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    The Substance
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    3,8
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    742 critiques spectateurs

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    Théo
    Théo

    5 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2024
    C’est une expérience très spéciale que de voir ce film, bordel…

    Les 2 premiers tiers j’ai adoré, c’est bien c’est beau et tout. Le plan sur la poignée de porte m’a explosé de rire

    PAR CONTRE le 3eme acte la, j’étais tendu comme jaja pendant 30min, c’est fou hein mais le dosage ils y sont allé à fond
    Le signe du M
    Le signe du M

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 novembre 2024
    Sur-mixé, a aucun moment plongé dans le film tant il réussit à nous mettre au plus mal a l'aise. Tout est fait pour que l'on ai envie de fuir le film(par 3 fois personnellement), le son est agressif tout comme les images. Au moins c'est sûr que le film marque les spectateurs... durablement.
    Rosalie
    Rosalie

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 novembre 2024
    Très choquant, il mets mal alaise tout le long. Je regarde toute les semaines de films d’horreur et de gore mais la j’etais très mal alaise. Surtout que le film et seulement DÉCONSEILLÉ au moins de 12 ans alors qu’il devrait être interdit au moins de 14 minimum.
    SP14
    SP14

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2024
    Ce film est une véritable déception, sans histoire et sans intérêt. La narration est inexistante, les personnages sont creux, et les scènes semblent enchaînées sans cohérence..

    De plus, plusieurs scènes sont d’une vulgarité gratuite et franchement désagréable à regarder. Cela frôle le mauvais goût, au point que plusieurs personnes – moi y compris – avons quitté la salle avant la fin. C'est rare de voir un film atteindre un tel niveau de médiocrité.

    En résumé, ce film est une perte de temps. Je ne le recommande à personne.
    Arnold Marius
    Arnold Marius

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2024
    Ennuyeux, aucun intérêt, j ai perdu 2 heures de ma vie, un message qui a été essayé d être passé mais le film est tellement nul que ça fait l’inverse …
    Julien C.
    Julien C.

    1 abonné 36 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2024
    J'aurais vraiment voulu aimer ce film. Le pitch semblait allechant bien que le point de départ est boiteux. Une ex star ne supporte pas sa vieillesse parce que refusée par le Cinema System. Il est navrant et fait de la peine jusqu'à une certaine forme de pitié de voir une actrice qui n'accepte pas son age.

    De plus, il y a 2 aspects cruciaux qui sont totalement gérés de manière erratique.

    Un: vouloir dénoncer le jeunisme à Hollywood ou de manière générale pouvait etre traiter d'une manière beaucoup moins superficielle. Montrer des paires de fesses sans cesse jusqu'à la nausée est véritablement suffocant, et ecoeurant à la longue.
    Deux: Selon le trailer, vous etes une personne mais en deux corps. Seul problème, les deux personnes sont totalement différentes. Les rapports des deux corps avec un esprit ne tient plus la route....

    Les couleurs flashy, la mise en scène avec références sur divers films d'horreur tel Shining laisse un coup de réchauffé assez désagréable.

    Demie Moore par contre fait une excellente performance (peut-etre sa meilleure) qui ne sauve pas le film mais devrait lui donner d'autres opportunités à Hollywood.

    Déçu, déçu, déçu........
    Rom
    Rom

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 novembre 2024
    C’était le pire film que j’ai vu de ma vie. Il y’avait de l’idée, le concept était intéressant mais c’est allé beaucoup trop loin. Le film était délirant, n’avait aucun sens. Horrible; je ne recommande pas.
    Isabelle K.
    Isabelle K.

    2 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2024
    Mais dans quel guêpier Demi Moore est-elle allée se fourrer ? Épargnez-vous ce film glauque, gore, barbare, tapageur et bien inutile.

    Je me demande comment ce film a pu obtenir le prix du Scénario à Cannes parce que, précisément, il n'y en a aucun, on avance à vue, tâtonnant ; pas davantage de dialogues sinon de grossiers hahanements, des gris gutturaux, des bruits dégoûtants et exagérés de matières, toutes les matières (sang, chairs, mastications, succions, plaies, projections, talons, corps éclatés-déchirés-déchiquetés-balancés-éclatés, os rabougris, peaux asséchées).

    En fait la caméra plonge à l'intérieur des organes. Sans précaution et sans limite.Ce film, c'est 21000 litres de sang et cela semble réjouir.Les clichés, allégories et métaphores sont légion et franchement à ras des pâquerettes comme les oeufs qui se démultiplient.Les références aussi sont légion et malaxées entre elles (Elephant Man, Shining, Faust ; le pitch de l'excellente série #PlanB sur TF1 ).

    Ce film se prétend féministe, perso je trouve qu'il serait plutôt un blanc-seing offert au patriarcat et à la misogynie vulgaire.Aucun moyen ne sera jamais tout à fait improbable pour que les dominants puissent continuer de régner en toute impunité et d'imposer des situations qui se retourneront toujours contre les femmes.

