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    The Substance
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    769 critiques spectateurs

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    Hervé Guillot
    Hervé Guillot

    42 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2024
    Scénario intéressant et reflétant très bien la peur de vieillir pour une star d'hollywood. La première partie du film est intéressante mais la seconde est nulle à cause du tournant gore. Ça rend le film ridicule. Demi Moore joue assez bien. Le film aurait pu avoir 40 minutes de moins.
    Mikaël D
    Mikaël D

    5 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    Au milieu de ce film sidérant, il y a une longue scène où Demi Moore se maquille devant sa glace. A mon avis, cette scène est déjà dans l'Histoire du cinéma. Dans tout le film, ce qu'elle accepte de faire, de montrer, de jouer n'a pas d'équivalent pour une star de 60 ans en terme du risque pris, ou peut-être Stefania Sandrelli dans la Clé.
    Le film est éprouvant mais jamais terrifiant. Il est totalement passionnant et on y repense longtemps. Ce n'est pas gênant qu'il cite Kubrick, Cronenberg ou de Palma car il le fait magistralement.
    La réalisatrice confirme les défauts et les qualités de son premier film Revenge: d'un côté un sens rare de l'image, de l'imprévu, une audace dans le scénario, une direction d'actrices envoutante. De l'autre une méconnaissance du sujet (ce que peut un corps et comment on le répare) qui devrait l'amener à s'adjoindre un conseiller médical, et de nombreuses failles logiques (le pic dans le ventre dans Revenge, un service de ménage visiblement en télétravail ici). Sans parler de sa vision des hommes: lâches, violeurs et assassins dans Revenge, ici seulement cons et hystériques.
    Il faut baisser les yeux dans les 10 dernières minutes pour ne pas être sali par certains fantasmes dégoulinants.
    Une expérience unique. A voir absolument.
    AudreyBanaliss
    AudreyBanaliss

    26 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2024
    Absolument génial. Moderne, audacieux, l’histoire est bien ficelée du début à la fin. Les plans, le d’images, la lumière, les costumes… tout est maîtrisé à merveille..
    walid slimani
    walid slimani

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 novembre 2024
    Fuyez ! Quelle horreur ! Un mix ridicule entre film x et film gore à vomir . L’idée était intéressante mais le film bascule très vite dans du grand n’importe quoi.
    Lemagducine
    Lemagducine

    15 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2024
    Cet uppercut cinématographique divisera, choquera et mettra KO ceux qui y adhéreront. D’ailleurs, on n’a pas vécu de claque du genre depuis Requiem for a dream pour ce qui se positionne largement comme LE film d’horreur de l’année, viscéral, extrême et terriblement intelligent. The Substance est une œuvre radicale qui vous happe dès les premières images par sa mise en scène travaillée avec logique dans le moindre des détails, son discours passionnant sur les canons de beauté (et tout ce qui tourne autour) et son concept théorique admirablement vulgarisé, maîtrisé de bout en bout. Un long-métrage qui vous hantera longtemps après vous avoir convié à un grand huit de sensations fortes à l’emballage hypnotique dont il est difficile de se remettre. Une expérience de cinéma qui s’apparente à un véritable chef-d’oeuvre, un objet unique et incroyable qui relègue le surestimé Titane au rang de sucrerie et risque de faire parler très longtemps de lui…

    https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/the-substance-requiem-for-a-body-10071931/
    Aakaraly Maariigul
    Aakaraly Maariigul

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 novembre 2024
    J'ai vu ce film lors d'une soirée Halloween en avant première. Il est en effet très engagé, mais il est juste insupportable. Je n'avais jamais eu autant envie de quitter une salle de cinéma (certains l'ont fait d'ailleurs).
    La thémarique, pourtant prometteuse, est mal exploitée. Le film est incroyablement long et on espère qu'il soit terminé au moins 4 fois.
    Les acteurs sont très bons en revanche.
    Zaldi
    Zaldi

