AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,9
325 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur The Substance ?
5
39 critiques
4
102 critiques
3
35 critiques
2
18 critiques
1
11 critiques
0
11 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Film au scénario. Étrange les deux actrices jouent bien leurs rôles l’histoire. Bizarre mais on y trouve du plaisir à le regarder
Le sujet et la BA étaient très prometteurs mais la fin est pitoyable. Un bain de sang au sens sens propose aussi exagéré qu'inutile. Un final qui part en queue de boudin
Uppercut visuel mais pas que, « The Substance » empreinte au meilleur du cinéma de genre (de Cronenberg à Carpenter en passant par Lynch) voir même à la série Z pour accoucher d'une monstruosité cinématographique totale, aussi jubilatoire qu'hautement inspirée.
Au delà de l'aspect gore et dérangeant pour un public non averti (quelques fragiles festivaliers Cannois n’auraient visiblement pas pu aller jusqu’au bout de la projection), ce film est un savoureux pamphlet contre le diktat de la jeunesse éternelle et la volonté quasi-messianique qu’à la société du spectacle d’engendrer des monstres. « Etre et avoir été » voilà qui pourrait servir de sous-titre à ce petit joyau de difformité cinématographique, jouissif et jusqu’au boutiste, (ce dernier plan…)
Matérialisation de la laideur morale, schizophrénie de l'être et du paraître, « The Substance » montre ici le vrai visage de Narcisse dépouillé de ses futiles oripeaux, aussi monstrueux qu'inconséquent.
A l’heure où les films de genre peinent désespérément à nous surprendre car devenus profondément lisses voir dramatiquement prévisibles (sacro-saint « jumpscare » usé jusqu'à la corde) et le cinéma mainstream, perdu entre injonctions communautaires et navrance de propos. The substance injecte un peu vie dans un cœur à l’agonie.
En apparence magnifique, en substance… GÉNIAL!!!
Au delà de l'aspect gore et dérangeant pour un public non averti (quelques fragiles festivaliers Cannois n’auraient visiblement pas pu aller jusqu’au bout de la projection), ce film est un savoureux pamphlet contre le diktat de la jeunesse éternelle et la volonté quasi-messianique qu’à la société du spectacle d’engendrer des monstres. « Etre et avoir été » voilà qui pourrait servir de sous-titre à ce petit joyau de difformité cinématographique, jouissif et jusqu’au boutiste, (ce dernier plan…)
Matérialisation de la laideur morale, schizophrénie de l'être et du paraître, « The Substance » montre ici le vrai visage de Narcisse dépouillé de ses futiles oripeaux, aussi monstrueux qu'inconséquent.
A l’heure où les films de genre peinent désespérément à nous surprendre car devenus profondément lisses voir dramatiquement prévisibles (sacro-saint « jumpscare » usé jusqu'à la corde) et le cinéma mainstream, perdu entre injonctions communautaires et navrance de propos. The substance injecte un peu vie dans un cœur à l’agonie.
En apparence magnifique, en substance… GÉNIAL!!!
Magistrale, addictif et à la fois choquant ! J'ai beaucoup aimé ce film. Il faut prendre le temps de comprendre le discours du film pour bien l'apprécier. J'ai quelques fois dû couper le son par peur.
Je ne savais pas que c'était un film d'horreur... j'ai donc été très surprise en le voyant! C'est un film visuellement intéressant mais vraiment bien dégueu... je vais en faire des cauchemars ! C'est vraiment dommage cependant que les 15 dernières minutes gâchent le film, on sent que la réalisatrice était en roue libre et ne savait pas comment finir son film.
Un film qui ne laisse pas indifférent, ça c'est sur.
Le film commence bien, on a une critique intéressante du "star system" et de la quête de jeunesse éternelle. La première partie est réussie, le film prend le temps de poser son histoire, les personnages sont intéressants (principalement celui de Demi Moore) et la mise en scène soignée.
Dans sa seconde partie, même si l'intérêt demeure, la qualité se dégrade pour tomber trop facilement dans du gore gratuit. Je pense que le message aurait pu passer plus subtilement tout en gardant le côté horrifique. Il y a un moment où la réalisatrice semble perdre le fil est c'est dommage.
Le bilan est donc mitigé.
Le film commence bien, on a une critique intéressante du "star system" et de la quête de jeunesse éternelle. La première partie est réussie, le film prend le temps de poser son histoire, les personnages sont intéressants (principalement celui de Demi Moore) et la mise en scène soignée.
Dans sa seconde partie, même si l'intérêt demeure, la qualité se dégrade pour tomber trop facilement dans du gore gratuit. Je pense que le message aurait pu passer plus subtilement tout en gardant le côté horrifique. Il y a un moment où la réalisatrice semble perdre le fil est c'est dommage.