    L'histoire se déroule dans une ville ensoleillée et pop, où les palmiers tapent à l'oeil ; c'est beaucoup filmé d'en haut (je n'ai peut-être pas réussi à prendre autant de hauteur qu'attendu) ou de l'intérieur donc ; les lieux sont aseptisés-chic-inhospitaliers, dans une vie futuriste où livres, cinémas, restaurants, relations humaines n'ont pas subsisté. Une vie sans but, mécanique et orgiaque. Où j'espère ne jamais avoir à survivre.

    Bref, une prodigalité qui, sans Demi Moore n'aurait guère eu de chance à mon avis.
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 704 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2024
    "Vous n'échapperez pas à vous-même."

    «The Substance», ou le body horror à son meilleur.

    Récompensé à Cannes par le Prix du scénario (auquel j'aurai volontiers rajouté celui de la mise en scène), le nouveau film de la réalisatrice-scénariste française Coralie Fargeat (Revenge) nous plonge dans le récit de l'actrice Elisabeth Sparkle, étoile du cinéma qui a perdu de son éclat au fil du temps, et anime une émission d'aérobic dont elle se fait licencier par son directeur de production, qui veut y réinjecter du sang neuf (et plus attrayant pour l’œil masculin).

    Sans emploi et victime d'un accident, une clé USB va lui être remise. Sur celle-ci, une publicité mystérieuse faisant la promotion d'une substance spéciale, lui permettant de générer une version plus jeune, plus belle et plus parfaite d'elle-même, à l'unique condition de suivre 3 instructions bien précises.

    D'abord hésitante, Elisabeth décide de sauter le pas, déterminée à renouer avec sa célébrité passée, d'une manière ou d'une autre. Mais ce qui semblait d'abord se présenter comme une sorte de miracle va progressivement se transformer en cadeau empoisonné pour elle. Et lui démontrer que sa véritable ennemie, c'est elle-même.

    «The Substance» est, sans l'ombre d'un doute, l'une des œuvres les plus immersives et radicales que j'ai pu découvrir au cinéma cette année.

    Variation moderne et viscérale d’œuvres classiques comme «Le portrait de Dorian Gray» (la quête désespérée de la beauté et jeunesse éternelles), «Frankenstein» (la créatrice et sa "créature interne"), «Dr. Jekyll & Mr(s). Hyde» (2 corps liés par la même conscience, se battant pour prendre le dessus l'un sur l'autre) ou encore «Dracula» (l'autre moi qui se nourrit, comme une addict, de la moelle de l'Elisabeth originale pour conserver son corps et plus largement sa vie), cette fable horrifique dresse le portrait, frontal et peu reluisant, de cette obsession maladive pour l'apparence, diktat de la société et des chaînes TV, toujours à la recherche du corps parfait à exploiter sur leurs écrans.

    Doté d'une mise en scène chirurgicale et oppressante, lorgnant notamment du côté de Kubrick (pour la composition de ses plans et ses décors souvent épurés) ou encore de Winding Refn (en particulier pour son «Neon Demon»), le film fourmille d'idées visuelles ingénieuses (à l'image de cette intro temporelle sur le Walk of Fame), filmant le corps sous toutes ses coutures, sans tabou et de manière parfois volontairement malaisante et hyper-sexualisée (à la manière d'un clip de Benny Benassi), en adéquation totale avec son sujet, dans l'esprit d'un «Black Mirror» gore et qui aurait complètement vrillé.

    À l'intérieur de cette expérience ultra-sensorielle (d'autant plus lors d'une séance en Dolby Atmos), le très bon duo Demi Moore-Margaret Qualley se complète à merveille, telles les 2 faces d'une même pièce se fendant de plus en plus, et Dennis Quaid prend un certain plaisir à jouer le grand méchant loup en costard et au sourire carnassier.

    «The Substance» est définitivement une œuvre qui ne plaira pas à tout le monde de par son jusqu'au-boutisme formel spoiler: (en particulier dans son dernier tiers outrancier mais totalement assumé, convoquant notamment des références à «The Thing» de Carpenter et «Society» de Brian Yuzna
    ), mais personnellement, c'est justement ce qui m'a particulièrement plu.

