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Jean christophe S.
2 critiques
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0,5
Publiée le 31 octobre 2024
Venom qui fait a manger, Venom qui joue au Casino, Venom qui fait de la moto.......... Ils n'ont aucun respect pour le vrai Venom de Spider-Man cruel et méchant au point d'en faire une pièce de théâtre risible ? NUL NUL NUL !!!!!!!!!!
Un film d'anti-héros raté, que rien ne peut sauver malgré le charisme de Tom Hardy et quelques scènes distrayantes. Pourvu que ce soit le dernier sous cette forme.
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/11/venom-last-dance-de-kelly-marcel.html
Cette conclusion de la Saga "Venom" , conçu à l'origine comme une trilogie , est moins pire que ce que ne laissait à entendre la Critique Presse et en tout cas mieux que le second Opus "Venom: Let There Be Carnage" ! En somme le film est divertissant avec des effets spéciaux plutôt bien réalisés !
Un opus bien plus honnête que ce ce que laissent présager les avis presse et même spectateurs. Une comédie simple et efficace, qui remplit son contrat sans fulgurance certes mais on n'en demandait pas tant !
J’avais considéré Venom comme un gros pétard mouillé : il se targuait d’être drôle, violent, de ruer dans les brancards d’un univers Marvel frileux et conformiste. En réalité, il se targuait d’être Deadpool mais on était loin du compte (même si une seconde vision m’a rendu le premier des deux films un peu plus sympathique). A l’usage, il ne s’agissait que d’un Marvel de plus, assez banal, souvent bancal, dans lequel Tom Hardy semblait errer, hagard, sans trop comprendre ce qu’il faisait là (alors qu’il y porte plus ou moins la même casquette multirôles que Ryan Reynolds pour Deadpool). Comme son titre l’indique, cet épisode cherche probablement à mettre la franchise au frigo pour quelques temps, précaution prudente alors que le règne des superhéros semble toucher à son terme. J’ai toujours autant de difficultés à me passionner pour un schéma narratif qui ne parvient même pas à dialoguer en surface avec l’esprit de son temps, et encore moins pour la sortie du chapeau d’une insipide entité spatiale omnipotente et millénaire (qu’on a envie d’appeler “Galactus” par commodité)...mais, pour son grand final, ‘Venom : the last dance’ s’est au moins montré capable d’avancer quelques bonnes idées et de faire preuve d’un soupçon d’ambition. L’idée de laisser Venom posséder autre chose que des humains était plutôt sympathique (même si elle reste finalement peu exploitée) et la séquence finale, étonnamment lisible, retrouve à peu près le panache et l’efficacité des “All-Stars Brawls” des meilleures productions Marvel de la dernière décennie. Quelques scènes amusantes viennent parachever la mue humoristique de Venom, abomination anthropophage finalement acquise à l’American way of life. ‘Venom : the last dance’ demeure une production scénaristiquement, esthétiquement et cinématographiquement indigente…mais de cette indigence surgit paradoxalement une certaine satisfaction, celle de regarder un pop-corn movie qui s’assume totalement comme tel, esquive la moraline facile, le militantisme à deux balles et la fausse sophistication narrative des Marvel englués dans leur multivers. C’est peut-être ce vers quoi les blockbusters à super héros qui ne se sentent pas les épaules assez larges pour être autre chose que des séries B en or massif devraient tendre : si, à l’instar de ‘Let there be carnage’ j’oublierai ‘Venom 3’ endéans quelques semaines, au moins n’avais-je pas déjà envie de l’oublier alors que j’étais en train de regarder son climax…
Pour celles et ceux qui me connaissent, vous savez que les films de super-héros/anti-héros, ce n’est pas trop mon délire, et surtout, je n’y connais absolument rien.
Alors, ce Venom 3 m’a-t-il réconcilié avec le genre ?
Et bien, je dois avouer que je n’ai pas passé un mauvais moment, d’autant plus que j’ai vu le film en IMAX 3D, et que les effets spéciaux en mettent vraiment plein la vue. C’est globalement beau et maîtrisé.
(Cette 3D en IMAX révolutionne vraiment le visionnage d’un film en 3D par rapport à un écran classique.)
Au niveau du scénario, rien de transcendant : une histoire assez banale de super-héros, qui ne fait pas vraiment de lien avec les deux précédents opus (que j’avoue avoir oubliés aussi vite que je les ai vus), très cliché nanardesque.
Tom Hardy fait le taff, mais semble plus être un personnage secondaire. D’ailleurs, aucun autre personnage ne se détache vraiment, à commencer par le méchant du film, complètement inutile. La vraie menace réside dans une créature complètement lambda, sans âme et sans personnalité.
Enfin, Venom: The Last Dance porte bien son nom, car il vient clore cette trilogie avec un film qui mise beaucoup sur l’aspect émotionnel et nostalgique.
