AlloCiné
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Votre avis sur The Substance ?
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Chef-d'oeuvre ! Ce film est vraiment drôle et différent de ce qu'on a l'habitude de voir. J'ai adoré. Demi Moore au top de son game.
The substance est, sans aucun doute, l'un des films les plus audacieuse de cette année. C'est un film qui ose tout, le gore grand-guignolesque, la réalisation clippesque, la caricature mais qui n'en oublie pas d'être étrangement émouvant. Film sur la quête de la jeunesse, traitant de la question de l'agisme et du vieillissement des actrices hollywoodiennes, the substance est aussi un film sur le corps de Demi Moore qui s'y met à nu au sens propre comme au sens figuré. Elle est le cœur d'un film qui évoque autant requiem for à dream que la Mouche et se termine sur un bain de sang qui rend hommage à Elephant man qu'à Carrie. L'ensemble secoue, passant habilement d'un registre à l'autre, mêlant la satire au body horror, quitte à parfois frôler le too much. Parfois dérangeant dans sa manière de filmer des corps mutilés, The substance est un film fou, foutraque et jusqu'au boutiste, une proposition de cinéma de genre particulièrement stimulante.
Un film qui a fait grand bruit au festival de Cannes 2024. Et après visionnage je comprends largement pourquoi.
Pourtant la première partie du film est largement supportable. A se demander si on nous avait pas mentis sur la marchandise.
Mais la seconde partie met tout le monde d'accord jusqu'à un climax très éprouvant même pour les habitués de film d'horreur.
Coralie Fargeat filme avec maestria la déchéance physique de son personnage principale et, au passage tacle l'industrie hollywoodienne sans aucune demie mesure.
Demi Moore tient ici uns de ses rôles les plus marquants de sa carrière. Margaret Qualley est également exceptionnelle. Je m'avance peut être mais les 2 actrices ont largement leurs places pour les Oscars 2025.
Un long métrage maîtrisé et malaisant qui puise et assume ses inspirations (Shining, La Mouche). Un très bon cru glauque et malsaint mais non moins fascinant. Et signé d'une réalisatrice française s'il vous plaît.
Pourtant la première partie du film est largement supportable. A se demander si on nous avait pas mentis sur la marchandise.
Mais la seconde partie met tout le monde d'accord jusqu'à un climax très éprouvant même pour les habitués de film d'horreur.
Coralie Fargeat filme avec maestria la déchéance physique de son personnage principale et, au passage tacle l'industrie hollywoodienne sans aucune demie mesure.
Demi Moore tient ici uns de ses rôles les plus marquants de sa carrière. Margaret Qualley est également exceptionnelle. Je m'avance peut être mais les 2 actrices ont largement leurs places pour les Oscars 2025.
Un long métrage maîtrisé et malaisant qui puise et assume ses inspirations (Shining, La Mouche). Un très bon cru glauque et malsaint mais non moins fascinant. Et signé d'une réalisatrice française s'il vous plaît.
Une troublante satyre du monde de la perfection, ou tout est et doit absolument etre beau. C'est original, avec des belles images très esthétiques !
Le scénario est bien trouvé mais ce film aurait été beaucoup plus apprécié sans toutes ces scènes gores et féroces qui n'apportent rien et qui sont grossières, on en rigole mais à la longue c'est pesant. Sinon le fond donner la meilleure version de soi même, ne pas se plier aux exigences de la beauté, accepter le vieillissement..... Tout est dit...... Vouloir rester jeune pour plaire à tout prix.......
Bon, pour être totalement honnête, je suis assez déçu du rendu final surtout après toute la hype qu'il y a eu autour du film. Ok, les visuellement c'est assez impressionnante tout comme les effets spéciaux qui sont réussis. La bande originale est en accord totale et on a le droit même à plusieurs référence du cinéma tout du long. Cependant, pour le reste, c'est du gâchis selon moi. Les actrices/acteurs ne sont pas au niveau j'ai trouvé, après ça va peut-être avec le style d'histoire. Le scénario n'a ni queue ni tête mais le pire dans tout ça, c'est qu'il a eu son prix au Festival de Cannes, c'est assez invraisemblable. Et puis il faut le dire, c'est beaucoup trop long surtout pour un long métrage sans profondeur comme celui ci. Je pense que l'on aurait pu passer à une heure et demie, cela aurait été largement suffisant. Le dénouement n'a rien d'incroyable et au final on se dit "ah oui, tout ça pour ça ?". Donc en bref, je ne dirais pas que c'est un navet mais je m'attendais à tellement mieux que pour moi "The Substance" vaut tout juste la moyenne. 10/20.