    Un film décomplexé et ultra-généreux à tous les niveaux, ne se retenant jamais d'y aller à fond, et ne pouvant laisser indifférent..
    Un film se revendiquant de l'héritage Cronenbergien, tout en y apportant sa propre vision, sa propre lumière.
    Un film-monstre sur un combat interne (celui d'une actrice qui, au fond d'elle, ne s'est jamais vraiment trouvée "belle", et semble n'exister qu'à travers le(s) regard(s) qu'on veut bien lui apposer/imposer), dont les images et les sons nous impactent de plein fouet, et ne nous relâchant qu'au moment du générique de fin.
    Un petit bijou cauchemardesque et jouissif dont on ne ressort pas totalement indemne, et que je ne peux que vous inviter à découvrir sur grand écran (si c'est votre truc évidemment).
    Parce que des films comme ça, il n'en sort définitivement pas toutes les semaines. 8,5/10.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2024
    The substance est, sans aucun doute, l'un des films les plus audacieuse de cette année. C'est un film qui ose tout, le gore grand-guignolesque, la réalisation clippesque, la caricature mais qui n'en oublie pas d'être étrangement émouvant. Film sur la quête de la jeunesse, traitant de la question de l'agisme et du vieillissement des actrices hollywoodiennes, the substance est aussi un film sur le corps de Demi Moore qui s'y met à nu au sens propre comme au sens figuré. Elle est le cœur d'un film qui évoque autant requiem for à dream que la Mouche et se termine sur un bain de sang qui rend hommage à Elephant man qu'à Carrie. L'ensemble secoue, passant habilement d'un registre à l'autre, mêlant la satire au body horror, quitte à parfois frôler le too much. Parfois dérangeant dans sa manière de filmer des corps mutilés, The substance est un film fou, foutraque et jusqu'au boutiste, une proposition de cinéma de genre particulièrement stimulante.
    sunshine1
    sunshine1

    99 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2024
    Whaou quelle claque.Une touche de THE NEON DEMON ( que j'ai préféré malgré tout car beaucoup de similitudes) , requiem for a dream dans son esthétique, de Carrie pour sa touche parodique jusqu'au bouddhiste, décors d'un vrai shininng, monstres d'un buddy horror movie qui se fait rare de nos jours bref un aura de tout ses chefs d'oeuvre. Performances incroyable pour les deux actrices principales et musique électro pour assommer le spectateur dans sa démesure psychédélique. Une pépite ce film .
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    64 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2024
    Extraordinaire. J'ai adoré. Que de rebondissements le film monte en puissance de façon particulièrement efficace. Foncez le voir c'est une expérience cinématographique .
    Blankovitch
    Blankovitch

    48 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2024
    Bon film, comme un bon épisode de Black mirror qui finirait dans le style brain dead.
    Cependant je suis circonspect quant à la palle du meilleur scénario : en effet spoiler: pourquoi vouloir créer une autre version de soi-même complètement indépendante ? Qui vit sa vie de façon autonome, vie dont on n'a aucun souvenir ? Sue s'éclate une semaine. Elisabeth galère la suivante. Quel intérêt pour elle ?
    mat niro
    mat niro

    353 abonnés 1 823 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 novembre 2024
    Après "Revenge" 2018, notre petite frenchie Coralie Fargeat signe un film sur les diktats de la jeunesse chez les femmes aux Etats-Unis sous un angle horrifique. Pour cela, elle peut compter sur un duo de choc : Demi Moore (dans peut-être son meilleur rôle), et sa version améliorée, la pétillante Margaret Qualley. De là va naître une intrigue tortueuse et maléfique récompensée à juste titre à Cannes 2024 par le Prix du scénario. Ce que l'on peut reprocher à "The substance", c'est son côté parfois malaisant et son escalade crescendo vers le gore qui en fait un OVNI cinématographique à ne pas mettre à la portée des plus sensibles. Se définissant elle-même comme féminisme, la cinéaste dénonce avec succès l'industrie Hollywoodienne (et autres) sur le sujet du vieillissement des femmes et des canons de beauté recherchés, quitte à verser dans le gore. Très original.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    267 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2024
    Captivant, stressant et terriblement malaisant. Il faut avoir l’estomac, le cœur et les autres organes bien accrochés, car le film va très, très loin en matière d’inspiration horrifique et grand-guignolesque. Les premières séquences, les plus soft, sont assez géniales pour dire le temps et la notoriété qui passent. La suite étrille la société du spectacle, le machisme cynique, le culte de la célébrité et les diktats sociaux dans l’univers féminin, qui deviennent obsessions : éternelle jeunesse, beauté sexy… Tout cela est traité avec une ironie cinglante et une originalité mystérieuse concernant la thématique du dédoublement de corps (pour une seule personnalité). La réalisation, clinquante et claquante, réserve quelques outrances réjouissantes en termes de matérialité, de vulgarité, et brille par son inventivité (visuelle, sonore). Coralie Fargeat affiche une vraie patte d’auteur, tout en multipliant les clins d’œil cinématographiques et littéraires (les films de Cronenberg, Shining de Kubrick, Carrie de De Palma, Dr. Jekyll et Mr. Hyde, Le Portrait de Dorian Gray, Faust…). Et tandis que le scénario va crescendo en audace et en radicalité, entre épouvante et humour très noir, on se dit que l’on va tutoyer les sommets du body-horror-movie. Malheureusement, la réalisatrice perd le sens de la mesure en envoyant son personnage principal au « bal du diable » (ici la soirée télé du réveillon de fin d’année) et, à défaut d’implicite, se laisse emporter dans une surenchère monstrueuse, trash, gore, qui traîne péniblement en longueur. C’est hallucinant mais un peu décevant. Reste un impact très fort (dont on ne se remet pas facilement…) et une certaine sidération face à la composition de Demi Moore, en plein come-back, dans un rôle qui a forcément des résonances personnelles. Gonflé.
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