Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Comment se sortir de l’engrenage du mensonge quand on aime et qu’on veut être aimé(e) ? Victoria Bedos répond à cette question avec tendresse et humour dans une comédie magnifique, « La Plus belle pour aller danser ».
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Samuel Loutaty
Une comédie enjouée et drôle avec une révélation, la toute jeune Brune Moulin.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La scénariste Victoria Bedos passe à la réalisation avec une comédie d’âge tendre, sur un titre emprunté au tube des années 60 de Sylvie Vartan écrit par Aznavour. Le récit d’apprentissage amoureux révèle la jeune Brune Moulin.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Victoria Bedos pourtant ne refait pas La Boum, mais l’autoportrait sensible de la gamine qu’elle a été (...).
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Comédie adolescente à la grenadine que le cinéma tente souvent mais réussit rarement, « La Plus Belle pour aller danser » offre une rampe de lancement à Brune Moulin dans le rôle classique de la fille en costar et livre un astucieux jeu de références.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Entourée de savoureux seconds rôles, la jeune Brune Moulin brille dans des débuts qui annoncent une belle carrière.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Pour son premier film, Victoria Bedos, scénariste de La Famille Bélier, signe une délicieuse comédie sur l’adolescence, ses tourments, et beaucoup plus.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Humour, tendresse et pudeur rythment la première réalisation de Victoria Bedos.
Le Journal du Dimanche
par E.M.
Pour sa première réalisation, la scénariste de La Famille Bélier signe une comédie drôle et touchante portée par Brune Moulin.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Si le film tourne parfois en rond, la séquence chez le psy est aussi drôle que percutante. Et Philippe Katerine, en papa paumé qui s’excuse auprès de la thérapeute d’un désarmant « j’ai pas votre talent », se révèle ultra-touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier De Bruyn
Même si sa mise en scène n’est pas à la hauteur de son scénario inventif, La plus belle pour aller danser, avec son originalité et son énergie, se distingue dans le paysage si souvent désolant de la comédie hexagonale. C’est déjà beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Victoria Bedos signe une comédie emplie de tendresse où il est autant question d’identité que du rapport au père
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Plutôt que l’émotion, c’est le bien-fondé et la générosité qu’on ira chercher dans cette comédie parfaitement dans l’air du temps réalisée par Victoria Bedos.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Cette première réalisation de Victoria Bedos est touchante, mais inaboutie, pour échouer à développer son sujet central - la quête d’identité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par François Léger
Mais La Plus Belle Pour Aller Danser se perd dans des éléments scénaristiques artificiels (la passion de Marie-Luce pour Cioran et Marivaux, pur cliché intello ; le foyer de seniors peuplé de petits vieux adorables…) qui écornent sa crédibilité et sa douce mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Caroline Besse
Avec, autour des jeunes interprètes, une troupe de vieux briscards (Pierre Richard, Guy Marchand, Olivier Saladin…), cette comédie familiale proprette aborde trop superficiellement les questions de genre et d’identité inhérentes à l’adolescence, et ne parvient guère à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par X. L.
Incroyablement lourd dans ses dialogues, affligeant de manichéisme dans l’écriture de ses personnages et jamais fluide dans sa mise en scène, le premier film de la coscénariste de « la Famille Bélier » est plus qu’agaçant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Jo.
La suite se devine, entre jeu de travestissement finalement démasqué, figure paternelle désorientée face aux lubies de sa fille, le tout empaqueté dans un hymne à la différence très convenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Theo Ribeton
Bedos a surtout l’air de ne pas du tout savoir où elle va, dans ce film presque intégralement dysfonctionnel, au rendu à la limite de l’amateurisme et dont on n’est pas totalement certain qu’il fasse exprès de dire ce qu’il dit de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Comment se sortir de l’engrenage du mensonge quand on aime et qu’on veut être aimé(e) ? Victoria Bedos répond à cette question avec tendresse et humour dans une comédie magnifique, « La Plus belle pour aller danser ».
BIBA
Une comédie enjouée et drôle avec une révélation, la toute jeune Brune Moulin.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La scénariste Victoria Bedos passe à la réalisation avec une comédie d’âge tendre, sur un titre emprunté au tube des années 60 de Sylvie Vartan écrit par Aznavour. Le récit d’apprentissage amoureux révèle la jeune Brune Moulin.
Le Dauphiné Libéré
Victoria Bedos pourtant ne refait pas La Boum, mais l’autoportrait sensible de la gamine qu’elle a été (...).
Les Echos
Comédie adolescente à la grenadine que le cinéma tente souvent mais réussit rarement, « La Plus Belle pour aller danser » offre une rampe de lancement à Brune Moulin dans le rôle classique de la fille en costar et livre un astucieux jeu de références.
Télé 2 semaines
Entourée de savoureux seconds rôles, la jeune Brune Moulin brille dans des débuts qui annoncent une belle carrière.
Télé 7 Jours
Pour son premier film, Victoria Bedos, scénariste de La Famille Bélier, signe une délicieuse comédie sur l’adolescence, ses tourments, et beaucoup plus.
Télé Loisirs
Humour, tendresse et pudeur rythment la première réalisation de Victoria Bedos.
Le Journal du Dimanche
Pour sa première réalisation, la scénariste de La Famille Bélier signe une comédie drôle et touchante portée par Brune Moulin.
Le Parisien
Si le film tourne parfois en rond, la séquence chez le psy est aussi drôle que percutante. Et Philippe Katerine, en papa paumé qui s’excuse auprès de la thérapeute d’un désarmant « j’ai pas votre talent », se révèle ultra-touchant.
Marianne
Même si sa mise en scène n’est pas à la hauteur de son scénario inventif, La plus belle pour aller danser, avec son originalité et son énergie, se distingue dans le paysage si souvent désolant de la comédie hexagonale. C’est déjà beaucoup.
Sud Ouest
Victoria Bedos signe une comédie emplie de tendresse où il est autant question d’identité que du rapport au père
La Voix du Nord
Plutôt que l’émotion, c’est le bien-fondé et la générosité qu’on ira chercher dans cette comédie parfaitement dans l’air du temps réalisée par Victoria Bedos.
Les Fiches du Cinéma
Cette première réalisation de Victoria Bedos est touchante, mais inaboutie, pour échouer à développer son sujet central - la quête d’identité.
Première
Mais La Plus Belle Pour Aller Danser se perd dans des éléments scénaristiques artificiels (la passion de Marie-Luce pour Cioran et Marivaux, pur cliché intello ; le foyer de seniors peuplé de petits vieux adorables…) qui écornent sa crédibilité et sa douce mélancolie.
Télérama
Avec, autour des jeunes interprètes, une troupe de vieux briscards (Pierre Richard, Guy Marchand, Olivier Saladin…), cette comédie familiale proprette aborde trop superficiellement les questions de genre et d’identité inhérentes à l’adolescence, et ne parvient guère à convaincre.
L'Obs
Incroyablement lourd dans ses dialogues, affligeant de manichéisme dans l’écriture de ses personnages et jamais fluide dans sa mise en scène, le premier film de la coscénariste de « la Famille Bélier » est plus qu’agaçant.
Le Monde
La suite se devine, entre jeu de travestissement finalement démasqué, figure paternelle désorientée face aux lubies de sa fille, le tout empaqueté dans un hymne à la différence très convenu.
Les Inrockuptibles
Bedos a surtout l’air de ne pas du tout savoir où elle va, dans ce film presque intégralement dysfonctionnel, au rendu à la limite de l’amateurisme et dont on n’est pas totalement certain qu’il fasse exprès de dire ce qu’il dit de son sujet.