Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
On pense à Bong Joon-ho et à son polar poisseux Memories of Murder, à son film de monstres The Host ou à Parasite . Autant d’œuvres qui renvoient plus ou moins frontalement au décryptage d’une société coercitive dont des personnages tentent de s’affranchir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par La Rédaction
Un très grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Entre drame et polar, About Kim Sohee détaille, à travers les yeux de deux héroïnes pugnaces, les rouages d’un système éducatif et professionnel pervers aux effets dévastateurs. Un film puissant, d’une grande finesse aussi bien dans l’écriture que dans le jeu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette œuvre forte distille le malaise sans le moindre effet gore.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Bae Doona, spectaculaire dans une performance intériorisée, donne au film une émotion à fleur de peau, jusqu'au plan final, bouleversant.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Toute en sobriété, avec une utilisation subtile de la lumière et du hors-champ, July Jung fait un portrait réaliste de la société ultralibérale, des dérives civilisationnelles qui brisent rêves, libertés et existences individuelles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
S’inspirant du suicide d’une lycéenne sud-coréenne broyée par la logique du marché et par celle de la performance lors de son stage dans un centre d’appels, July Jung signe un film bouleversant qui nous fait ressentir de manière sensible tout le tragique du décès de la jeune fille.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Une enquête passionnante tirée d’un fait divers qui a défrayé la chronique sud-coréenne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit impitoyable et poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
July Jung signe une œuvre âpre, sans fioritures, et pourtant, par moments, réellement chaleureuse, sur les forçats du service client. Une chronique sociale implacable, précise et documentée, à la construction acrobatique et surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
En dénonçant ces mécanismes d’emprise, de perte de soi et d’exploitation au travail et en remettant le destin des individus au centre de son cinéma, July Jung incarne un contrechamp radical dans le paysage du cinéma sud-coréen contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le dernier film de la Coréenne July Jang, en salles ce mercredi 5 avril, s'impose comme un témoignage hors pair sur le monde du travail qui broie les individus bien plus qu’il ne les nourrit. Et s'inscrit dans la même veine que « Parasite » de Bong Joon-ho, ou de « La Loi du marché » de Stéphane Brizé.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Ce drame coréen porté par la magistrale Doona Bae raconte, avec acuité, les dérives du monde du travail (...).
Télérama
par La Rédaction
Un récit magistral, d’après un fait réel qui bouleversa la Corée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un passionnant et terrible portrait humain qui bascule vers une enquête policière non moins passionnante dans sa seconde partie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
Légère dissonance au sein d’une esthétique froide et d’une narration implacable, le rayon de soleil que Sohee et Yoo‐jin contemplent successivement dans un café [...], suspendant le temps, figure un espoir au cœur d’un monde devenu glacial.
Libération
par Camille Nevers
La mise en scène a un côté long fleuve faussement tranquille, que viennent rompre, épars, des décrochages irréels, plus mélancoliques que résolument fantastiques, dans une œuvre très respectueuse de son modèle, une héroïne sacrifiée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
On peut regretter que le film bégaie dans une seconde partie plus démonstrative mais l'essentiel était de faire bouger les lignes. Oui, le cinéma peut changer le monde.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Cette dimension « film-dossier », un peu schématique et longuette, est moins convaincante, July Jung en disant finalement plus long dans le premier segment, plus incarné, suggestif et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
Peut-être trop démonstratif, le film a le mérite de montrer les rouages d’un système capitaliste qui broie les individus et s’en sort indemne.
Le Monde
par M. Dl.
Malgré un sens aigu de la composition des cadres et la restitution d’une atmosphère glaçante, le second film de July Jung (A Girl at my Door, 2014) bégaye.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
On pense à Bong Joon-ho et à son polar poisseux Memories of Murder, à son film de monstres The Host ou à Parasite . Autant d’œuvres qui renvoient plus ou moins frontalement au décryptage d’une société coercitive dont des personnages tentent de s’affranchir.
Le Parisien
Un très grand film.
Les Fiches du Cinéma
Entre drame et polar, About Kim Sohee détaille, à travers les yeux de deux héroïnes pugnaces, les rouages d’un système éducatif et professionnel pervers aux effets dévastateurs. Un film puissant, d’une grande finesse aussi bien dans l’écriture que dans le jeu.
20 Minutes
Cette œuvre forte distille le malaise sans le moindre effet gore.
CinemaTeaser
Bae Doona, spectaculaire dans une performance intériorisée, donne au film une émotion à fleur de peau, jusqu'au plan final, bouleversant.
Culturopoing.com
Toute en sobriété, avec une utilisation subtile de la lumière et du hors-champ, July Jung fait un portrait réaliste de la société ultralibérale, des dérives civilisationnelles qui brisent rêves, libertés et existences individuelles.
La Croix
S’inspirant du suicide d’une lycéenne sud-coréenne broyée par la logique du marché et par celle de la performance lors de son stage dans un centre d’appels, July Jung signe un film bouleversant qui nous fait ressentir de manière sensible tout le tragique du décès de la jeune fille.
Le Figaro
Une enquête passionnante tirée d’un fait divers qui a défrayé la chronique sud-coréenne.
Le Journal du Dimanche
Un récit impitoyable et poignant.
Les Echos
July Jung signe une œuvre âpre, sans fioritures, et pourtant, par moments, réellement chaleureuse, sur les forçats du service client. Une chronique sociale implacable, précise et documentée, à la construction acrobatique et surprenante.
Les Inrockuptibles
En dénonçant ces mécanismes d’emprise, de perte de soi et d’exploitation au travail et en remettant le destin des individus au centre de son cinéma, July Jung incarne un contrechamp radical dans le paysage du cinéma sud-coréen contemporain.
Marianne
Le dernier film de la Coréenne July Jang, en salles ce mercredi 5 avril, s'impose comme un témoignage hors pair sur le monde du travail qui broie les individus bien plus qu’il ne les nourrit. Et s'inscrit dans la même veine que « Parasite » de Bong Joon-ho, ou de « La Loi du marché » de Stéphane Brizé.
Ouest France
Ce drame coréen porté par la magistrale Doona Bae raconte, avec acuité, les dérives du monde du travail (...).
Télérama
Un récit magistral, d’après un fait réel qui bouleversa la Corée.
aVoir-aLire.com
Un passionnant et terrible portrait humain qui bascule vers une enquête policière non moins passionnante dans sa seconde partie.
Cahiers du Cinéma
Légère dissonance au sein d’une esthétique froide et d’une narration implacable, le rayon de soleil que Sohee et Yoo‐jin contemplent successivement dans un café [...], suspendant le temps, figure un espoir au cœur d’un monde devenu glacial.
Libération
La mise en scène a un côté long fleuve faussement tranquille, que viennent rompre, épars, des décrochages irréels, plus mélancoliques que résolument fantastiques, dans une œuvre très respectueuse de son modèle, une héroïne sacrifiée.
Paris Match
On peut regretter que le film bégaie dans une seconde partie plus démonstrative mais l'essentiel était de faire bouger les lignes. Oui, le cinéma peut changer le monde.
Première
Cette dimension « film-dossier », un peu schématique et longuette, est moins convaincante, July Jung en disant finalement plus long dans le premier segment, plus incarné, suggestif et émouvant.
Transfuge
Peut-être trop démonstratif, le film a le mérite de montrer les rouages d’un système capitaliste qui broie les individus et s’en sort indemne.
Le Monde
Malgré un sens aigu de la composition des cadres et la restitution d’une atmosphère glaçante, le second film de July Jung (A Girl at my Door, 2014) bégaye.