Venom 3 n’est pas aussi catastrophique que ce que j’ai pu entendre. Notre symbiote, à la fois monstrueux et attachant, dévoile son côté sensible et nous livre sa dernière danse dans un film moyen, mais divertissant.
Venom 3 the last dance, commençons par le positif les symbiotes, le casting et que ça "termine" enfin. Négatif le film a duré 1h50 un peu près bah c'était long, les effets numériques pas ouf et "c'est ce que je pense" faire un film seulement parce qu'il y a eu une scène poste générique dans le dernier Spider-Man mouais. Par contre mettre Venom et autres symbiotes dans Spider-Man la version animation là oui
Venom: The Last Dance est un film réalisé par Kelly Marcel sorti en 2024. Long métrage ayant pour but de boucler la trilogie bancale qu'est Venom, cette réalisation apporte une conclusion qui restera de triste mémoire tant sa qualité laisse à désirer. Sans essayer de perdre son aspect grand guignolesque, la réalisatrice tente d'insuffler un peu d'humanité et de profondeur à la relation entre Eddie Brock (Tom Hardy, pourquoi ?) et Venom mais les fondations laissées dans les deux premiers films font que cette histoire ne laisse aucune place à l'émotion. Tout est plat, sans saveur, sans consistance, avec des idées déjà vu, un humour grotesque et lourdingue (lspoiler: a première séquence au bar, quelle calamité là où la séquence à Vegas est plus convaincante ), des seconds rôles attendus et sans développements intéressants, une bande son passe-partout typique de ce genre de production, et des acteurs qui n'ont pas l'air d'y croire eux-mêmes. Cette trilogie (et donc sa conclusion) est une franche désillusion, tant le personnage de Venom est inintéressant et ses rapports avec Brock ridicules. A éviter, même pour les fans du genre.
Très bon film on apprend plus sur les symbiotes, petit bémol la fin est triste mais en somme j'ai beaucoup aimé. J'espère que Venom reviendra dans spider man 4
Étant en Suisse j’ai pue le voir en avance, car il est sortie le 24 octobre ici. Bien mieux que le 2 une fin avec du suspense hâte de découvrir la suite.
On a adoré. Un super moment avec de l'humour et de l'action. En tout cas pour moi c'est mon préféré. Après c'est un film d'action et de supers héros n'y allez pas pour phylosopher ou trouver une morale mais jute pour passer un bon moment.
"Venom: The Last Dance" plonge sans hésiter dans une atmosphère sombre et tourmentée, explorant les profondeurs démoniaques de la relation entre Eddie Brock et son symbiote, Venom. Kelly Marcel, à la réalisation, s’empare de cette noirceur pour offrir une expérience visuelle envoûtante, parfois dérangeante, où chaque scène semble baignée dans un climat de folie et de malaise. Tom Hardy, fidèle à lui-même, joue brillamment ce duo en tension constante, incarnant à merveille la dévotion conflictuelle entre Eddie et Venom.
Le film s’aventure dans des territoires à la lisière de l’horreur, en nous immergeant dans un univers oppressant, peuplé de personnages troublants et de scènes d’action brutales, presque grotesques, où les effets spéciaux ajoutent une dimension viscérale à chaque affrontement. Les séquences démoniaques, particulièrement marquantes, rendent cette dernière danse captivante pour les amateurs d’ambiances ténébreuses. Les décors et les effets visuels mettent habilement en valeur cette noirceur, et certains moments laissent une impression aussi intense qu'inquiétante.
Cependant, malgré cette atmosphère unique, le film souffre de quelques faiblesses qui empêchent l’ensemble d’atteindre le niveau espéré. L’intrigue reste en effet un peu trop prévisible, et l’on regrette une certaine répétition dans les thèmes abordés et les scènes d'action, sans réelles nouveautés par rapport aux volets précédents. Bien que l'ambiance soit maîtrisée, le scénario manque de profondeur et peine à explorer pleinement le potentiel dramatique de cette relation torturée.
Objectivement, Venom: The Last Dance propose une expérience divertissante pour les fans de la saga, et il saura séduire ceux qui apprécient l'esthétique sombre et les personnages ambigus. Mais malgré ses qualités visuelles et son ambiance diaboliquement immersive, il laisse un goût mitigé, comme s’il n’avait pas osé aller au bout de sa propre noirceur. Ce dernier chapitre nous offre une balade inquiétante, mais pas tout à fait inoubliable.
Je ne saurais expliqué ce qu'a voulu faire Sony, il y a de tout, dans tous les sens, c'est très moyen. Il y a un énorme potentiel encore gâché, ils auraient mieux fait de continuer à le travailler encore 2 - 3 ans avant de le sortir. Les histoires sont mal développées, les incohérences plus que présentes. Bien dommage pour un héro et un acteur que j'aime énormément !