    95 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2024
    Oh wow...mais c'est quoi ce film !? Par où commencer ? Que dire ? Vraiment c'est l'une des séances les plus mémorables et dérangeantes que j'ai pu vivre. Ce film va énormément diviser (il divise déjà) et quand on voit la proposition, on se dit "comment ça aurait pu en être autrement ?". Pour donner un avis rapide, j'ai adoré et j'étais à rien de lui mettre la note maximale. "The Substance" est extrêmement perturbant (c'est important de le savoir), il aurait mérité selon moi d'être interdit aux moins de 16 ans tant ça va loin par moment...Non le film n'est pas uniquement gore (j'ai vu que cette critique ressortait souvent) mais c'est surtout très oppressant de par l'atmosphère malsaine qui règne. On sort de la salle éprouvé mais heureux d'avoir assisté à une telle claque cinématographique.
    Félicitation à Coralie Fargeat pour cette oeuvre et pour son prix du meilleur scénario au festival de Cannes. Bien que l'histoire soit extrêmement intelligente et maline, ce qui m'a surtout scotché dans ce film est sa mise en scène qui est juste brillante et permet d'accentuer ce sentiment de malaise constant.
    Difficile de parler de ce film sans évoquer les (très) nombreuses références et clins d'œil en tout genre. Évidemment les deux films auxquels on pense après avoir vu The Substance sont spoiler: The Shinning et la Mouche. Shinning avec bien sûr le long couloir avec une tapisserie rouge ainsi que la vieille dame déformée dans la salle de bain. La Mouche pour l'évolution du personnage principal qui va se transformer peu à peu en monstre. Ce clin d'œil est appuyé à la fin quand le monstre dit "n'ayez pas peur de moi" un peu comme Seth qui devient un monstre malgré lui...
    Beaucoup d'autres références sont à souligner comme spoiler: Carrie
    avec la scène de fin. On a aussi un coté Black Mirroresque dans la structure de ce film avec un postulat de base intéressant, un concept innovant et une situation qui va dégénérer peu à peu pour basculer dans une forme d'horreur. La narration visuelle est tout bonnement magique. Certaines scènes embrassent l'esthétique des espaces liminaux (rendu célèbres grâce aux backrooms). Deux scènes m'ont absolument fasciné spoiler: (la première étant le long couloir par lequel Sue et Elisabeth vont passer à de nombreuses reprises. Chaque passage dans ce lieu m'a fait éprouver un profond sentiment de malaise. La seconde et la plus mémorable selon moi, est le moment où l'on va voir Elisabeth en pls dans sa douche avec la caméra qui va s'élever sans ne jamais s'arrêter. La douche va alors apparaitre comme un immense tube accentuant le côté oppressant de la scène. Au passage la salle de bain, entièrement faite de carrelage blanc est angoissante à souhait. Cela rappelle l'esthétique des pool rooms, autre clin d'œil à l'univers des espaces liminaux propres aux backrooms.
    Un mot sur les actrices et acteurs...juste bluffants. Demi Moore et Margaret Qualley livrent une prestation qui mériterait une nomination aux oscars (je pèse mes mots et j'assume). Dennis Quaid est également excellent dans son rôle terrifiant de riche producteur de télé qui ne pense qu'au profit et qui sera un élément important dans les messages que la réalisatrice veut nous transmettre. Le travail autour du son est à l'image de la mise en scène: remarquable.
    Les messages justement. On évoque la sexualisation des femmes dans ce genre d'industrie, la substance est une critique de la chirurgie esthétique et s'apparente à un poison. La symbolique de certaines scènes est assez glaçante spoiler: (quand Harvey mange des crevettes de façon très sale, métaphore de ces jeunes femmes sexualisées qui sont mangées par des vieux riches de ce milieu)

    Alors pourquoi j'accorde "seulement" 4.5/5 et non la note maximale malgré tout le bien que j'en dis ? Cela se résume en 5 mots : la dernière partie du film. Considéré comme le clou du spectacle pour beaucoup, j'avoue que c'est la partie qui m'a le moins plu et qui m'a aussi un peu perdu. Toute la force du film réside dans ses messages et son atmosphère malsaine mais je n'ai pas (complétement) retrouvé cela lors du final. En effet, lors des trente dernières minutes, The Substance va prendre un virage sanglant et basculer dans l'horreur graphique d'une façon pas toujours subtile. spoiler: (je pense au moment où Sue va tuer Elisabeth. La scène, en plus d'être très sanglante et violente, s'étire pour pas grand chose et je dois dire que j'ai pas très bien saisi l'intérêt. Bien que je comprenne l'idée, j'ai pas trouvé ça aussi subtile que ce qui a été établi jusqu'à ce moment)

    Autre léger problème, The Substance manque un poil de développement et d'explications à propos de l'origine de cette substance. spoiler: Qui est derrière tout cela ? Comment un tel projet a pu être financé alors qu'aucun paiement n'est demandé ? Beaucoup de questions sans réponse et c'est assez frustrant (même si j'ai conscience que ce n'est pas le propos principal du film)

