Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Télérama
par Samuel Douhaire
Après les vingt premières minutes, plutôt réussies, sur l’apocalypse en milieu urbain, cette fable dystopique et néanmoins comique, imaginée par le réalisateur écologiste Nicolas Vanier, s’enlise dans un retour à la terre poussif et bourré de clichés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Catherine Balle
Yannick Noah ne se trouve pas plus gâté avec son personnage de baba cool qui a tout compris au « monde de demain » avec sa bicoque et ses panneaux solaires. Bref, dans ce « monde à l’envers ! », tout est sens dessus dessous et rien ne fonctionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Inutilement étalée sur près de deux heures, bourrée d’incohérences et d’arrangements scénaristiques grossiers, la proposition donne l’impression d’un cinéaste en roue libre.
Première
par Thierry Chèze
L’ensemble aurait mérité moins de manichéisme, plus d'ambiguïté et une direction d’acteurs qui ne pousse pas au surrégime permanent pour que le message qu’entend délivrer Vannier passe.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
Après les vingt premières minutes, plutôt réussies, sur l’apocalypse en milieu urbain, cette fable dystopique et néanmoins comique, imaginée par le réalisateur écologiste Nicolas Vanier, s’enlise dans un retour à la terre poussif et bourré de clichés.
Le Parisien
Yannick Noah ne se trouve pas plus gâté avec son personnage de baba cool qui a tout compris au « monde de demain » avec sa bicoque et ses panneaux solaires. Bref, dans ce « monde à l’envers ! », tout est sens dessus dessous et rien ne fonctionne.
Nice-Matin
Inutilement étalée sur près de deux heures, bourrée d’incohérences et d’arrangements scénaristiques grossiers, la proposition donne l’impression d’un cinéaste en roue libre.
Première
L’ensemble aurait mérité moins de manichéisme, plus d'ambiguïté et une direction d’acteurs qui ne pousse pas au surrégime permanent pour que le message qu’entend délivrer Vannier passe.