Mon compte
    Media Crash - qui a tué le débat public ?
    Note moyenne
    3,9
    216 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Media Crash - qui a tué le débat public ? ?

    26 critiques spectateurs

    5
    8 critiques
    4
    10 critiques
    3
    3 critiques
    2
    3 critiques
    1
    0 critique
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    djskeud
    djskeud

    5 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 juin 2023
    Aucune neutralité et raccourcies grossiers. C'est très dommage car l'objectif était louable. Passez votre chemin.
    Mélany T
    Mélany T

    31 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2022
    Ce qui est évoqué est passionnant, édifiant et le traitement pédagogique. Mais la mise en avant des journalistes qui réalisent me dérange toujours et on aimerait plus d'approfondissement. L'ensemble reste une très belle entrée en matière de la connivence entre médias et milliardaires.
    Valej
    Valej

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2022
    Très bon documentaire, c'est d'intérêt général.
    Le ton du film correspond à la gravité de la situation.
    Leo
    Leo

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2022
    Bien, d'y voir plus clair sur les médias qui nous entourent, les bords politiques de chacun qui influe leurs idées, leurs tendances de pensées. Un peu docu classique au début, le sens et l'intérêt de précise ensuite pour carrément dire ce qui ne se dit pas en général. Bien de voir ça, avant de confirmer son choix pour Mélenchon aux élections legislatives. Il n'y a qu'un bord, du socialisme au communisme pour avoir des idées humanistes et tolérantes, et des lois en conséquence, c'est la parti qui prime au delà des personnes qui le représente. Vive les médias libre, sinon ce serait la dictature d'une seule pensée dite comme celle a suivre. Défendons une presse libre.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2022
    Luc Hermann, codirigeant de l’agence "Premières Lignes", une société de production spécialisée dans le journalisme d’investigation notamment productrice de "Cash Investigation" sur France 2, et Valentine Oberti, journaliste à Mediapart passée par "Cash Investigation" ou "Quotidien" sur Canal, ont réalisé en quelques mois à peine ce documentaire dont la sortie à la mi-février a coïncidé avec les travaux de la commission d’enquête du Sénat sur la concentration des médias.
    Ils y dénoncent le danger que fait peser sur la démocratie la concentration des médias français, de la presse écrite et audiovisuelle, entre les mains de quelques milliardaires.

    Découpé en trois chapitres (les incendiaires, les barbouzes et les complices), le documentaire se présente, au risque de l’éparpillement voire du hors sujet, comme une succession de mini-reportages d’une dizaine de minutes chacun.
    "Media Crash" montre comment les chaines de Vincent Bolloré, C News et D8, ont servi de rampe de lancement aux idées d’extrême-droite et à la campagne d’Eric Zemmour. Il montre aussi les pressions que le milliardaire s’est autorisées sur Le Monde quand le quotidien du soir a publié une enquête dénonçant ses opérations en Afrique.
    De longs développements sont également consacrés à Bernard Arnault, le président de LVMH, et sur la façon dont, avec l’aide de l’ancien patron des RG, Bernard Squarcini, il a en 2013 bâillonné François Ruffin, qui dirigeait à l’époque le journal Fakir et tournait "Merci patron !". Un reportage montre les pressions qu’il exerce sur Tristan Waleckx, un journaliste parti enquêter en Roumanie sur les sous-traitants du maroquinier de luxe.
    Une dernière séquence – dont on peine à comprendre le lien avec le sujet du documentaire – raconte les difficultés rencontrées par Valentine Oberti, accusée de mettre en cause la sécurité nationale, pour enquêter sur les ventes d’armes françaises à l’Arabie saoudite et leur utilisation au Yémen contre des cibles civiles.

    Les faits que "Media Crash" documentent sont choquants. Ils révèlent les dérives que la concentration des médias aux mains de quelques capitaines d’industrie autorise. Pour autant, comme le montre d’ailleurs honnêtement ce documentaire, les pressions exercées par les Bolloré ou Arnault rencontrent des résistances : plusieurs reportages du service public de France Télévisions ont finalement été diffusés sans changement malgré les interventions pressantes visant à les censurer.
    En affirmant « Il y a ce que vous voyez, ce que certains souhaitent que vous voyiez, et ce que vous ne voyez pas », "Media Crash" jette la suspicion sur l’ensemble des médias, encourage la défiance et nourrit le complotisme.
    Laura M.
    Laura M.