    Pour conclure, j'ai donc passé une véritable expérience de cinéma. L'histoire est captivante en plus d'être originale, la mise en scène est brillante et les actrices sont formidables. Il faut quand même être préparé pour ce film car la séance est assez éprouvante. On peut relever quelques petits défauts (notamment vers la fin) mais hormis cela, c'est presque un sans faute. Je ne dirais pas que j'ai hâte de le revoir car il faut le digérer (à tous les sens du terme) mais si la bande annonce vous a intriguée, foncez ! Sur ce, je vais manger une cuisse de poulet...quoique...
    Spider cineman
    Spider cineman

    152 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 novembre 2024
    Vu en cinéma diffusant l’avant première
    Faust au pays de la science de la jeunesse éternelle, c est également un scénario qu Oscar Wilde aurait pu écrire jeunesse versus vieillesse, et du pouvoir de la beauté. Casting remarquable, réalisation esthétique et choc. Un film tout à fait hors du commun.
    AZZZO
    AZZZO

    302 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2024
    Magistral !
    Coralie Forgeat a réalisé un film incroyable, une triple réussite, à la fois politique, philosophique et esthétique.
    Politique car il s'agit là d'un vrai film féministe. Greta Gerwig (pourtant si talentueuse) avait déçu avec son Barbie si peu corrosif, oscar incontesté du défonçage de portes ouvertes. Coralie Fargeat fait beaucoup plus fort. Ce sont les comportements des hommes et des femmes qu'elle défonce. Les hommes n'apparaissent dans le film que sous les traits de prédateurs qui imposent aux femmes de se soumettre à leurs désirs. Certes, le trait est forcé mais cette image abjecte nourrit le combat féministe. Quant aux femmes, Coralie Fargeat ne se contente pas de les filmer en victimes. Elles ne sont pas absoutes d'une forme de responsabilité lorsqu'elle se soumettent à ces injonctions masculines. La courte scène des boucles d'oreilles, à la fin du film, est d'ailleurs très drôle et très cynique
    Philosophique car, derrière cette intrigue de science-fiction, la réalisatrice questionne le sujet fondamental du dualisme face au physicalisme. Il est d'ailleurs surprenant qu'à quelques mois d'intervalle, Coralie Fargeat et Yorgos Lanthimos se soient tous deux attaqué à ce thème peu traité sur grand écran. "You are one" répète la voix secrète. Pourtant, deux corps donnent vie à deux personnes bien distinctes. Il n'y a pas "d'âme", pas d'essence intangible de l'Etre qui traverse les âges et les événements. Nous ne sommes que chair et sang, comme le démontre le film.
    Esthétique car c'est là un vrai bijou de créativité. Coralie Fargeat avait déjà montré un avant-goût de son incroyable talent dans "Revenge". Sa façon de filmer les gros plans, le corps et de mettre en scène la violence étaient déjà remarquables. Elle va encore plus loin dans ce film avec des références appuyées à Stanley Kubrick (l'oeil, les flashs de lumières, le couloir, Ainsi parla Zarathoustra...) mais il y a aussi du Lanthimos et du Gaspard Noé dans l'efficacité de son cinéma.
    Indéniablement, c'est un des grands chocs cinématographiques de l'année 2024 et la confirmation d'une très grande réalisatrice.
    Sébastien Monneret
    Sébastien Monneret

    17 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 novembre 2024
    Ce film ne ressemble à aucun autre ! À la fois transgressif, subversif, artistique, critique, satirique dérangeant, provocateur, violent, sanglant, l’histoire est incroyable et nous plonge dans une intrigue parfaitement maîtrisée.

    Le dénouement est explosif assumant pleinement son Prix du meilleur scénario au dernier festival de Cannes.

    Les actrices sont justes et incarnent merveilleusement leur rôle.

    Merci Coralie, vous sublimez l’art cinématographique.
    S Pbc
    S Pbc

    16 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2024
    Demi Moore, dans un nouveau genre, très assumé, là où on ne l'attend pas, mais toujours grande, belle, si digne et si misérable à la fois, si faiblement humaine. A nue, vraie, magnifique.

    Un Denis Quaid en Harvey, nom de famille Weinstein non évoqué mais évident vu le jeu d'acteur si évocateur et si bien exécuté jusqu'au faciès du personnage.