Whaou quelle claque.Une touche de THE NEON DEMON ( que j'ai préféré malgré tout car beaucoup de similitudes) , requiem for a dream dans son esthétique, de Carrie pour sa touche parodique jusqu'au bouddhiste, décors d'un vrai shininng, monstres d'un buddy horror movie qui se fait rare de nos jours bref un aura de tout ses chefs d'oeuvre. Performances incroyable pour les deux actrices principales et musique électro pour assommer le spectateur dans sa démesure psychédélique. Une pépite ce film .
Waow le film qui est assurément réussit par Coralie Fargeat qui se veut une critique corrosive et acerbe sur le vieillissement et par là même le culte du corps mais aussi du monde du Show-Biz qui n'est pas épargné !
Le film débute un peu comme dans une réalisation de David Cronenberg et vire carrément vers du Gore "rigolo" dans sa conclusion !
Demi Moore et Margaret Qualley , toutes deux excellentes , s'en donnent à coeur joie dans leurs prestations !
Le film débute un peu comme dans une réalisation de David Cronenberg et vire carrément vers du Gore "rigolo" dans sa conclusion !
Demi Moore et Margaret Qualley , toutes deux excellentes , s'en donnent à coeur joie dans leurs prestations !
« The subtance » raconte l’histoire d’une actrice américaine, Elisabeth Sparkle, qui a plus de cinquante ans (son âge réel ne nous sera jamais donné, mais la barre des cinquante ans est bien connue à Hollywood, comme ailleurs, est sera citée dans le film) et dont le monde semble avoir oublié le nom après les années de gloire au cinéma, des décennies plus tôt. Remerciée par les producteurs de l’émission dans laquelle elle faisait office de coacheuse sportive, à cause de son âge, l’actrice en déclin professionnel fait un début de dépression.
Un inconnu lui propose alors d’essayer un protocole qui lui permettrait de bénéficier d’un corps plus jeune une semaine sur deux.
La consigne est de toujours respecter la limite d’une semaine pour profiter du corps jeune et de bien re basculer dans son corps d’origine une fois celle-ci écoulée.
Voici le pitch du film de Coralie Fargeat.
Il est difficile de parler davantage de l’histoire de ce film sans amputer les futur(es) spectateurs(ices) de l’expérience délirante, trash, et sans limite que sera la projection de « The substance ».
Ceci dit, pour celles et ceux qui veulent en savoir un peu plus sur les enjeux évoqués par la réalisatrice, voici ce qu’on pourrait en dire : jamais un film n’avait abordé la question de l’apparence physique qui se transforme avec l’âge et de la pression intensive auxquelles sont soumises les femmes pour ne jamais vieillir, avec autant d’audace, et de façon aussi frontale.
Si ça vous parle, foncez !
Et pour les cinéphiles : l’expérience sensorielle est en symbiose absolue avec le sujet. Son, lumière, cadrages, photographie, effets spéciaux (maquillage) sont une réussite absolue et rarement atteints aussi bien tous ensemble.
Julia Ducournau était récemment la seule à savoir les orchestrer tous aussi parfaitement.
Alors bien sûr, le film n’est pas exempt de défauts.
Et si j’ai mis 4,5 au lieu du 4 que je pensais attribuer au départ, c’est bien parce que le délire est rarement autant assumé jusqu’au bout. Et que le climax n’a peur de rien.
Un problème scenaristique de fin est ennuyeux, mais je comprends la facilité puisqu’elle permet au climax d’être ce qu’il est : c’est à dire totalement fou.
Vous êtes une belle fille, souriez jusqu’à en exploser.
Un inconnu lui propose alors d’essayer un protocole qui lui permettrait de bénéficier d’un corps plus jeune une semaine sur deux.
