomatique qui lui sied à merveille. Sa voix frêle au timbre fêlé, ses lunettes noires sur son beau visage creusé, sont mis en valeur avec élégance, comme un très bel hommage... J'ai adoré.
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 avril 2023
    Outre l'émotion et le bonheur de voir et d'entendre cet artiste décédé, l'usage immodéré du flou est assez pénible. Ce qui pourrait avoir un effet artistique devient vite fatigant. C'est comme s'il s'était agi de ne pas avoir à demander d'autorisation de filmer. Dommage pour un film posthume...
    Hervé L
    Hervé L

    78 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 avril 2023
    Un film sur la mise au point d'un spectacle de Christophe vieilli et qui machonne en permanence et radote un peu. Mais le talent et la voix est toujours là
    Eric MAYNARD
    Eric MAYNARD

    3 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2023
    Christophe… Définitivement
    Fallait oser le faire. On est loin à titre posthume des biopics hagiographiques habituels tirés à quatre épingles d’archives dites inédites. Parce que c’est un chanteur français, parce que le personnage est singulier ?
    Beau bizarre que ce film-là qui nous plonge dans les affres de la création du chanteur à partir d’un savoureux montage collage assumé de rushes sauvés, volontairement extirpés bruts de décoffrage, qui nous ramènent à son humanité et quelque part à la nôtre.
    Christophe… Définitivement s’il se pose là en épitaphe est un film faussement inabouti sur un mec pas fini… et c’est en en cela qu’il s’approche de la vérité de son personnage à travers sa créativité. Et, fan ou pas, touche juste. Fébrile, intangible, fragile, le chanteur perpétuel insatisfait est d’une exigence farouche, en constante fusion, intranquille. Recommencement, doute, recherche, là est le spectacle, un work in progress permanent. Souvent drôle dans son questionnement, ses quatre volontés paraissent parfois décalées, il est inquiet. Tel son, telle couleur, tel enchaînement, telle pose,… On est en apnée, entre prises de vue de caméra amateur en concert ou répétition, format, grain, cadre de guingois à l’emporte-pièce, zooms de mise au point, flous de bougé, étalonnage, éclairages feutrés, reflets chamarrés, poussières de scène, vibrations, rien n’est léché, calibré, tout est en suspension, rien n’est arrêté. Il n’aurait pas aimé. Sauf peut-être le son, impeccable du moindre miaulement au feulement, même en prise directe. Il n’aurait pas supporté. Hypersensible.
    Le film est un pari réussi car il lui ressemble.
    Et cette séquence improbable, en point d’orgue, comme en contre plongée depuis la scène, chez lui, à la recherche dans son bazar à souvenirs, d’un certain tee-shirt qu’il va nous tailler en « pièce » en direct, même si ce ne sont pas les bons ciseaux, même si on n’a pas la table, pour s’en faire un prochain costume, parce qu’il ira bien, le costume c’est important, ma mère était couturière, je te l’ai dit, tu le savais ? S’amorce une trame, peut-être.
    Un fantôme évanescent en smoking blanc rentré dans ses santiags noires, comme lui seul osait le faire, digne, vient nous hanter depuis le château de Versailles, et nous fait ouais, ouais, ouais, ouais. Le maudit dandy reste un incompris, un poor lonesome cow-boy de la vie.
    Christophe continue de bouger et de nous émouvoir.
    Christophe éperdument, ici repose…
    Eric MAYNARD
    04 avril 2023
    Cinéma La Pléiade & ses "Mardis des Réalisateurs", en présence de Ange Leccia, co-réalisateur
    rvrichou
    rvrichou

    103 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 avril 2023
    Du cinéma expérimental ? Assurément une expérience cinématographique trės désagréable. Des effets visuels qui se veulent artistiques et qui ne sont que pénibles. Un son inaudible ce qui est fort regrettable pour rendre hommage à un chanteur aussi exceptionnel.
    Mix This
    Mix This