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 avril 2022
    Éclairant. Un documentaire à visionner par toutes et tous afin de comprendre les rouages et les enjeux de la diffusion de l'information en France. Il permet de comprendre à quel point nous pouvons être manipulés. Regarder ce documentaire est un petit pas vers l'émancipation de notre opinion. Merci Mediapart, votre travail est fondamental.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2022
    Le documentaire part du constat que 9 milliardaires détiennent 90 % des medias (radios, télés et journaux) en France, activité très rentable et aussi politique, en cachant l’essentiel et grossissant l’accessoire, avec la complaisance des hommes politiques, le grand perdant étant le citoyen. Le film, divisé en 3 chapitres (« Les incendiaires », « Les barbouzes » et « Les complices ») se focalise principalement sur 2 groupes, ceux de Vincent Bollotré (70 ans) et de Bernard Arnault (73 ans). spoiler: Le premier a racheté, via Vivendi, la chaîne de télévision payante Canal+ (entrainant la suppression des émissions, « Les guignols » et « Le zapping ») ainsi que « I-Télévision » (entrainant 35 jours de grève), renommé « CNEWS », où la ligne éditoriale est à droite voire à l’extrême droite, avec comme porte-parole, le journaliste Éric Zemmour. Le rapprochement de la station de radio Europe 1 (détenue par Lagardère dont Bolloré est le 1er actionnaire) avec le groupe Canal+ (qui a déclenché une grève de 5 jours) s’est traduit par une droitisation de sa ligne éditoriale. Nicolas Canteloup en est évincé pour avoir égratigné Vincent Bolloré. Vivendi possède aussi la chaîne de télévision C8 où est diffusée en direct l’émission « Touche pas à mon poste » (TPMP) animée par Cyril Hanouna ; elle attire jusqu’à 1,5 million de téléspectateurs et les ministres s’y précipitent. Elle donne la parole aux opinions d’extrême-droite dans 53 % des cas, suivies de celles des macronistes à 22,5 %.
    Dans le chapitre II, sont montrés des exemples de moyens de pressions, tels la suppression de la publicité et le recours à des agences de surveillance (dirigée par d’anciens fonctionnaires) exercés par les 2 groupes précédents. spoiler: L’agence Havas, du groupe Vivendi, est le 1er publicitaire de France. Le quotidien « Le Monde » et « Mediapart » en ont fait les frais pour avoir enquêté sur les activités du groupe Bolloré en Afrique (déboires ferroviaires, travail de mineurs dans des plantations de palmiers à huile au Cameroun) : suppression de la publicité pour le premier et procès pour le second. L.V.M.H., dirigé par Bernard Arnault et qui possède les journaux quotidiens « Les Échos » et « Le Parisien », a recours aux services de Bernard Squarcini, ancien haut-fonctionnaire (direction centrale du renseignement intérieur). Il intervient lorsque François Ruffin, fondateur et rédacteur en chef de la revue « Fakir » [et qui avait réalisé le documentaire « Merci patron ! » (2015) sur les délocalisations de Bernard Arnault], décide de perturber l’assemblée générale de L.V.M.H. au Carrousel du Louvre le 18 avril 2013. « Fakir » est infiltré et Bernard Squarcini fait appel aux services de l’Etat pour la surveillance de François Ruffin. Cela déclenche une enquête judiciaire et finalement L.V.M.H. accepte de payer une amende de 10 millions € pour arrêter la procédure. Pour François Ruffin, ce n’est pas tant qu’il soit espionné que le recours aux services de l’Etat qui le scandalise. Cela a été relaté dans le « Financial Times » mais pas dans « Les Échos ». Le journaliste Tristan Waleckx a enquêté, pour le magazine « Complément d’enquête » dirigé par Benoit Duquesne, en Roumanie sur une usine de L.V.M.H. fabriquant des sacs Vuitton ; il a été surveillé par Bernard Squarcini avec création de fausses preuves l’impliquant dans la corruption de témoins à Bordeaux (où il n’était pourtant pas présent).
    Le chapitre III aborde la complicité et/ou la complaisance des hommes politiques : spoiler: soutien de Nicolas Sarkozy (lors de sa mise en examen pour avoir reçu de l’argent de Kadhafi pour la campagne présidentielle), par « Le journal du Dimanche », propriété du groupe Lagardère, diffusion sur BFM Télé (du groupe Altice détenu par Patrick Drahi) de l’interview, en 2020, de Ziad Takkieddine, se rétractant sur sa participation aux transferts de fonds libyens, et reprise dans « Paris Match » (Groupe Lagardère et Bolloré). Michèle Marchand, patronne de Bestimage, est mise en examen pour subordination de témoins dans cette rétractation
