Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
39 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
POUR - Film politique, coup de force féministe jusqu’au-boutiste, monstrueux, décapant et régénérant, il est sans conteste l’un des meilleurs « body horror movie » de ces trente dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
Brillant, transgressif, mais aussi drôlissime.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec ses décors superbes, son interprétation remarquable, sa photo et ses effets spéciaux de grande classe, "The Substance" réunit tous les atouts pour séduire les amateurs du film de genre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par David Ezan
Pour Coralie Fargeat, cela revient aussi à ne rien céder sur ses propres désirs de cinéaste ; à tendre ce fil jusqu’au bout d’un dernier plan inoubliable d’audace et de dérision, point final d’une expérience tout sauf interchangeable.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce film d'horreur déploie une férocité, une lucidité, une audace et une radicalité résolument jubilatoires.
Le Parisien
par Catherine Balle
Avec ce film très drôle, jouissif et à la réalisation léchée, Coralie Fargeat porte aussi un discours percutant sur la quête de l’éternelle jeunesse. On adore sa folie et celle de Demi Moore, qui a accepté ce rôle avec panache.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film hors norme et gigantesque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Si ce conte met particulièrement mal à l’aise, c’est surtout grâce à l’interprétation perturbante à souhait et sans concession de Demi Moore, qui retrouve ici un véritable grand rôle qui pourrait l’emmener jusqu’aux prochains Oscars.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
CNews
par La rédaction
Un film gore absolument jouissif, un défouloir qui ne manque pas d’humour (noir) face auquel il est impossible de rester insensible.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La générosité du film déborde un peu mais, décomplexée par rapport aux totems du cinéma gore, Fargeat crée de nouvelles images et assume un cinéma d’auteur et de divertissement qui éclabousse l’écran. Bravo.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Corentin Lê
Avec cette fable sur le vieillissement et l’injonction à la beauté qu’il ne faut sans aucun doute pas trop prendre au sérieux, Fargeat fait du déséquilibre un principe moteur, en suivant une logique de surenchère ludique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
POUR - À la norme, l’excès, résolument monstrueux, obscène et gratuit, s'oppose alors une puissance de transgression apte à faire surgir l’œuvre. Et c'est la raison pour laquelle "The Substance" apparaît comme un film qui questionne l'assignation sociale imposée à la femme : assignation à celle qui vieillit et doit céder sa place, assignation à celle qui origine les fantasmes et les désirs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Coralie Fargeat devient la nouvelle reine de l’horreur avec "The Substance", où la quête effrénée de la beauté éternelle amène à un cauchemar de body horror sans limites incroyablement porté par le duo Demi Moore-Margaret Qualley.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Konbini
par Arthur Cios
Sorte de métaphore étirée devenue cauchemar sur le contrôle du corps des femmes à Hollywood, Coralie Fargeat offre un festin de gore intelligent et jouissif comme on n’en avait pas vu depuis bien longtemps.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est là qu’il faut aussi rendre hommage à Demi Moore, 61 ans, sex-symbol des années 90 (Ghost, Proposition indécente, Harcèlement, Striptease…). Quasiment dans son propre rôle, offerte comme jamais dans ce qui restera le rôle de sa vie, elle livre une prestation hallucinante de force et d’engagement. Come-back monstrueux !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Avec son esthétique aussi captivante qu’effrayante, ses explosions gore, tantôt écœurantes tantôt comiques, « The Substance », récompensé par le prix du meilleur scénario à Cannes, est une hallucinante aventure à traverser.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Ouest France
par Véronique Escolano
Héritière de Cronenberg, Coralie Fargeat met un coup de pied dans le cinéma de genre (...).
Paris Match
par Yannick Vely
Les citations sont nombreuses, le film un peu long mais impossible de bouder notre plaisir devant ce cinéma-bis qui éclabousse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Coralie Fargeat appuie sur toutes les touches d’un bestiaire cinéphile identifié (au choix : Cronenberg, Carpenter, Verhoeven, de Palma, Peter Jackson première manière...), pour les greffer à sa propre vision d’auteure. Une vision qui l’emmène très loin, jusqu’au bout d’une route sans retour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Marquer les esprits sans modération, s’appuyer sur le fantastique – et parfois le gore – pour y parvenir, la direction choisie ne souffre aucune restriction. Idem pour Demi Moore, stupéfiante dans le rôle principal, jouant – jusqu’à l’outrance, là aussi – de sa nudité, plus librement encore qu’elle l’avait fait jadis le temps de cette photo d’elle enceinte en couverture de Vanity Fair, en 1991.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Julien Rousset
Trash, percutant, passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par M.L.