    2 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2023
    Difficile de ne pas aimer cette fresque musicale tournée avec pudeur dans le clair obscur de la scène et des projos. Quelques apartés en off, toujours intéressants qui nous permettent de mieux connaître l'artiste. Derrière une apparence un peu "lunaire" et un phrasé original, Christophe savait vraiment ce qu'il voulait. Un bon reportage mais j'aurais aimé voir plus de variété dans les séquences. Par exemple, voir davantage Christophe chez lui en train de composer ou le voir dans un autre contexte, en studio ou ailleurs. À mon goût, l'ensemble manquait de nuances.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 008 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2023
    Christophe définitivement revient sur la personnalité unique du chanteur inoubliable des mots bleus. Disparu subitement durant la crise du coronavirus, il a laissé un vide auprès de toute une communauté de fans qui le suivaient dans ses prestations scéniques très travaillés. Le documentaire retrace la préparation de ces concerts mais ne rentre pas suffisamment dans les détails. Au fond, ce film permet avant tout de célébrer la richesse musicale du répertoire de Christophe et de réécouter encore une fois ses chansons sublimes.
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mars 2023
    La plasticienne Dominique Gonzalez-Foerster avait aidé le chanteur Christophe à orchestrer son retour sur scène, à l’Olympia, en 2002, après vingt-six ans d’absence. Son complice Ange Leccia y avait volé quelques images du concert et de ses préparatifs, sans jamais envisager de les rendre publiques. Elles résonnent comme un hommage posthume, trois ans après la mort du chanteur, frappé par le Covid en mars 2020.

    On y voit les préparatifs du concert et l’exigence tyrannique avec laquelle Christophe procède aux derniers réglages : la profondeur d’un vibrato, l’enchaînement entre deux chansons, la couleur du texte qui défile sur son prompteur…. Le vieux crooner porte encore beau, derrière ses verres fumés qu’il ne retire jamais, sinon pour une séance de maquillage volée sur le vif. Il recoiffe avec un soin maniaque les mèches de sa belle tignasse blonde (teinte ?). Il effrange au ciseau le col de ses T-shirts.

    Il ne se livre guère. On n’apprendra rien sur sa vie, sur ses origines, sur sa célébrité foudroyante à vingt ans à peine, en pleine période yéyé avec son tube "Aline" – qui l’a fait instantanément détesté de toutes les Aline de France (et à l’époque il y en avait beaucoup), ni sur sa longue éclipse avant son retour sur scène avec une musique plus électro qu’avant.

    Ce documentaire « définitif » le montre enfin sur scène. On l’y voit interpréter, de sa voix étrange qui fait le grand écart entre des aigus de castrat et des basses de choriste corse (Christophe, de son vrai nom, s’appelle Daniel Bevilacqua) ses tubes les plus connus dans des orchestrations souvent inédites : "Aline", "Les Paradis perdus", "Señorita", "Petite Fille du soleil" et, pour finir, bien entendu, "Les Mots bleus".
    Les fans adoreront. Quant aux autres….
    patrick g.
    patrick g.

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2023
    Un grand, un très grand ARTISTE, hors du commun, c' est un moment magique, quelle émotion de retrouver ses chansons et ses interprétations à nul autre pareil, c' est puissant et très émouvant, merci Christophe pour le bonheur que tu nous a offert tout au long de ta vie. A présent ce sont les anges du ciel qui vibrent de plaisir....
    On retrouve l' ensemble de ses succès et c' est déjà magnifique, mais ces images datent de 2002 et 2009... quel dommage que l' on ai rien de sa dernière tournée avec ''Les vestiges du Chaos'' qui resteront à jamais gravés dans nos coeurs.
    Merci Christophe
    Fabienne Descours
    Fabienne Descours

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mars 2023
    Un film comme on n'en voit plus assez souvent au cinéma ! Des images expérimentales supra poétiques, la voix vibrante de Christophe qui nous submerge d'émotion... J'en sors et j'y retourne très vite ! A voir et à revoir !
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