La consigne est de toujours respecter la limite d’une semaine pour profiter du corps jeune et de bien re basculer dans son corps d’origine une fois celle-ci écoulée.
Voici le pitch du film de Coralie Fargeat.
Il est difficile de parler davantage de l’histoire de ce film sans amputer les futur(es) spectateurs(ices) de l’expérience délirante, trash, et sans limite que sera la projection de « The substance ».
Ceci dit, pour celles et ceux qui veulent en savoir un peu plus sur les enjeux évoqués par la réalisatrice, voici ce qu’on pourrait en dire : jamais un film n’avait abordé la question de l’apparence physique qui se transforme avec l’âge et de la pression intensive auxquelles sont soumises les femmes pour ne jamais vieillir, avec autant d’audace, et de façon aussi frontale.
Si ça vous parle, foncez !
Et pour les cinéphiles : l’expérience sensorielle est en symbiose absolue avec le sujet. Son, lumière, cadrages, photographie, effets spéciaux (maquillage) sont une réussite absolue et rarement atteints aussi bien tous ensemble.
Julia Ducournau était récemment la seule à savoir les orchestrer tous aussi parfaitement.
Alors bien sûr, le film n’est pas exempt de défauts.
Et si j’ai mis 4,5 au lieu du 4 que je pensais attribuer au départ, c’est bien parce que le délire est rarement autant assumé jusqu’au bout. Et que le climax n’a peur de rien.
Un problème scenaristique de fin est ennuyeux, mais je comprends la facilité puisqu’elle permet au climax d’être ce qu’il est : c’est à dire totalement fou.
Vous êtes une belle fille, souriez jusqu’à en exploser.
Extraordinaire. J'ai adoré. Que de rebondissements le film monte en puissance de façon particulièrement efficace. Foncez le voir c'est une expérience cinématographique .
#TheSubstance nous plonge dans un body horror sur la haine de soi et l’addiction que cela peut entraîner.
Demi Moore est fantastique et fait figure de favorite pour l’Oscar.
@coraliefargeat assume son propos jusqu’au bout et nous offre une vraie expérience de cinéma.
Demi Moore est fantastique et fait figure de favorite pour l’Oscar.
@coraliefargeat assume son propos jusqu’au bout et nous offre une vraie expérience de cinéma.
C'est jouissif. C'est gore, c'est drôle et c'est féministe. L'antithèse de Barbie et mon dieu que ça fait du bien. C'est bourré de référence au cinéma de genre. Demi moore est incroyable. Un chef d'œuvre du genre
Un producteur de télé de 60 ans décide qu’une ex-actrice de 50 ans devenue prof d’aérobic est trop vieille pour continuer son émission. Grâce à un produit révolutionnaire elle devient la meilleure version d’elle même et la nouvelle star du petit écran. La réalisatrice française signe aux Etats-Unis, directement dans la matrice de ce qu’elle dénonce un brûlot punk et féministe sur la dictature de la beauté et l’illusion marketing de la jeunesse éternelle. Un condensé de toutes ses références, quasiment chaque plan est un hommage à un film avec une dernière scène cathartique absolument dingue qui est une sorte de doigt d’honneur ou de larsen final. Plus qu’un excellent film de genre, un excellent film tout court.
De loin l’expérience cinématographique la plus intense, malaisante et jouissive que j’ai vécue depuis longtemps ! Tout est complètement dingue dans ce film dont on ne sait pas où il va nous emmener si ce n’est vers le pire, et ce sera encore bien en dessous de l’imagination délirante de son autrice . Et aussi et avant tout un choc esthétique. Âmes sensibles s’abstenir et tous les autres, courez -y !
Coralie Fargeat ne fait aucune concession dans la virulence de son propos féministe : l'injonction à la jeunesse et la beauté imposé aux femmes, y compris à Hollywood sont mises en charpie . Le film est radical et d'une violence extrême mais terriblement pertinent dans le message qu'il véhicule. Ne comptez pas passer une soirée tranquille, on ressort de la séance profondément chamboulé par l'expérience que l'on vient de vivre. Demi Moore livre une performance magistrale. Du très grand cinéma, à voir absolument.
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