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phiphou_1
5 abonnés
38 critiques
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4,5
Publiée le 28 mai 2023
Peu importe que les scènes ne soient pas très vraisemblables, c'est intense et beaucoup mieux filmé et des moments intenses vers lesquels le réalisateur nous conduit sans trembler. C'est noir, mais avec des personnages assez singuliers, qui valent le détour, même si le propos n'est pas nouveau. Un triller, un vrai , à la mode américaine au tournant des 80-90s. A milles lieux de la réflexion intello française qui est encore moins subtile.
On avait tout... dans les 30 min du film Décor suspens genre personnage ambiance... mais dommage ca retombe aussi sec... Pas de frisson ni rien de rien c est plat Ca aurait pu mais non Une scene haletante un scénario qui suit le suspens mais non tjrs pas !! Pas très crédible... pourtant le cinéma espagnol peut se vanter d être bon ... ai fait le déplacement pour la bande annonce qui paraissait prometteuse et aussi pour mr le professeur mais suis mitigée... film banal à voir un dimanche de pluie ds son canapé
Je ne sais vraiment pas comment on peut qualifier ce film de thriller. Il n'y a aucune tension, ni émotion. A chaque fois qu'on pense que le film se réveille enfin, il retombe aussitôt. Car ce film est d'un ennui... L'acteur principal est constamment en surjeu, le scénario archi caricatural et le final est grotesque. Ce film est un ratage à éviter.
Quoi de mieux que le Bureau des objets trouvés pour débuter une enquête, en marge de la police, éventuellement, sur le contenu macabre d'une valise, par exemple ? Tous les ingrédients du film noir semblent réunis, de même qu'un héros au passé nécessairement trouble, en attendant une femme qui sera fatale, comme de bien entendu. Le problème est que La Maleta (traduction "française" de Objetos) ne transcende jamais les clichés du genre qu'il utilise et se contente d'un enchaînement de circonstances, plus ou moins tirées par les cheveux, à la remorque d'un personnage principal, certes attachant de par son côté obscur, mais néanmoins agaçant par sa propension à se mêler d'affaires qui ne le regardent pas, ce sans quoi il n'y aurait pas de film, il est vrai. Toute la production espagnole ne franchit pas les Pyrénées et n'y parvient que la crème du cinéma ibérique, les Almodovar, Amenabar, Sorogoyen et consorts, dont le niveau est largement supérieur au long-métrage de Jorge Dorado, cinéaste madrilène dont l'expérience vient surtout de la télévision. La Maleta n'est pas déplaisant à suivre, en dépit d'une mise en scène très terne, eu égard à ses nombreux rebondissements et à son dénouement, classique, mais malin, qui ressemble assez à ce que le cinéma américain proposait dans les années 40 et 50. C'est peut-être ce qui manque le plus au film, à bien y réfléchir, une véritable identité espagnole.
Mario mène une vie d’ermite, centrée sur son travail aux Objets trouvés de la ville de Madrid. Un jour on lui ramène une valise rouge abandonnée au fond d’un fleuve. En examinant son contenu, il y découvre les ossements d’un nouveau-né. Face à l’inertie de la police, il décide de mener seul l’enquête.
"La Maleta" est le titre français d’un film espagnol intitulé "Objetos" sorti en Espagne fin 2022 et distribué dans le reste du monde début 2023.
Il s’agit d’un thriller très classique dont la seule originalité, qui en fait l’intérêt, est le métier exercé par son héros. Dans le rôle principal, on retrouve Alvaro Morte, le « professeur » de "La Casa del Papel". Il a pour notre plus grand plaisir quasiment la même barbe, le même regard fou et le même rôle de maniaque obsessionnel.
La première demi-heure est la plus réussie qui campe le personnage, décrit son lieu de travail et pose les bases de la mystérieuse énigme qu’il décide de résoudre. Le reste l’est nettement moins lorsqu’il découvre un réseau de prostituées de luxe opérant dans les grands hôtels madrilènes et cachant un trafic d’enfants. Le pire est atteint dans le dernier tiers du film quand l’action se délocalise en Argentine avant un épilogue à tiroirs, exagérément romanesque dans les neiges du Québec.
