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Supporter du Stade, je suis peu objectif, mais ce documentaire sportif dans la lignée des drive to survive et autres full swing, bénéficie d'une image léchée et d'une immersion peu commune dans les coulisses DU club de rugby!
https://leschroniquesdecliffhanger.com/2022/04/21/le-stade-critique/
Jeu de mains, jeu de toulousains », « jouer nous fera toujours grandir », tels sont les devises d’un club réputé pour la pratique d’un » Rugby total « . Il s’agit bien du jeu à la Toulousaine, qui affirme une identité au club, dans l’exercice de son sport, mais bien au-delà. C’est un peu comme un ensemble de valeurs, dans déjà les fameuses « valeurs de l’Ovalie » (avé l’assent…) Selon Eric Hannezo, un des co-réalisateurs, avec Matthieu Vollaire, l’idée est de se rapprocher le plus possible d’une « véritable immersion ». Ce pari est pleinement réussi dans Le stade. Il y a dans le film une tentative d’ériger le sport comme un art. Si par moment, l’exercice est forcément un peu convenu et ne surprend pas, il n’en demeure pas moins qu’une forme de poésie se dégage de l’ensemble.
Le stade, c’est une expérience de cinéma, un vrai film donc, et c’est aussi et surtout une plongée intime, un plaquage cinématographique, qui n’est pas sans intérêt, dans ses micros-drames et dans une belle humilité qui se déploie. C’est au-delà d’un énième docu sportif, mais ça ne révolutionne pas non plus… comme ce n’était certainement pas l’ambition du projet, ça tombe plutôt bien, et se regarde donc avec plaisir.
Jeu de mains, jeu de toulousains », « jouer nous fera toujours grandir », tels sont les devises d’un club réputé pour la pratique d’un » Rugby total « . Il s’agit bien du jeu à la Toulousaine, qui affirme une identité au club, dans l’exercice de son sport, mais bien au-delà. C’est un peu comme un ensemble de valeurs, dans déjà les fameuses « valeurs de l’Ovalie » (avé l’assent…) Selon Eric Hannezo, un des co-réalisateurs, avec Matthieu Vollaire, l’idée est de se rapprocher le plus possible d’une « véritable immersion ». Ce pari est pleinement réussi dans Le stade. Il y a dans le film une tentative d’ériger le sport comme un art. Si par moment, l’exercice est forcément un peu convenu et ne surprend pas, il n’en demeure pas moins qu’une forme de poésie se dégage de l’ensemble.
Le stade, c’est une expérience de cinéma, un vrai film donc, et c’est aussi et surtout une plongée intime, un plaquage cinématographique, qui n’est pas sans intérêt, dans ses micros-drames et dans une belle humilité qui se déploie. C’est au-delà d’un énième docu sportif, mais ça ne révolutionne pas non plus… comme ce n’était certainement pas l’ambition du projet, ça tombe plutôt bien, et se regarde donc avec plaisir.
Bien décevant. Le parti-pris esthétisant, avec le choix du noir et blanc, est un contre-sens à mes yeux.
Sur le plan du contenu, j'aurais aimé voir plus d'entrainements.
Sur le plan du contenu, j'aurais aimé voir plus d'entrainements.
Enorme. La culture de la gagne dans toute sa splendeur. L'ambivalence entre manque d'humilité et humilité. a voir absolument
Franchement pas mal ! Les séquences sont parfois très courtes, ce qui est dommage, mais le noir et blanc appuie les moments de drames du film.
un documentaire traité façon ciné plutôt réussi dans le genre... Du noir et blanc, des hommes qui vivent pour ce sport, un fort esprit d' équipe et une volonté de gagner inébranlable. Tout le staff et les joueurs donnent cette impression et on en sort motivés même si le sport de haut niveau n' est pas notre adrénaline... Et surtout, on voit ce qui est le plus "touchant" dans ce genre de sport : l' émotion des joueurs...