"The Substance" est non seulement inconfortable et gore à souhait, mais il se paie aussi le luxe d'être engagé contre le jeunisme hollywoodien.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Inconfortable et gore à souhait.
Télérama
par Marie Sauvion
S’il n’y a qu’une idée à l’œuvre, Coralie Fargeat l’exploite jusqu’à la moelle et en tire des visions insensées, d’une indéniable puissance plastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par V.C.
Joyeusement gore et jusqu'au-boutiste, cette satire de l'aliénation esthétique est une réussite.
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
The Substance, prix de scénario à Cannes, c’est un Faust qui s’est ouvert le dos. Dans un placenta aux nuances de Baby Jane et de Fedora, il accouche d’un bébé sanglant abreuvé par le body horror, exposant sa carcasse à la lumière amère d’Andersen et de Dorian Gray.
Diverto
par La Rédaction
The substance permet enfin à Demi Moore de revenir en pleine lumière dans une composition incroyable qu’elle porte comme la croix d’une prise de conscience plus que jamais nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Le Figaro
par É.N.
Coralie Fargeat, qui s'était déjà illustrée dans le brutal avec Revenge, repousse les limites du grand-guignol avec un élan assez communicatif. Elle ne lésine pas sur l'audace et l'hémoglobine. Elles coulent à flots.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Sous son art de la surface un peu clinquant, The Substance fait spectacle d’une angoisse profonde et intimement féminine : la hantise de l’informe, à travers la lutte muette entre la chair des deux actrices : l’une qui se défait, l’autre qui triomphe – et la remplace.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Fargeat pousse tous les potards à fond, sature à mort la bande-son et, si vous êtes prêts et consentants à trente minutes ultimes dans le tambour de la machine à laver, le dernier virage vous électrisera autant qu'un tour de grand huit sous amphétamines. Dans le cas où, au contraire, vous seriez plutôt d'humeur Downton Abbey, un seul conseil : fuyez, pauvres fous !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Dans son second long-métrage, Coralie Fargeat invente une relecture moderne des mythes de Dorian Gray et du Docteur Jekyll. Un spectacle sauvage, intense mais surchargé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Trop à plus d’un titre (trop long, trop gore, trop bas du front, trop vulgaire et grotesque), "The Substance" est aussi un petit brûlot marrant, planté droit dans ses bottes et sa mauvaise humeur, déclinant sans chichis une équation simple et cohérente.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Cédric Delelée
POUR : Beaucoup trop long et maladroit, mais difficile de ne pas saluer une telle volonté d'aller à l'extrême.
Bande à part
par Isabelle Danel
CONTRE - Cette fable pseudo féministe commence très bien : élégance et rapidité, on y croit. Et puis, au bout d’une heure, on a bien compris le côté "Portrait de Dorian Gray" version gore avec corps ouverts et fluides en tous genres. Faut c’qui Faust ! Sauf que rien n’évolue, tout devient répétitif, outrancier.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par François Armand
CONTRE - Sans nul doute, les outrances graphiques, les innovations visuelles, une certaine sophistication et une bonne dose de gore, parties intégrantes du film, sont à même de provoquer des réactions physiques chez le spectateur [...] mais en tendant le leurre du jamais vu, en cherchant la connivence avec son public, en aspirant à ce point à être de son temps – entre sa thématique et ses citations – elle offre finalement un film déjà un peu dépassé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Luc Chessel
Film «body horror» où Demi Moore incarne un ex-sex symbol droguée à un sérum de jouvence, le second long de la Française Coralie Fargeat sur le vieillissement féminin se révèle laid et anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Misant sur un principe d’efficacité et de gradation dans l’horreur, le film se délecte de la cruauté de son jeu de massacre (...). Comment faire avec le temps qui passe ? Voilà une question à laquelle "The Substance" ne songe jamais.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
CONTRE : On sentait venir l'entourloupe, mais à l'arrivée, The Substance est encore pire que prévu en matière de pétard mouillé.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film d’horreur grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Bande à part
POUR - Film politique, coup de force féministe jusqu’au-boutiste, monstrueux, décapant et régénérant, il est sans conteste l’un des meilleurs « body horror movie » de ces trente dernières années.
Elle
Brillant, transgressif, mais aussi drôlissime.
Franceinfo Culture
Avec ses décors superbes, son interprétation remarquable, sa photo et ses effets spéciaux de grande classe, "The Substance" réunit tous les atouts pour séduire les amateurs du film de genre.
La Septième Obsession
Pour Coralie Fargeat, cela revient aussi à ne rien céder sur ses propres désirs de cinéaste ; à tendre ce fil jusqu’au bout d’un dernier plan inoubliable d’audace et de dérision, point final d’une expérience tout sauf interchangeable.
Le Journal du Dimanche
Ce film d'horreur déploie une férocité, une lucidité, une audace et une radicalité résolument jubilatoires.
Le Parisien
Avec ce film très drôle, jouissif et à la réalisation léchée, Coralie Fargeat porte aussi un discours percutant sur la quête de l’éternelle jeunesse. On adore sa folie et celle de Demi Moore, qui a accepté ce rôle avec panache.
aVoir-aLire.com
Un film hors norme et gigantesque.
Abus de Ciné
Si ce conte met particulièrement mal à l’aise, c’est surtout grâce à l’interprétation perturbante à souhait et sans concession de Demi Moore, qui retrouve ici un véritable grand rôle qui pourrait l’emmener jusqu’aux prochains Oscars.
CNews
Un film gore absolument jouissif, un défouloir qui ne manque pas d’humour (noir) face auquel il est impossible de rester insensible.
CinemaTeaser
La générosité du film déborde un peu mais, décomplexée par rapport aux totems du cinéma gore, Fargeat crée de nouvelles images et assume un cinéma d’auteur et de divertissement qui éclabousse l’écran. Bravo.
Critikat.com
Avec cette fable sur le vieillissement et l’injonction à la beauté qu’il ne faut sans aucun doute pas trop prendre au sérieux, Fargeat fait du déséquilibre un principe moteur, en suivant une logique de surenchère ludique.
Culturopoing.com
POUR - À la norme, l’excès, résolument monstrueux, obscène et gratuit, s'oppose alors une puissance de transgression apte à faire surgir l’œuvre. Et c'est la raison pour laquelle "The Substance" apparaît comme un film qui questionne l'assignation sociale imposée à la femme : assignation à celle qui vieillit et doit céder sa place, assignation à celle qui origine les fantasmes et les désirs.
Ecran Large
Coralie Fargeat devient la nouvelle reine de l’horreur avec "The Substance", où la quête effrénée de la beauté éternelle amène à un cauchemar de body horror sans limites incroyablement porté par le duo Demi Moore-Margaret Qualley.
Konbini
Sorte de métaphore étirée devenue cauchemar sur le contrôle du corps des femmes à Hollywood, Coralie Fargeat offre un festin de gore intelligent et jouissif comme on n’en avait pas vu depuis bien longtemps.
La Voix du Nord
C’est là qu’il faut aussi rendre hommage à Demi Moore, 61 ans, sex-symbol des années 90 (Ghost, Proposition indécente, Harcèlement, Striptease…). Quasiment dans son propre rôle, offerte comme jamais dans ce qui restera le rôle de sa vie, elle livre une prestation hallucinante de force et d’engagement. Come-back monstrueux !
Nice-Matin
Avec son esthétique aussi captivante qu’effrayante, ses explosions gore, tantôt écœurantes tantôt comiques, « The Substance », récompensé par le prix du meilleur scénario à Cannes, est une hallucinante aventure à traverser.
Ouest France
Héritière de Cronenberg, Coralie Fargeat met un coup de pied dans le cinéma de genre (...).
Paris Match
Les citations sont nombreuses, le film un peu long mais impossible de bouder notre plaisir devant ce cinéma-bis qui éclabousse.
Première
Coralie Fargeat appuie sur toutes les touches d’un bestiaire cinéphile identifié (au choix : Cronenberg, Carpenter, Verhoeven, de Palma, Peter Jackson première manière...), pour les greffer à sa propre vision d’auteure. Une vision qui l’emmène très loin, jusqu’au bout d’une route sans retour.
Rolling Stone
Marquer les esprits sans modération, s’appuyer sur le fantastique – et parfois le gore – pour y parvenir, la direction choisie ne souffre aucune restriction. Idem pour Demi Moore, stupéfiante dans le rôle principal, jouant – jusqu’à l’outrance, là aussi – de sa nudité, plus librement encore qu’elle l’avait fait jadis le temps de cette photo d’elle enceinte en couverture de Vanity Fair, en 1991.
Sud Ouest
Trash, percutant, passionnant.
Télé 2 semaines
"The Substance" est non seulement inconfortable et gore à souhait, mais il se paie aussi le luxe d'être engagé contre le jeunisme hollywoodien.
Télé Loisirs
Inconfortable et gore à souhait.
Télérama
S’il n’y a qu’une idée à l’œuvre, Coralie Fargeat l’exploite jusqu’à la moelle et en tire des visions insensées, d’une indéniable puissance plastique.
Voici
Joyeusement gore et jusqu'au-boutiste, cette satire de l'aliénation esthétique est une réussite.
Cahiers du Cinéma
The Substance, prix de scénario à Cannes, c’est un Faust qui s’est ouvert le dos. Dans un placenta aux nuances de Baby Jane et de Fedora, il accouche d’un bébé sanglant abreuvé par le body horror, exposant sa carcasse à la lumière amère d’Andersen et de Dorian Gray.
Diverto
The substance permet enfin à Demi Moore de revenir en pleine lumière dans une composition incroyable qu’elle porte comme la croix d’une prise de conscience plus que jamais nécessaire.
Le Figaro
Coralie Fargeat, qui s'était déjà illustrée dans le brutal avec Revenge, repousse les limites du grand-guignol avec un élan assez communicatif. Elle ne lésine pas sur l'audace et l'hémoglobine. Elles coulent à flots.
Le Monde
Sous son art de la surface un peu clinquant, The Substance fait spectacle d’une angoisse profonde et intimement féminine : la hantise de l’informe, à travers la lutte muette entre la chair des deux actrices : l’une qui se défait, l’autre qui triomphe – et la remplace.
Le Point
Fargeat pousse tous les potards à fond, sature à mort la bande-son et, si vous êtes prêts et consentants à trente minutes ultimes dans le tambour de la machine à laver, le dernier virage vous électrisera autant qu'un tour de grand huit sous amphétamines. Dans le cas où, au contraire, vous seriez plutôt d'humeur Downton Abbey, un seul conseil : fuyez, pauvres fous !
Les Echos
Dans son second long-métrage, Coralie Fargeat invente une relecture moderne des mythes de Dorian Gray et du Docteur Jekyll. Un spectacle sauvage, intense mais surchargé.
Les Fiches du Cinéma
Trop à plus d’un titre (trop long, trop gore, trop bas du front, trop vulgaire et grotesque), "The Substance" est aussi un petit brûlot marrant, planté droit dans ses bottes et sa mauvaise humeur, déclinant sans chichis une équation simple et cohérente.
Mad Movies
POUR : Beaucoup trop long et maladroit, mais difficile de ne pas saluer une telle volonté d'aller à l'extrême.
Bande à part
CONTRE - Cette fable pseudo féministe commence très bien : élégance et rapidité, on y croit. Et puis, au bout d’une heure, on a bien compris le côté "Portrait de Dorian Gray" version gore avec corps ouverts et fluides en tous genres. Faut c’qui Faust ! Sauf que rien n’évolue, tout devient répétitif, outrancier.
Culturopoing.com
CONTRE - Sans nul doute, les outrances graphiques, les innovations visuelles, une certaine sophistication et une bonne dose de gore, parties intégrantes du film, sont à même de provoquer des réactions physiques chez le spectateur [...] mais en tendant le leurre du jamais vu, en cherchant la connivence avec son public, en aspirant à ce point à être de son temps – entre sa thématique et ses citations – elle offre finalement un film déjà un peu dépassé.
Libération
Film «body horror» où Demi Moore incarne un ex-sex symbol droguée à un sérum de jouvence, le second long de la Française Coralie Fargeat sur le vieillissement féminin se révèle laid et anxiogène.
Les Inrockuptibles
Misant sur un principe d’efficacité et de gradation dans l’horreur, le film se délecte de la cruauté de son jeu de massacre (...). Comment faire avec le temps qui passe ? Voilà une question à laquelle "The Substance" ne songe jamais.
Mad Movies
CONTRE : On sentait venir l'entourloupe, mais à l'arrivée, The Substance est encore pire que prévu en matière de pétard mouillé.
Marianne
Un film d’horreur grotesque.