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FaRem
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3,0
Publiée le 2 novembre 2024
Dans "La contadora de películas", adapté du roman de Hernán Rivera Letelier, María Margarita raconte l'histoire de sa famille au Chili à partir des années 60. Une vie difficile, mais pas entièrement malheureuse parce qu'ils pouvaient compter les uns sur les autres et s'évader le temps d'un moment grâce au cinéma. Une lettre d'amour au 7e art qui nous transporte dans différents univers pour nous faire oublier tous nos soucis. De nombreux films sont projetés et María Margarita est chargée de les rejouer grâce à son talent pour la narration. Des moments chaleureux dans une bulle loin des soucis du quotidien et des nombreux changements dans le pays. Une première partie intime et attachante qui laisse place à une seconde beaucoup moins convaincante. Je n'ai pas aimé cette urgence dans le récit qui casse l'intimité présente depuis le début avec des éléments forcés ou expédiés même si c'est aussi dû à ce que traverse le pays à ce moment-là. Bref, c'est pas mal, mais très inégal.
Sur fond de transformation politique au Chili, The movie teller est une chronique familiale au cœur d'un petit village où le cinéma est source d'évasion. Le récit défile avec ses défis, difficultés ou petits bonheurs mais sans rupture de rythme et sans intensité dans ses personnages. Cette histoire, sur encéphalogramme plat ne passionne pas et ne provoque aucune émotion.
Un story-telling à l'ancienne avec une première partie agréable, mais une suite en accéléré complètement bâclée... A cause de l'avènement de la TV et du coup d'état PINOCHET de 1975, tout s'emballe à l'emporte-pièces. Toute l'empathie dans la mise en place des personnages s'évanouit lentement et disparait. spoiler: La fratrie n'est plus. Le village se meurt. Elle devient femme de ménage...
Heureusement la musique latino avec guitare nous enveloppera jusqu'au bout!
En projection en Arts et Essais donc en version originale, je suis ressorti enthousiasmé par ce film. Le destin tragique d’une famille chilienne dans les années 70 et leur passion pour la séance dominicale de cinéma sont très émouvants . Le casting est impeccable.
Le film est sorti en Belgique. C'est joli, mais les personnages sont tous survolés et malgré l'originalité révélée par le titre sur le personnage principal, peu exploitée, on assiste finalement juste à un mélo un peu à l'ancienne, où tout est attendu.
Vu ce film en Belgique où il est déjà sorti. Un film esthétiquement magnifique, qui mêle l’histoire d’une famille et l’histoire d’un pays. Un très bel hommage au cinéma et au pouvoir des histoires. Daniel Brühl, dans un rôle tout en paradoxes y est excellent. Sara Becker en raconteuse d’histoires y est exceptionnelle.
Très beau film avec de bons acteurs en particulier Sara Becker et Daniel Brühl. Berenice Bejo a un petit rôle. Un histoire inscrite dans celle du pays des 70 '.