Derniers Avis sur L'Abîme de l'Enfer

Pour ne pas mettre zéro. Un film insipide et lent qui se passe la majorité du temps dans l'obscurité on ne distingue quasiment rien d'autre qu'un écran noir durant tout le film. Une série B sans intérêt.

Je ne sais même pas quoi écrire tellement c'est affligeant !!!!
Ça partait pas trop mal, mais c'est parti en couille. J'ai eu l'impression d'être dans un mauvais rêve.
Légère impression d'avoir perdu 1h30 de ma vie!
En conclusion: une bouse!

On pense que le film va être bon et qu’il va avoir beaucoup d’action alors que non on voit toute le film dans la bande annonce et finit que tout le film a été inutile et rien a fonctionne

Film d'horreur polonais assez banal qui a un côté enquête policière sympa au début et une fin plutôt inattendue qui aurait mérité de s'allonger. Les codes du genre sont maîtrisés et la mise en scène est réussie. Il manque quand même un petit quelque chose pour pas que ça sente le réchauffé et j'ai pas trouvé l'ambiance si oppressante que ça donc on s'ennuie quand même un peu.

J'admets avoir lancé le film sans grandes attentes. J'ai pour ainsi dire pas mal épuisé l'offre film d'horreur de ces 20 dernières années, étant féru et consommateur habitué du genre. Et bien j'ai été agréablement surpris par l'ensemble.

D'abord, la photographie, la colorimétrie, les angles, c'est superbe et ça va très bien avec l'ambiance un peu "Nom de la Rose" qui s'installe au milieu des pierres poussiéreuses et du vieux mobiliers bruns du monastère. C'est décidé, je continue le film. L'absence de grands effets spéciaux donne ce côté rugueux et au final, très réaliste du film.

Petites longueurs, avec des suggestions entre réel et irréel. On peine à savoir s'il y a une enquête, ou si le personnage évolue sans logique particulière. Finalement la découverte, puis tout s'enchaine.

Le scénario jusque là timide a enfin du sens et on se fait emporter par une série d'événements, jusqu'à une fin totalement inattendue que je trouve, personnellement, très convaincante. J'ai même quelques frissons : spoiler: (lorsque les moines se trouvent tous pendues et inversés)
, avec des plans osés pour un film modeste mais réussi.

Je recommande pour l'esthétique et la fin qui rattrape selon moi, largement les quelques écueils du film.

Plutôt laid et assez répugnant, le film s'enfonce dans les bas-fonds satanistes de manière sordide mais pathétique et ne convainc pas du tout malgré son final ambitieux.

Un thriller policier avec un soupçon d'exorcisme avec une fin complètement psychédéliques au diapason du fantastique ultime pour les amateurs de démons

Avec un point de départ rappelant vaguement Le Nom de la Rose en terme d'atmosphère, ce métrage avait tout pour nous accrocher. L'ennui, et c'est bel et bien le mot le plus approprié, c'est que passé cette mise en place, ce n'est pas folichon, il ne se passe pas grand chose et il faut attendre la toute fin pour assister à un final surprenant et sacrément bien foutu. Des regrets supplémentaires donc puisque le réalisateur n'a pas réussi à captiver notre attention tout du long et ce malgré des prestations d'acteurs très correctes. Dommage mais tout n'est pas à jeter.

Ambiance glauque, bons acteurs , scénario original avec de bonnes idées, a voir une fois , c'est pas un chef d'oeuvre mais ça fait passer un bon moment

A ma connaissance le seul film d'horreur qui fait intervenir spoiler: Jésus-Christ
physiquement si l'on peut dire.
Corrigez moi si je me trompe.

Pas envie de dormir vers minuit et envie de me faire peur. Vu donc ce film polonais totalement au hasard. Bien m’en a pris, voilà le meilleur film de possession vu depuis longtemps. La mise en scène est très honnête, le scénario devient de plus en plus effrayant jusqu’à un dénouement bien « sympathique ». Techniquement c’est superbe, ce qui ne gâte rien. Le tout nous donne une ambiance sombre, glauque et étouffante, quelques scènes assez dérangeantes, pas mal d’autres bien flippantes et des personnages aussi inquiétants les uns que les autres. Bref, une bonne surprise pour une bonne frousse.

Le film s'ouvre au milieu de nul part. Trois épouvantails et un cadavre de vache. Un long chemin jonché de souches calcinées conduit le protagoniste vers un magnifique sanatorium. Pas un mot, et pourtant le décor est planté. Le spectateur sait déjà qu'il va voir un bon film d'horreur. Ensuite, c'est assez lent et toujours pas bavard.
Le choix est fait de nous apprendre assez tardivement ce que fait le protagoniste ici. J'avoue m'être retenu pour ne pas aller vérifier sur le net. Je ne l'ai pas fait et je ne regrette pas ! Les réponses finissent par arriver et nous submergent. C'est plus glauque qu'espéré, plus gore que ce qu'on imaginait, et c'est tellement bon ! Les acteurs sont justes, le lieu horrible au possible et les musiques vraiment bonnes.
Enfin, juste un petit mot sur la fin sans ne rien dévoiler, car cette fin est un véritable petit bijou pour le genre horrifique : la décision a été prise d'aller plus loin, de ne pas s'arrêter en noeud de boudin, de percer le mystère, d'affirmer si l'histoire se termine bien ou mal. C'était risqué, car peu de films d'horreur le tente, mais c'est brillament réussi. J'en veux encore des comme ça !

Très bon film oppressant
Un début banal et une fin qui change des autres films de ce genre, le réalisateur à pris des risques

Original, avec de superbes cultistes en rouge. Une ode à Lovercraft. Bravo à regarder absolument. Un bon moment de cinéma loin des clichés à la mode.

Le nom de ce réalisateur me disait vaguement quelque chose, sans que je puisse remettre spontanément le doigt dessus. J’étais juste certain qu’il s’agissait d’un film de genre, et d’un film de genre qui ne m’avait pas fait forte impression (après vérification, il s’agissait de ‘Nobody sleeps in the woods tonight’, insipide slasher forestier alimentaire). Ce nouveau film de Bartosz machin confirme en tout cas plusieurs éléments : Le cinéma de genre polonais est actif et en bonne santé. Des réalisateurs comme lui possèdent des compétences de mise en scène incontestables. Le cinéma de genre polonais copie à la perfection les ficelles du cinéma de genre américain et peut donc parfaitement fonctionner à l’international. Pour ces mêmes raisons, il est prévisible, interchangeable et souvent fade. Pourtant, le cadre, un monastère décrépit, possède cette fois un minimum de cachet et le scénario, bien que totalement classique, demeure fonctionnel…mais “L’abîme de l’enfer’ n’est finalement qu’un film de malédiction de plus, qui rejoue en mode mineur le déroulement de classiques plus prestigieux. Unique surprise au programme : le scénario fait le choix de nous dévoiler visuellement le Malin, à l’extrême fin du film, et si ça tue un peu le game, ce n’est tout de même pas si fréquent. Sans doute que les Polonais y croient suffisamment pour être impressionnés par ce cosplay à la qualité discutable…