    . Le documentaire revient sur le rôle joué par Mediapart sur la révélation de la fraude fiscale du ministre délégué du budget, Jérôme Cahuzac et égratigne l’hebdomadaire « Le Point » (qui appartient à François Pinault mais dont les relations entre son rédacteur en chef de l’époque, Franz-Olivier Giesbert et Edwy Plenel sont mauvaises) en raison de son indulgence à l’égard du ministre (article retoqué par Etienne Gernelle). Idem pour la mise en cause de l’état français, via son ministre des armées, Florence Parly, concernant la vente d’armes en Arabie Saoudite et qui aurait servi au Yémen au détriment de populations civiles. Un documentaire, certes à charge mais factuel, qui dénonce l’anesthésie des Français, passant trop de temps devant leur télévision et ne recoupant pas assez les sources d’informations. La presse et les médias constituent un quatrième pouvoir à la condition qu’il soit pluraliste. Il était utile de le rappeler, surtout en campagne électorale présidentielle, même si la majorité de ceux qui iront voir le film, sont déjà convaincus.
    Epiic R.
    Epiic R.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2022
    Un film que tout citoyen français devrait voir avant d'aller voter pour les présidentielles.
    Aucune révolution dans la forme, peu de surprises sur le fond non plus si on est déjà bien informé, mais un film d'utilité publique tant une importante partie de la population se fait endormir par les médias "mainstream".
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    339 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2022
    Ces dix dernières années ont été émaillées d’affaires de pressions de groupes industriels et politiques sur le travail d’investigations de journalistes et de titres de presse.
    Mediapart dont on peut apprécier ou non le travail d’investigation nous livre avec « Media Crash » un solide travail d’enquête organisé en 3 parties distinctes.
    La première partie explore la manière dont les industriels via leurs prises de contrôle dans les médias essayent de remodeler l’opinion.
    L’exemple de Bolloré et Zemmour illustre entre autres cette partie
    La seconde partie explique comment l’intervention des industriels auprès des médias a pour objectif d’empêcher que des affaires sortent.
    Bernard Arnault, Bolloré (encore) sont convoqués au prétoire de la liberté de la presse avec des preuves souvent accablantes (et parfaitement sourcées) et des anecdotes qui font parfois sourire et même rire (des documents bidons produits par les barbouzes de Bolloré et Bernard Arnault) ou froid dans le dos (des officines qui traquent des informations permettant de déstabiliser directement des journalistes). On entend les enregistrements, on parcourt les pièces à conviction qui sont apparues lors de poursuites judiciaires (donc non volées) et cela est assez déstabilisant.
    La dernière partie narre les interventions des politiques auprès des médias pour protéger des personnages de l’état (Jérôme Cahuzac, Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron font partie des exemples utilisés).
    Au final un travail exigeant (Mediapart ne pouvant se permettre d’être pris à défaut) une voix off très bien choisie et le constat que même si les pressions semblent de plus en plus perfides et fortes sur la presse, les affaires arrivent toujours à sortir et la vérité à se frayer un chemin.
    NB : Salle comble et public passionné à l’espace St Michel où le film est diffusé à Paris
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2022
    « Qui a tué le débat public ? » Premières Lignes et Media Part s’alignent pour pondre un documentaire télévisuel dans les temps et donc à l’aube des élections présidentielles, probable tournant crucial dans la vie de citoyens, à qui on redonne du pouvoir. Mais la vérité est dans les coulisses d’une machine huilée et entretenue par une poignée d’individus influents, qui détiennent un monopole conséquent de l’espace médiatique. Il s’agit d’une réalité qui ne surprendra aucun spectateur qui se tiendrait occasionnellement informé de l’actualité. On ne souhaite pas entrer dans un discours complotiste, car les faits peuvent parler d’eux-mêmes. C’est pourquoi, l’œuvre ne constitue aucunement un objet cinématographique, mais plutôt un plaidoyer en faveur de la liberté de presse et en minorité une autopromotion des médias qui ont tiré sur le signal d’alarme.