T-Tiff
Toute personne n'étant pas fan du Stade Toulousain pourra passer son chemin plutôt que de regarder "Le Stade". Ce film documentaire a suivi pendant quasiment un an les joueurs dans leur quête d'un doublé historique Top 14 et Coupe d'Europe, dans une année marquée par le Covid. Le film est donc une succession d'images de vestiaires, étrangement en noir et blanc, avec des musiques à vous exploser les tympans pour donner plus d'ampleur à chacune des victoires. On ne voit pas beaucoup d'images de rugby, il n'y a pas vraiment de narration et de fil conducteur, en bref, il n'y a pas vraiment de cinéma. "Le Stade" n'est franchement pas intéressant.
Juste une suite de scènes genre clip des années 90 avec tous les ingrédients de rigueur :noir et blanc,ralentis,musique de fond...Si vous aimez le rugby inutile de voir ce truc.
Il est plutôt rare de voir du rugby au cinéma. On peut penser à Invictus, qui ne se concentre pas tant sur le sport que sur les tensions raciales et économiques en Afrique du Sud au début des années 1990. Alors, quand est proposé un documentaire axé entièrement sur le rugby, c’est carrément un ovni. Ici, pour le meilleur.
Le Stade débute d’emblée en en mettant plein la vue. Comment ? Tout d’abord par son Noir et Blanc, présent tout au long du film, sublime. Mais aussi par les premières notes de musiques qui ont l’intelligence de ne pas surjouer pour ne pas vampiriser l’action à l’écran. D’ailleurs, lorsque le documentaire débute, on pense s’être trompé de salle et d’être allé voir un film d’épouvante ou un thriller, tellement le cadre, l’image et le son sont soignés. Et c’est assez rare pour un docu. C’est aussi l’intelligence de ses réalisateurs Éric Hannezo et Matthieu Vollaire dont on sent la grande maîtrise. En soit, le duo ne s’est pas moqué des spectateurs.
On suit alors le parcours rude et semé d’embûches du Stade Toulousain sur quelques mois lors de la saison 2020/ 2021 pour réaliser le doublé historique Champion de France - Champion d’Europe. La caméra est au plus près des joueurs, du staff, des entraînements et à accès aux coulisses d’avant et d’après matches qui restent bien trop secrets habituellement. Une vraie plongée immersive dans le quotidien de ces sportifs de haut niveau.
Petit bémol, si vous n’êtes pas fan du club (surtout si vous êtes supporter rochelais), Le Stade, comme son titre l’indique, ne se focalise que sur le club de la Ville rose. Pour un documentaire accès sur le rugby dans sa généralité, il faudra repasser. Malgré tout, qu’on soit supporter ou non de Toulouse, Le Stade dévoile comme rarement des moments intimes et importants de ce milieu. N’hésitez pas alors à faire une petite exception même s’il ne s’agit pas de votre club de cœur.
Aussi, l’enchaînement des séquences, traduisant l’enchaînement rythmé de la saison peut parfois porter à confusion, répétant le même schéma narratif. Il manque aussi peut-être le ressenti des joueurs afin d'ajouter du contexte et de l'émotion. Les discours galvanisants (et parfois très drôles) de l’entraîneur Ugo Mola guident cependant avec efficacité le récit, amenant une touche de sérieux et de folie.
Les réalisateurs sont parvenus à éviter une fin aux envolées lyriques et à rester assez stoïques lors des deux sacres historiques. Même si tout ne va pas dans Le Stade, force est d’admettre que nous avons à faire à un très sérieux et solide documentaire sur le rugby au cinéma. La maîtrise indéniable des réalisateurs en fait un objet passionnant à regarder que l’on soit fan ou pas du Stade Toulousain, mais surtout, pour tous les amoureux et passionnés de rugby.