Sorti la semaine dernière en salles, "La Maleta" n’y sera probablement plus la semaine prochaine après quinze jours d’exploitation. Si vous le ratez, vous le verrez en VOD. Et si vous ne le regardez pas en VOD, vous ne raterez rien…
Personnellement j'ai aimé ce film, ne serait-ce par le sujet du film qu'il ose aborder : la marchandisation de l'enfant, nouvelle Mane de la mafia qui s'est adaptée à l'évolution sociétale. Il y a des moments assez forts, presque dignes d'un James Bond, où le personnage principal, plutôt anti-héros, n'hésite pas à pénétrer l'antre du diable. Scénario plutôt bien ficelé, mise en scène reussie, bien interprété. Le tout en fait un bon film.
Au bureau des objets trouvés de Madrid, on y trouve de tout, Mario qui travaille là depuis longtemps est habitué à cela. Quand un jour on lui apporte une mallette retrouvée au fond d'une rivière, et qu'il y découvre à l'intérieur les ossements d'un bébé, son sang ne fait qu'un tour : il va mener l'enquête que la police ne veut pas faire... La première 1/2 heure est assez captivante, posant le décor d'un thriller qui s'annonce palpitant. Puis, peu à peu, les cheminements hasardeux du scénario nous embarquent dans une histoire pas toujours très crédible, et manquant cruellement de force et de fond. Dommage, j'ai pourtant bien aimé la prestation de l'acteur principal Alvaro Morte. Tout juste passable. Site CINEMADOURG.free.fr
Les espagnols ont un goût très sûr pour les polars. Celui-ci est plutôt réussi, simple, efficace et bien joué. D'une enquête assez traditionnelle dans un environnement original (l'Office des objets trouvés), le film dérive vers une quête existentielle. Tant et si bien que le spectateur imaginatif ne peut s'empêcher de s'attendre à un plot twist du style de Fritz Lang dans la Femme au portrait, que plusieurs indices semblent suggérer et qui paraît crédible compte tenu de la culpabilité et de la créativité qui s'attachent au personnage principal. Il n'en sera finalement rien, less is more. On est presque plus près de l'esthétique John Wick. Au final, le film est bien mais du coup pas inoubliable.
Après un début de film honorable grâce à une bonne présentation du personnage principal Mario (Alvaro Morte), solitaire, pugnace dédié à son travail, et de son activité au sein du bureau des objets trouvés de Madrid, véritable capharnaüm, et grâce à une bonne idée de départ, La Maleta à cause d’un scenario plein de facilités et de situations bourrées d’invraisemblances, va vite dévisser en série B plutôt quelconque. Dommage, car les acteurs sont plutôt bons. Cette bonne idée de départ ne suffira donc pas à rendre ce thriller palpitant, loin de là….
Mario travaille au Bureau des objets trouvés de Madrid et passe le plus clair de son temps à essayer de retrouver les propriétaires des objets qui s’entassent dans son entrepôt. Jusqu’au jour où on lui remet une valise trouvée au fond d’une rivière avec à l’intérieur, des vêtements et des ossements d’enfant. La police n’étant pas convaincue de l’intérêt de mener une enquête, il décide d’élucider le mystère qui entoure cette macabre découverte…
Avant toute chose, il convient de signaler que le titre "La Maleta" s’avère particulièrement ridicule. Pourquoi changer son titre d’origine (en espagnol) "Objetos" par un autre ? Soit on le laisse tel quel soit on le traduit en français, mais de là à le remplacer par un tout autre mot en espagnol, ça n’a aucun sens.
Après une scène d’ouverture très réussie, hélas, la suite ne sera qu’une lente désillusion et le film finira même par se casser la gueule sans jamais réussir à s’en relever. Non seulement le scénario peine à tenir toutes ses promesses mais même les personnages s’avèrent mal écrits. Le personnage principal torturé, la fliquette, la prostituée de luxe, le bad guy qui n’en est pas réellement un, … Bref, très clairement, l’ensemble semble avoir été écrit à la truelle et ce, sans jamais se remettre en question spoiler: (sérieusement, comment un simple fonctionnaire peut se retrouver mêler à un réseau de prostitution de luxe et par la même occasion, à déjouer un trafic de nourrissons entre l’Espagne et l’Argentine ?).
L’absence de crédibilité et travail d’écriture à la ramasse viennent plomber ce thriller invraisemblable.
Les ingrédients sont là – femme fatale, réseau de prostitution et ordure XL –, mais prémâchés par un scénario invraisemblable, un romantisme de pacotille et une mise en scène risible.
l'idée du film est très originale. au fur et à mesure on apprend beaucoup de choses qui nous permet de comprendre le héros. la mise en scène est dynamique même si parfois des situations sont extraordinaires. on.ne s'ennuie jamais devant la volonté inébranlable du personnage principal. l'actrice est très belle.