Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Point
par Olivier Ubertalli
Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Luc Chessel
En montant un tombeau pour Kimi, Marusya Syroechkovskaya a fait un grand film, un des plus beaux et des plus tristes possibles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Panorama de l’auto-destruction, cri du coeur d’une génération en mal d’avenir et portrait d’un pays exsangue, "How To Save A Dead Friend" est un poème filmique des plus précieux, un témoignage politique essentiel et une histoire d’amour à la portée universelle.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Un film d'une force exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bref, un docu contrasté, certes tragique, comme son titre l’annonce d’entrée de jeu, mais qui dégage en même temps une folle énergie créatrice. Comme le dit quelqu’un dans le film, Kimi n’a que la drogue comme horizon, alors que Marusya, elle, a beau être également dépressive et suicidaire, elle s’en sort grâce à sa frénésie de filmer.
Le Monde
par Murielle Joudet
On est ému de retrouver intact ce continent dans ce premier long-métrage de la réalisatrice russe Marusya Syroechkovskaya qui s’ouvre sur les images attrapées sur le vif de l’enterrement d’un ami, en 2016.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Touchant et enlevé dans la relation des deux personnages principaux, multipliant les bonnes idées de prises de vues, du trash au poétique, ce document devient fascinant quand il est entrecoupé d’images d’actualité et de scènes tournées en caméra cachée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
"How to Save a Dead Friend" est un tombeau dédié à un jeune homme sacrifié sur l’autel expansionniste de la Russie. Dans la frénésie du journal filmé se niche la douleur ontologique d’être Russe aujourd’hui - d’être toujours, à part soi, coupable et bourreau.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Mix réussi d’Harmony Korine, de Jonathan Caouette et de "Trainspotting", "How to Save a Dead Friend" est une fenêtre sur une jeunesse russe marquée du double sceau de la dépression et de la répression. Mais c’est aussi un saut en soi-même. Le film reconnecte au résidu d’emo phase qui subsiste en soi, saisit à la volée le décor d’une chambre d’ado dans les années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Un premier long-métrage coup-de-poing.
Ouest France
par La Rédaction
Un documentaire passionnant.
Première
par Estelle Aubin
Le documentaire raconte la jeunesse russe d’aujourd’hui, muselée, désœuvrée, et insère des images d’archives du pouvoir du despote Poutine. Dénonce par l’intime la déprime politique. Ample. Donc magistral.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Ekchajzer
Tourné à main levée sur une dizaine d’années, How to Save a Dead Friend est un conte de fées tragique, collage d’éclats de vie d’une noirceur qui scintille, terrible trip arrosé de musiques, de rires et de larmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
How to Save a Dead Friend ne se réduit pas à une image-tombeau où l’amant qui n’est plus reste pour toujours « pixellisé » [...] Face à l’inexorabilité d’une mort annoncée, l’image commémore, prend en charge, protège et démultiplie l’énergie que Kimi perd dans le réel. [...] Plus le corps tombe en morceaux, plus les raccords le recomposent.
Critikat.com
par Robin Vaz
Traversées par une tendresse émouvante, les images de Marusya Syroechkovskaya documentent aussi la mort au travail.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par X. L.
Un film puissant et bouleversant repéré en 2022 par l’Acid, sélection cannoise qui n’a jamais aussi bien porté son nom.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par William Le Personnic
Bien que parfois trop redondant, ce documentaire (...) a le mérite de mettre le doigt sur la somme de toutes les contradictions d'un gouvernement en pleine déperdition (...).
Le Point
Bouleversant.
Libération
En montant un tombeau pour Kimi, Marusya Syroechkovskaya a fait un grand film, un des plus beaux et des plus tristes possibles.
Culturopoing.com
Panorama de l’auto-destruction, cri du coeur d’une génération en mal d’avenir et portrait d’un pays exsangue, "How To Save A Dead Friend" est un poème filmique des plus précieux, un témoignage politique essentiel et une histoire d’amour à la portée universelle.
Franceinfo Culture
Un film d'une force exceptionnelle.
L'Humanité
Bref, un docu contrasté, certes tragique, comme son titre l’annonce d’entrée de jeu, mais qui dégage en même temps une folle énergie créatrice. Comme le dit quelqu’un dans le film, Kimi n’a que la drogue comme horizon, alors que Marusya, elle, a beau être également dépressive et suicidaire, elle s’en sort grâce à sa frénésie de filmer.
Le Monde
On est ému de retrouver intact ce continent dans ce premier long-métrage de la réalisatrice russe Marusya Syroechkovskaya qui s’ouvre sur les images attrapées sur le vif de l’enterrement d’un ami, en 2016.
Le Parisien
Touchant et enlevé dans la relation des deux personnages principaux, multipliant les bonnes idées de prises de vues, du trash au poétique, ce document devient fascinant quand il est entrecoupé d’images d’actualité et de scènes tournées en caméra cachée.
Les Fiches du Cinéma
"How to Save a Dead Friend" est un tombeau dédié à un jeune homme sacrifié sur l’autel expansionniste de la Russie. Dans la frénésie du journal filmé se niche la douleur ontologique d’être Russe aujourd’hui - d’être toujours, à part soi, coupable et bourreau.
Les Inrockuptibles
Mix réussi d’Harmony Korine, de Jonathan Caouette et de "Trainspotting", "How to Save a Dead Friend" est une fenêtre sur une jeunesse russe marquée du double sceau de la dépression et de la répression. Mais c’est aussi un saut en soi-même. Le film reconnecte au résidu d’emo phase qui subsiste en soi, saisit à la volée le décor d’une chambre d’ado dans les années 2000.
Marie Claire
Un premier long-métrage coup-de-poing.
Ouest France
Un documentaire passionnant.
Première
Le documentaire raconte la jeunesse russe d’aujourd’hui, muselée, désœuvrée, et insère des images d’archives du pouvoir du despote Poutine. Dénonce par l’intime la déprime politique. Ample. Donc magistral.
Télérama
Tourné à main levée sur une dizaine d’années, How to Save a Dead Friend est un conte de fées tragique, collage d’éclats de vie d’une noirceur qui scintille, terrible trip arrosé de musiques, de rires et de larmes.
Cahiers du Cinéma
How to Save a Dead Friend ne se réduit pas à une image-tombeau où l’amant qui n’est plus reste pour toujours « pixellisé » [...] Face à l’inexorabilité d’une mort annoncée, l’image commémore, prend en charge, protège et démultiplie l’énergie que Kimi perd dans le réel. [...] Plus le corps tombe en morceaux, plus les raccords le recomposent.
Critikat.com
Traversées par une tendresse émouvante, les images de Marusya Syroechkovskaya documentent aussi la mort au travail.
L'Obs
Un film puissant et bouleversant repéré en 2022 par l’Acid, sélection cannoise qui n’a jamais aussi bien porté son nom.
Positif
Bien que parfois trop redondant, ce documentaire (...) a le mérite de mettre le doigt sur la somme de toutes les contradictions d'un gouvernement en pleine déperdition (...).