Le bilan est donc mitigé.
Le scénario et les dialogues sont creux. Les images ne sont que du trash gratuit pendant 2h. Je ne recommande pas ce filme.
Une plongée bancale dans l’horreur du culte de la beauté qui s’aventure dans les profondeurs de nos obsessions modernes autour de la jeunesse éternelle et de la peur de vieillir, en mettant en scène une société où la beauté se transforme littéralement en cauchemar. Le film tente de dénoncer les injonctions toxiques imposées aux femmes, mais peine à trouver un équilibre entre critique sociale et horreur. Visuellement, The Substance propose une ambiance stylisée et inquiétante, jouant sur le malaise que provoque cette obsession de la beauté qui s’effrite. Malheureusement, le film traîne en longueur et finit par tourner en rond, étirant des scènes sans réelle intensité pour finalement diluer son message. On est d’abord intrigué, puis de plus en plus impatient de voir où l’histoire nous mènera – jusqu’à cette fin grand-guignolesque parodie de Massacre à la tronçonneuse.
Pas mal, dans plus…
Pas mal, dans plus…
Théo
C’est une expérience très spéciale que de voir ce film, bordel…
Les 2 premiers tiers j’ai adoré, c’est bien c’est beau et tout. Le plan sur la poignée de porte m’a explosé de rire
PAR CONTRE le 3eme acte la, j’étais tendu comme jaja pendant 30min, c’est fou hein mais le dosage ils y sont allé à fond
Les 2 premiers tiers j’ai adoré, c’est bien c’est beau et tout. Le plan sur la poignée de porte m’a explosé de rire
PAR CONTRE le 3eme acte la, j’étais tendu comme jaja pendant 30min, c’est fou hein mais le dosage ils y sont allé à fond
Vu en avant-première. The Substance, fait clairement partie de ces œuvres qui ne laissera personne indifférent. Attention toutefois, âmes très sensibles, S'abstenir !!! Très certainement l'un des meilleurs films que j'ai vu depuis longtemps. Un film unique, qui dépasse les limites. Du Body Horror de luxe, avec une maîtrise du cadre, de la lumière et de la musique hallucinante. C'est beau, bien éclairé, et très bien filmé. Les SFX et maquillages sont "magnifiques", et l'on a clairement affaire la a un film qui marquera les esprits. Il y a du Cronenberg, du Dr Palma, du Carpenter et du Lynch, par moments, on peut aussi penser a Julia Ducournau dans la mise en scène. Le choix de Demi Moore au casting, n'aurait put être mieux, elle qui reflète exactement le propos même du film.( Certainement son meilleur rôle ! )Dennis Quaid, parfait dans un rôle exécrable, a contre emploi. Le scénario est malin et intelligent, sur le regard des autres, le jeunisme et le remplacement des actrices plus âgées par des plus jeunes. Que dire de la scène finale... Dantesque !!! A voir donc, mais en ayant conscience de ce que l'on va voir avant. Déjà culte.
Vu en avant première.
Très controversé, ce film donne en effet une grosse claque.
Les acteurs sont dingues, la mise en scène aussi. Demi Moore est incroyable.
Malheureusement la fin est complètement nulle .... Et c'est vraiment dommage !!
Très controversé, ce film donne en effet une grosse claque.
Les acteurs sont dingues, la mise en scène aussi. Demi Moore est incroyable.
Malheureusement la fin est complètement nulle .... Et c'est vraiment dommage !!
Vu en avant première
Je trouve le scénario incroyable, vraiment original. Pour une fois je suis raccord avec Cannes c'est un scenario qui change vraiment (Titane était nullissime). Le cliché du producteur qui cherche de la chair fraiche, le fait que apres 50 ans les spectateurs veulent des jolies femmes pas des femmes d'ages murs, tout ce film est un moyen feministe mais pas agressif (ça change) de dénoncer tout ça.
Et puis cette idée de "vous ne faite qu'un corps" le fait d'alterner chaque semaine, c'est vraiment une super idée.
Pour la suite, à ne lire que si vous avez vu le film, sinon j'ai un peu caché les spoiler mais ...bon
Personnellement j'aurai arrêté le film quand spoiler: Sue tue Elisabeth. Elisabeth meure, Sue meure parce qu'elle ne font qu'un, c'est la règle
. Cette continuation avec le monstre façon ElephantMan de la fin n'a aucun intéret. Le côté ultra gore (avez vous reconnue pour les plus vieux le clin d'oeil au film "Carrie" de Brian De Palma) est un peu too much et je ne l'ai pas compris. C'est cette fin qui m'a fait enlever la cinquième étoile.