    Les journalistes et réalisateurs, Valentine Oberti et Luc Hermann, ne sont plus là pour sonder leurs propres lecteurs. En amener un outil aussi documenté sur le grand écran, il est évident que l’approche sera différente, car la problématique initiale ne peut être bouclé au bout du documentaire. Ils font se contenter de chapitrer des arguments, contés avec pédagogie et sous les témoignages de différents acteurs, voire victimes de ce qu’ils nommeront l’incendiaire, à savoir Vincent Bolloré. Sans refaire tout l’article et le parcours opportuniste du milliardaire, on en retiendra la pression qu’il exerce au sein des médias qu’il possède, manipule et censure. Rien de neuf donc. Mais l’appétit de la reconstitution accompagne le spectateur dans un débat qui pourrait lui avoir échappé. Et à juste titre, tout ce qui en découle mérite sans doute une écoute attentive à l’heure actuelle.

    Mais n’est-ce point trop tard ? Le formalisme authentifié de cet outil d’investigation perd rapidement du terrain au fur et à mesure qu’il dévoile ses cartes. La barbouzerie pour Bernard Arnault et la complicité du gouvernement à l’encontre des médias indépendants pourraient former un tout, mais jamais elles ne communiquent étroitement pour justifier bon nombre de débats biaisés. Des experts et autres chercheurs reportent des actes autant condamnables que compréhensibles. C’est sur ce dernier point que toute la tragédie de la désinformation prend de l’ampleur. Cela interpelle le citoyen, non pas à se manifester ou de prendre les armes contre cette puissance si écrasante et imperceptible, mais en l’obligeant à prendre position et à ouvrir les yeux. Bien entendu, malgré quelques images inédites concernant la ministre des Armées, il faudrait avoir esquivé la question pendant un bon moment pour ne pas accepter la première source venue.

    « Media Crash » incite au débat, certes, mais n’apaise pas pour autant la conscience de ceux qui défendent la juste cause du journalisme, jusque dans ses valeurs éthiques. Cela semble être une opération impossible, mais la rectification d’autant d’injustices passe par les clés de l’apprentissage. Ce documentaire ne se donne pas assez les moyens pour aider les citoyens à comprendre l’information, écrite, télévisé ou autres, mais ne le persuader de douter d’une démarche bancale et sous le joug d’actionnaires, nommés et étiquetés à leurs filiales, qui privatisent le temps d’antenne pour des intérêts personnels, au détriment de ceux qui font l’audience. C’est un premier pas à prendre, mais il ne faut pas s’arrêter là ou alors ce sera à la sortie de salle que tout le débat aura été étouffé.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2022
    Documentaire passionnant et très éclairant sur les dangers de la concentration des médias et la liberté de la presse réalisé par les journalistes Valentine Oberti et Luc Hermann. Un film qui explique parfaitement comment les puissants influencent l’information, pour faire émerger des idées politiques, ou pour cacher et protéger des secrets embarrassants. À voir absolument à l’heure où la concentration des médias est plus forte que jamais…
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    7 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2022
    Un documentaire effrayant, effarant, choquant sur le monde des puissants et sur leurs influences dans les médias. Il ne reste plus que quoi...mediapart
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    179 abonnés 2 265 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2022
    Alors que dans certains pays, les médias sont à la solde de l'Etat, en France, 90% des grands médias de la télévision, de la radio et de la presse sont possédés par 9 milliardaires privés qui imposent leur ligne éditoriale de manière directe ou indirecte, par la privation d'encarts publicitaires, par des pressions sur la hiérarchie des journalistes ou par des actions en justice. Cette liberté de la presse, toute relative, est étayée par de nombreux exemples très bien choisis et pour certains totalement passés sous silence dans les médias mainstream. La non distribution de ce documentaire, dans les grands réseaux de salles et son absence de promotion dans les grands médias audiovisuels, viennent compléter le tableau, s'il en était encore besoin (le précédent « Merci Patron! » en 2016 est encore dans toutes les mémoires). Un documentaire très enrichissant intellectuellement. Je pense que chaque citoyen devrait voir ce documentaire (et même le revoir dès que notre esprit critique faiblit) alors que, malheureusement, ses diffusions en salles puis à la télévision devraient rester confidentielles. De même, qu'il faudrait voir ou revoir « Les Nouveaux chiens de garde », tout aussi informatif, sorti 10 ans plus tôt (cf. ma critique sur ce site).
    Oriol
    Oriol

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2022
    Un film très complet, intéressant, simple à comprendre et enrichissant pour comprendre dans quel monde nous vivons. C'est Le film à voir en ce moment.
    Aurelie Toupin
    Aurelie Toupin

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2022
    Un film qui faut voir.
    Que l'on soit d'accord ou non.
    Le but est nous montrer comment les rédactions peuvent traiter des investigations dit "sensible".
    Il montre l'importance du poids de la presse sur notre démocratie et l'importance de la pluralité des opinons.
    J'espère qu'il aura d'autres de documentaires de types car le sujet est très faste.
    Merci aux personnes qui ont travaillé sur ce projet d'une très grande qualité.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top