Le Stade débute d’emblée en en mettant plein la vue. Comment ? Tout d’abord par son Noir et Blanc, présent tout au long du film, sublime. Mais aussi par les premières notes de musiques qui ont l’intelligence de ne pas surjouer pour ne pas vampiriser l’action à l’écran. D’ailleurs, lorsque le documentaire débute, on pense s’être trompé de salle et d’être allé voir un film d’épouvante ou un thriller, tellement le cadre, l’image et le son sont soignés. Et c’est assez rare pour un docu. C’est aussi l’intelligence de ses réalisateurs Éric Hannezo et Matthieu Vollaire dont on sent la grande maîtrise. En soit, le duo ne s’est pas moqué des spectateurs.
On suit alors le parcours rude et semé d’embûches du Stade Toulousain sur quelques mois lors de la saison 2020/ 2021 pour réaliser le doublé historique Champion de France - Champion d’Europe. La caméra est au plus près des joueurs, du staff, des entraînements et à accès aux coulisses d’avant et d’après matches qui restent bien trop secrets habituellement. Une vraie plongée immersive dans le quotidien de ces sportifs de haut niveau.
Petit bémol, si vous n’êtes pas fan du club (surtout si vous êtes supporter rochelais), Le Stade, comme son titre l’indique, ne se focalise que sur le club de la Ville rose. Pour un documentaire accès sur le rugby dans sa généralité, il faudra repasser. Malgré tout, qu’on soit supporter ou non de Toulouse, Le Stade dévoile comme rarement des moments intimes et importants de ce milieu. N’hésitez pas alors à faire une petite exception même s’il ne s’agit pas de votre club de cœur.
Aussi, l’enchaînement des séquences, traduisant l’enchaînement rythmé de la saison peut parfois porter à confusion, répétant le même schéma narratif. Il manque aussi peut-être le ressenti des joueurs afin d'ajouter du contexte et de l'émotion. Les discours galvanisants (et parfois très drôles) de l’entraîneur Ugo Mola guident cependant avec efficacité le récit, amenant une touche de sérieux et de folie.
Les réalisateurs sont parvenus à éviter une fin aux envolées lyriques et à rester assez stoïques lors des deux sacres historiques. Même si tout ne va pas dans Le Stade, force est d’admettre que nous avons à faire à un très sérieux et solide documentaire sur le rugby au cinéma. La maîtrise indéniable des réalisateurs en fait un objet passionnant à regarder que l’on soit fan ou pas du Stade Toulousain, mais surtout, pour tous les amoureux et passionnés de rugby.
Au rugby je regardais une période l'EDF et Toulouse qui proposait du beau jeu comparé à beaucoup qui lançait leur poids lourds pour défoncer l'adversaire...grande mode qui à longtemps été le jeu proposé par le rugby moderne et puis depuis quelques années on revient au base avec du beau jeu faite de feinte,évitement, cadrage débordement etc...et donc cela coïncide donc avec cette envie de voir ce documentaire. Tout en noir et blanc (pour un ton plus sérieux) on suit donc cette équipe au travers des anecdotes de matches mais surtout les coulisses d'avant et après matches, la préparation, les causeries qui restent la partie la plus important ici même plus que les matches en eux même etc...cela donne une saveur particulière . Comment on motive, remotive des joueurs qui ont tout pour être les meilleurs mais ensemble. Comment on va titiller les égaux des uns et des autres et "P..." par-ci "p...."par là...rajouter le contexte du COVID qui donne une saveur (si j'ose dire) particulière à cette saison et puis le fait de battre les même équipe en demi et finale des deux compétitions etc bref bien aimé.
Ce que je pourrais regretter un chouia reste peut être parfois le score des matches qu'on ne sait pas forcément, juste de l'écrire en fond histoire de rajouter à l'exploit mais bon cela aurait été un petit plus. Fan de rugby et de sport c'est fait pour vous!^^
NOTE : 7/10
Ce que je pourrais regretter un chouia reste peut être parfois le score des matches qu'on ne sait pas forcément, juste de l'écrire en fond histoire de rajouter à l'exploit mais bon cela aurait été un petit plus. Fan de rugby et de sport c'est fait pour vous!^^
NOTE : 7/10
Je suis jouer de rugby et supporteur. Malheureusement ce documentaire a été une déception.
Documentaire en noire et blanc, transition entre les parties complètement absente, choix de la musique très douteux, jamais un petit résumé du match ou pire encore les scores.
Des technique de vidéo avec ralenties de très basse qualité....
Il y a vais beaucoup de potentiel.
Documentaire en noire et blanc, transition entre les parties complètement absente, choix de la musique très douteux, jamais un petit résumé du match ou pire encore les scores.
Des technique de vidéo avec ralenties de très basse qualité....
Il y a vais beaucoup de potentiel.
Un documentaire à montrer dans tous les clubs, quelque soit le sport et quelque soit le niveau. Une leçon d'esprit d'équipe et de travail.
Il faut quand même aimer le rugby pour apprécier ce documentaire. Un peu inégal , quelques bon moment d’émotion mais gros reproche de faire ce documentaire en noir et blanc.
Je ressors très déçu du film alors que j'avais hate d'aller le voir
La réalisation ne raconte rien.
Ca manque terriblement de ressentis des joueurs, trop de discours, pas assez de moment de vie, et j'en passe.
la real suit betement la chronologie. Un discours/Un match/Ugo qui parle et voila.
A titre de comparaison, des séries sur le sport comme Last Chance U / Hardknock/ Formula 1 sont de bons exemples.
Éric Hannezo c'est un grand dommage vraiment ! Vous aviez surement la possibilité de faire plus et de faire encore plus vibrer les spectateurs même ceux qui ne sont pas fan du stade.
La réalisation ne raconte rien.
Ca manque terriblement de ressentis des joueurs, trop de discours, pas assez de moment de vie, et j'en passe.
la real suit betement la chronologie. Un discours/Un match/Ugo qui parle et voila.
A titre de comparaison, des séries sur le sport comme Last Chance U / Hardknock/ Formula 1 sont de bons exemples.
Éric Hannezo c'est un grand dommage vraiment ! Vous aviez surement la possibilité de faire plus et de faire encore plus vibrer les spectateurs même ceux qui ne sont pas fan du stade.
Un documentaire, c'est une histoire.
Là, c'est un best of des citations d'avant match.
Tourné en noir et blanc avec un peu de rouge, il fallait pousser le concept a fond, que du noir et rouge.
On ne ressent aucune tension des joueurs, y'as pas l'aventure humaine.
Le rugby, c'est un collectif, une émotion collective, on ne ressent pas la tension du vestiaire.
Le real est mauvais, ça s'enchaîne sans logique, sans réflexion, juste dans la chronologie.
Aucun plan original, genre le pack vu de l'intérieur d'un drone du dessus ou même de moment cocasse qui font partie de la vie d'une équipe. Finalement, c'est aseptisé, on a l'impression d'un groupe sans émotion, sans ressenti, sans vie.
Je pense que la rediffusion des deux finales avec interview aurait été plus passionnante.
Mais j'ai noté un point positif, j'ai réussi un niveau de Candy crush sur lequel je bloquais durant le film
Là, c'est un best of des citations d'avant match.
Tourné en noir et blanc avec un peu de rouge, il fallait pousser le concept a fond, que du noir et rouge.
On ne ressent aucune tension des joueurs, y'as pas l'aventure humaine.
Le rugby, c'est un collectif, une émotion collective, on ne ressent pas la tension du vestiaire.
Le real est mauvais, ça s'enchaîne sans logique, sans réflexion, juste dans la chronologie.
Aucun plan original, genre le pack vu de l'intérieur d'un drone du dessus ou même de moment cocasse qui font partie de la vie d'une équipe. Finalement, c'est aseptisé, on a l'impression d'un groupe sans émotion, sans ressenti, sans vie.
Je pense que la rediffusion des deux finales avec interview aurait été plus passionnante.
Mais j'ai noté un point positif, j'ai réussi un niveau de Candy crush sur lequel je bloquais durant le film
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