Pour le reste, une vraie surprise, une vraie nouvelle idée de scénario. A voir mais âmes sensibles s'abstenir pour la fin.
Je trouve le scénario incroyable, vraiment original. Pour une fois je suis raccord avec Cannes c'est un scenario qui change vraiment (Titane était nullissime). Le cliché du producteur qui cherche de la chair fraiche, le fait que apres 50 ans les spectateurs veulent des jolies femmes pas des femmes d'ages murs, tout ce film est un moyen feministe mais pas agressif (ça change) de dénoncer tout ça.
Et puis cette idée de "vous ne faite qu'un corps" le fait d'alterner chaque semaine, c'est vraiment une super idée.
Pour la suite, à ne lire que si vous avez vu le film, sinon j'ai un peu caché les spoiler mais ...bon
Personnellement j'aurai arrêté le film quand spoiler: Sue tue Elisabeth. Elisabeth meure, Sue meure parce qu'elle ne font qu'un, c'est la règle
. Cette continuation avec le monstre façon ElephantMan de la fin n'a aucun intéret. Le côté ultra gore (avez vous reconnue pour les plus vieux le clin d'oeil au film "Carrie" de Brian De Palma) est un peu too much et je ne l'ai pas compris. C'est cette fin qui m'a fait enlever la cinquième étoile.
Pour le reste, une vraie surprise, une vraie nouvelle idée de scénario. A voir mais âmes sensibles s'abstenir pour la fin.
L’un des films les plus singuliers de 2024 et qui ne laissera pas indifférent
Le film devrait être déconseillé aux moins de 18 ans car certaines scènes sont particulièrement gores.
La fin est un peu bâclée c’est dommage. L’intrigue qui était intéressante et super bien amenée aurait mérité un dénouement un peu plus soigné
Le film devrait être déconseillé aux moins de 18 ans car certaines scènes sont particulièrement gores.
La fin est un peu bâclée c’est dommage. L’intrigue qui était intéressante et super bien amenée aurait mérité un dénouement un peu plus soigné
Soumise à l’inexorable fuite du temps et aux regards masculins implacables, Elisabeth s’effondre sous le poids d’une beauté marchandisée. Dans The Substance, elle s’abandonne à un fluide malléable, fragile métaphore des artifices modernes — cosmétiques, chirurgies, filtres numériques. Cette matière tangible, promesse éphémère de splendeur éternelle, devient dépendance et poison. Chaque dose la modifie, la fait miroir des diktats sociétaux, où l’illusion de perfection n’est qu’une lente dissociation.
En consommant son propre reflet, elle engendre un double : créature inhumaine, image inversée qui, de rêve de beauté, se mue en allégorie cauchemardesque de body horror, magnifié ici par une palette pop vive. Dans la veine du « corps grotesque » littéraire, Elisabeth incarne la dérive d’un idéal devenu prison, une identité remodelée jusqu’à l’aliénation.
Ainsi asservie à l’image qu’elle a façonnée, Elisabeth devient parasite de son propre monstre, consommée par ses propres aspirations démesurées.
La pop éclatante de The Substance, agit comme un leurre, et dissimule la brutalité d’une norme qui dévore les singularités, marquant une évolution naturelle de la narration visuelle. En filigrane, l’ombre de Cronenberg, (mais pas que) où le sublime et le grotesque s’enlacent en une symphonie de chair et d’effroi.
En consommant son propre reflet, elle engendre un double : créature inhumaine, image inversée qui, de rêve de beauté, se mue en allégorie cauchemardesque de body horror, magnifié ici par une palette pop vive. Dans la veine du « corps grotesque » littéraire, Elisabeth incarne la dérive d’un idéal devenu prison, une identité remodelée jusqu’à l’aliénation.
Ainsi asservie à l’image qu’elle a façonnée, Elisabeth devient parasite de son propre monstre, consommée par ses propres aspirations démesurées.
La pop éclatante de The Substance, agit comme un leurre, et dissimule la brutalité d’une norme qui dévore les singularités, marquant une évolution naturelle de la narration visuelle. En filigrane, l’ombre de Cronenberg, (mais pas que) où le sublime et le grotesque s’enlacent en une symphonie de chair et d’effroi.
L'idée était bonne bien que Cocoon ait déjà explore la filière, le début du film est intéressant mais malheureusement il ne tient pas la distance, plus de 2 h, et à mi parcours la cinéaste ne sait plus ce qu'elle dirige,un film fantastique ou un film gore ? Elle semble opter pour la seconde option et déroule un tapis de clichés de film d'horreur tout droit sorti d'un clip de MTV des années 90.Bref prix du scénario peut être mais pas de la mise en scène et encore moins palme d'or !
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse