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chrisbal
15 abonnés
694 critiques
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2,5
Publiée le 31 mai 2024
"La maleta" est un thriller beaucoup moins intéressant que ceux qu'ont l'habitude de nous proposer les réalisateurs espagnols (Oriol Paulo par exemple). Néanmoins, l'ensemble reste correct malgré les nombreuses invraisemblances et l'interprétation parfois limite des acteurs.
Un polar espagnol sans grande intérêt, assez boursouflé dont on se désintéresse assez rapidement, la faute à un scénario d une grande faiblesse et surtout d un jeu d acteur catastrophique ou les réactions du personnage sont incompréhensibles et surtout proche du ridicule. Il n y a rien à sauver dans ce film ou l on regarde sa montre toutes les minutes qui sont interminables. Un navet.
Je ne comprend pas trop les critiques. Pour moi, c'est un bon thriller comme savent les faire les espagnols. On découvre au fil du sénario ce qui anime le personnage principal. La bande son sert parfaitement le scénario. On aborde aussi un sujet peu courant, la marchandisation du corps des femmes et des enfants nés de la prostitution, le laxisme des institutions..... Bref, personnellement j'ai vraiment apprécié ce film
Lire la critique complète ici : https://doisjelevoir.com/2023/06/04/la-maleta-les-histoires-sombres-qui-se-cachent-derriere-les-objets-perdus/
Dans "La Maleta", un homme recherche la vérité à travers des objets perdus, créant une atmosphère mystérieuse avec des décors sombres et des scènes nocturnes. Le protagoniste déterminé rend sa quête de vérité captivante, mais la seconde partie du film se concentre trop sur l'action, perdant l'aspect fascinant du récit. Le film explore la relation entre les objets et les personnes, mettant en évidence la tendance de la société à traiter les personnes comme des objets. Il aborde des thèmes tels que la souffrance et le rejet, plongeant dans les recoins sombres de l'âme humaine. Le protagoniste Mario est fascinant et mystérieux, suscitant notre curiosité et nous faisant ressentir chaque émotion. La fin du film est déchirante, laissant une forte impression. Álvaro Morte offre une performance captivante, ajoutant une profondeur supplémentaire au personnage, tandis que Verónica Echegui et China Suárez apportent leur charme et de superbes performances à l'histoire.
Mario, est employé dans un bureau d'objets trouvés à Madrid , un jour, la police lui remet une mallette verrouillée, trouvée après le nettoyage d'un canal. Après l'avoir ouverte, le jeune homme trouve un squelette de bébé, accompagné de ses affaires. La police, referme rapidement l'enquête, Mario, se lance alors à la recherche de la mère de cet enfant.
La première partie du film pose le décors d'un film noir. Tous semble réuni : un héros taciturne, qui semble cacher un lourd passé ; des os découverts dans une valise, une ambiance poisseuse, sous la pluie bien que ça se passe en Espagne, femme fatale...
La suite est plus délicate. Peu à peu le film accumule les incohérences. Comment un simple fonctionnaire peut à lui tous seul identifier et démanteler attention spolier spoiler: un réseau de prostitution de luxe, et de trafic d’adoption d'enfant avec l'Argentine.... Certaines scènes notamment d'action en découlant laissant à désirer : On passera sur une filature, puis une course poursuite en plein désert.
Interprétation d'Alvero Morte, le professeur de la CASA DEL PAPEL porte en grande partie le film. Impeccable dans son rôle de petit fonctionnaire renfermé embarqué dans quelque chose qui va peut à peu le dépasser.
Mario mène une vie d’ermite, centrée sur son travail aux Objets trouvés de la ville de Madrid. Un jour on lui ramène une valise rouge abandonnée au fond d’un fleuve. En examinant son contenu, il y découvre les ossements d’un nouveau-né. Face à l’inertie de la police, il décide de mener seul l’enquête.
"La Maleta" est le titre français d’un film espagnol intitulé "Objetos" sorti en Espagne fin 2022 et distribué dans le reste du monde début 2023.
Il s’agit d’un thriller très classique dont la seule originalité, qui en fait l’intérêt, est le métier exercé par son héros. Dans le rôle principal, on retrouve Alvaro Morte, le « professeur » de "La Casa del Papel". Il a pour notre plus grand plaisir quasiment la même barbe, le même regard fou et le même rôle de maniaque obsessionnel.
La première demi-heure est la plus réussie qui campe le personnage, décrit son lieu de travail et pose les bases de la mystérieuse énigme qu’il décide de résoudre. Le reste l’est nettement moins lorsqu’il découvre un réseau de prostituées de luxe opérant dans les grands hôtels madrilènes et cachant un trafic d’enfants. Le pire est atteint dans le dernier tiers du film quand l’action se délocalise en Argentine avant un épilogue à tiroirs, exagérément romanesque dans les neiges du Québec.
Sorti la semaine dernière en salles, "La Maleta" n’y sera probablement plus la semaine prochaine après quinze jours d’exploitation. Si vous le ratez, vous le verrez en VOD. Et si vous ne le regardez pas en VOD, vous ne raterez rien…
l'idée du film est très originale. au fur et à mesure on apprend beaucoup de choses qui nous permet de comprendre le héros. la mise en scène est dynamique même si parfois des situations sont extraordinaires. on.ne s'ennuie jamais devant la volonté inébranlable du personnage principal. l'actrice est très belle.
Une merveille tout est réuni dans ce film, réalisation, jeu d'acteurs, rythme, des paysages à tomber Une intrigue prenante et haletante On est très prêt du chef d'œuvre Coup de cœur à voir sans modération
Mario travaille au Bureau des objets trouvés de Madrid et passe le plus clair de son temps à essayer de retrouver les propriétaires des objets qui s’entassent dans son entrepôt. Jusqu’au jour où on lui remet une valise trouvée au fond d’une rivière avec à l’intérieur, des vêtements et des ossements d’enfant. La police n’étant pas convaincue de l’intérêt de mener une enquête, il décide d’élucider le mystère qui entoure cette macabre découverte…
Avant toute chose, il convient de signaler que le titre "La Maleta" s’avère particulièrement ridicule. Pourquoi changer son titre d’origine (en espagnol) "Objetos" par un autre ? Soit on le laisse tel quel soit on le traduit en français, mais de là à le remplacer par un tout autre mot en espagnol, ça n’a aucun sens.
Après une scène d’ouverture très réussie, hélas, la suite ne sera qu’une lente désillusion et le film finira même par se casser la gueule sans jamais réussir à s’en relever. Non seulement le scénario peine à tenir toutes ses promesses mais même les personnages s’avèrent mal écrits. Le personnage principal torturé, la fliquette, la prostituée de luxe, le bad guy qui n’en est pas réellement un, … Bref, très clairement, l’ensemble semble avoir été écrit à la truelle et ce, sans jamais se remettre en question spoiler: (sérieusement, comment un simple fonctionnaire peut se retrouver mêler à un réseau de prostitution de luxe et par la même occasion, à déjouer un trafic de nourrissons entre l’Espagne et l’Argentine ?).
L’absence de crédibilité et travail d’écriture à la ramasse viennent plomber ce thriller invraisemblable.
Un peu lent, mais j'ai été agréablement surprise par l'histoire. Un policier sombre mais prenant. Pas un chef d'œuvre mais on passe un bon moment devant le grand écran !
Les ingrédients sont là – femme fatale, réseau de prostitution et ordure XL –, mais prémâchés par un scénario invraisemblable, un romantisme de pacotille et une mise en scène risible.
Je ne peux même pas donner 2 ** à ce film, qui s'annonçait prometteur, au bout d'une demie-heure, tout est téléphoné, cousu de fil blanc, prévisible, scénario très faible, dialogues sans intérêt Cinématographie ultra ordinaire, bref, à fuir! Ca m'apprendra à ne pas lire de critiques
Personnellement j'ai aimé ce film, ne serait-ce par le sujet du film qu'il ose aborder : la marchandisation de l'enfant, nouvelle Mane de la mafia qui s'est adaptée à l'évolution sociétale. Il y a des moments assez forts, presque dignes d'un James Bond, où le personnage principal, plutôt anti-héros, n'hésite pas à pénétrer l'antre du diable. Scénario plutôt bien ficelé, mise en scène reussie, bien interprété. Le tout en fait un bon film.
Les espagnols ont un goût très sûr pour les polars. Celui-ci est plutôt réussi, simple, efficace et bien joué. D'une enquête assez traditionnelle dans un environnement original (l'Office des objets trouvés), le film dérive vers une quête existentielle. Tant et si bien que le spectateur imaginatif ne peut s'empêcher de s'attendre à un plot twist du style de Fritz Lang dans la Femme au portrait, que plusieurs indices semblent suggérer et qui paraît crédible compte tenu de la culpabilité et de la créativité qui s'attachent au personnage principal. Il n'en sera finalement rien, less is more. On est presque plus près de l'esthétique John Wick. Au final, le film est bien mais du coup pas inoubliable.