    Deux acteurs, deux personnages qui sont finalement les seuls dans ce film, les autres ne sont que du plastic : beaux, belles, pour ceux qu l'on "regarde", les autres n'étant que figurants et invisibles mais c'est bien ça le coup de génie :

    Deux acteurs, qu'on ne voit plus mais dont on se souvient, Demi et Denis remis sur le devant de la scène et qui font en fait la seule "substance" du film. Deux come back réussi d'autant plus qu'ils desservent le vrai sujet du film : L'oubli des êtres profonds et l'artificialisation de notre monde, le règne de l'image, la mutilation, jusqu'à la folie juste pour nous retrouver devant ce projecteur ou cette caméra (on revoit d'ailleurs dans ce symbôle HAL de 2001, une machine prenant le contrôle du vaisseau, ici de notre monde). Deux antagonistes :
    Lui, Harvey, coupable et responsable des bases de ce système de plastification des femmes, du physique, de l'artificiel visuel plus en général.
    Elle, humaine, soumise à ce système, complice malheureusement de fait par faiblesse, qui lui jèterait la pierre ? Tant et tant que la folie mentale et corporelle la gagne et la rend monstrueuse. Elle fini là où elle voulait être peut importe dans quel état, sur son étoile, un simple pavé coloré.

    Il y aurait tant à dire. Scénario, photographie, acting, du gore, du sang, des fesses mais peu de sexes, à raison, tou y est. On adore. Bravo et surtout Merci ! Attention certaines scènes sont assez gore
    Enzo Albizzati
    Enzo Albizzati

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 novembre 2024
    Un Cronemberg version wish?
    Du très mauvais loufoque.
    ça commence bien pourtant mais ça part très vite en vrille, j'ai failli partir de la salle, ce qui m'arrive jamais.
    La fin est d'un ridicule ... la tête de Demi Moore qui rampe sur une espèce de méduse constituée d'un amas de chaire ensanglantée.
    Mikatchou3
    Mikatchou3

    3 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2024
    Une vedette vieillissante veut revivre la gloire de son passé et pour cela, elle va utiliser une substance qui va faire une modification cellulaire de son ADN.
    Je n'avais aucune attente sur ce film, et heureusement, car ce film est vide.
    Malgré l'idée d'un scénario original, ce film s'essouffle très vite, il est sans tension, inintéressant et je vais même aller plus loin, il fait du mal au cinéma tout simplement.
    Pourtant j'aime le body horror, mais je le trouve très mal utilisé dans The Substance.
    Les scènes se voulant être intéressantes visuellement sont au final de mauvais goût, étonnant vu que c'est une femme à la réalisation.
    Une scène vers la fin du film est totalement pompée sur le film La mouche et à la fin, le monstre est très moche, très mal réalisé.
    Il n'a aucun point positif, il est ultra-long, 2 h 20 , j'ai vu passer le temps
    Je suis désolé pour celles et ceux qui veulent le voir au cinéma, mais il ne mérite pas de payer sa place pour le voir.
    ENVIE DE POISSON
    ENVIE DE POISSON

    6 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2024
    Viscéral
    Bruyant
    Stupide ?
    Le film met en scène un conflit avec soi-même
    Mais rien n'est intérieur dans ce film
    Tout est à la surface
    Le déchirement
    Entre son âge réel
    L'âge et l'apparence que l'on voudrait avoir
    Le propre dégoût de soi
    Le point de vue sur une féminité et une beauté exigée
    Et la réalité
    La réalité qui n'existe pas vraiment dans ce film
    Elle se mélange furieusement avec le moi intérieur d'Elisabeth Sparkle
    Et son moi extérieur
    C'est une allégorie
    Un conte
    Plutôt féministe
    Même si tout le monde peut se reconnaitre
    Dans cet écartèlement entre le moi à la maison et le moi que l'on pense devoir montrer dans la vie publique
    Et la stupidité qui en est liée
    Pourquoi me courber aux exigences du monde extérieur ?
    Et rien d'autre ne semble exister pour cette femme que cette soumission à ce diktat
    La soumission a un homme monstrueux sans once d'humanité
    Et c'est un peu la limite de ce film
    Ce personnage féminin est quand même très bête
    Tellement superficiel
    Difficile de compatir pleinement
    Même si
    Et c'est la force du film
    Il arrive à montrer violemment le tiraillement
    La torture que l'on s'inflige à soi-même
    Pour s'aimer
    S'accepter
    Quand
    Pour s'aimer et s'accepter
    Il faut se sentir aimé et accepté par les autres
    Seelie
    Seelie

    13 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 novembre 2024
    Je ne mets pas zéro ne serait-ce que pour l'idée qui est brillante et pour la réalisation de la 1ere heure
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