Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Ce film a vieilli, de même que le jeu des acteurs...Mais quelle importance ? A mon avis "Les Sept samouraïs" appartient au patrimoine de l' Humanité : à classer dans les 10 plus grands films de tous les temps...
Une merveille de + à la filmo de Kurosawa, peut-être son meilleur, des acteurs époustouflants, des scènes magnifiques, 3h30 qu'on ne voit pas passer, bref un des plus grands films jamais réalisés
Les sept samouraïs est une référence des films de samouraïs. Excellent, génialissime, magnifique: Ce film fait partie des meilleurs films de tous les temps!!
Chef d'oeuvre, le film est peut-être trop long, voilà pourquoi je ne met pas 4 étoiles. A des années lumières du remake western américian (aah ,ces Ricains...) "Les 7 mercenaires". Pour dire vrai, et je crois que personne ne me contredira, je préfère légèrement Toshiro Mifune en samouraï à Yu Brynner en cowboy. N'est-ce pas, que ça se tient, comme raisonnement. Long, mais grandiose. Si il y avait eu ne serait-ce que une demi-heure en moins, j'aurais mis 4 étoiles. Dommage, mais je ne me lasse pourtant pas de ce film, que je revois néanmoins moins souvent que les autres 'Kurosawa-movies'.
Ce film est, objectivement, un chef d'oeuvre et, subjectivement, mon film préféré. Le scénario est grandiose, l'interprétation est magistrale (Toshiro Mifune (le 7ème samourai) et Takashi Shimura (le chef des samourais), les 2 acteurs fétiches de Kurosawa, en tête; mais aussi les seconds rôles, notamment ce paysan pleutre qu'on retrouve aussi dans la Forteresse Cachée du même Kurosawa) et la mise en scène est absolument formidable. Après Rashomon, c'est grâce à ce film que Kurosawa s'est définitivement imposé en Occident avant de devenir le plus grand réalisateur de tous les temps. Ce film est véritablement un chef d'oeuvre, le plus grand des films des sabres et peut-être du cinéma, et il est intemporel.
Japon, 1652, une bande de brigands pillent les récoltes de pauvre villageois désespérés qui vont devoir faire appel a des Samourais pour assurer leur protection. Kurosawa realise un film dune grande humilité et dune grande sagesse. Decouverte de la culture dun genre en perdition : le film de samourais. 500 000 dollars dépensés pour lépoque, cest un record, aujourdhui ça servirait à peine a payer la caravane de Tom Cruise. Datant de plus de 50 ans, les boeufs diront que le film a pris un gros coup de vieux et quil en presque ridicule. Les autres ( moi, par exemple...) auront un grand respect pour ce mythe cinematographique. Et ce nest pas Tarantino qui me contredira !!!
Le meiileur film de Kurosawa sans doute.En voulant se focaliser sur la psychologie et les bons actes des samourais à leur époque, il réussit ce qu'on pourrait appeler un chef d'oeuvre de l'époque. En plus, le film est long et passionnant et certains acteurs nous offrent de sacrés performances, entre autres, Toshiro Mifune!
Probablement l'uvre la plus réputée de Kurosawa, LES SEPT SAMOURAÏS ne vaut toutefois pas un RASHOMON; la faute à quelques longueurs relativement importantes entachant un récit pourtant formidable, mais qui s'étend tout de même sur plus de trois heures, explication tout à fait plausible de ces temps morts et chutes de rythme hélas difficilement négligeables et surgissant çà et là alors qu'on ne les attendait pas forcément. On peut, certes, y discerner une volonté de dépeindre, entre deux scènes d'action ou de divertissement, le quotidien miséreux des paysans japonais de l'époque, victimes des pillages de bandits, tout en s'attardant avec insistance sur l'élaboration des plans d'attaques des samouraïs afin de protéger les villageois des malfrats, mais une poignée de temps morts, de dialogues pas toujours passionnants, de fausses alertes et d'étirements contemplatifs de situations s'y adjoignent également, au risque de rendre l'ensemble parfois rébarbatif. L'ampleur éblouissante de la mise en scène, le formidable jeu de Mifune, la beauté des paysages et les séquences de batailles couronnant le dernier quart du film éclipsent cependant ces défauts mineurs. À propos du dernier point fort cité, il est bon de se rappeler que Kurosawa fait preuve d'un sens du découpage novateur et pas peu digne d'éloges pour leur mise en image, filmant par ailleurs de très près afin que le spectateur s'implique le plus possible dans l'action; le cinéaste a su imposer dans ces instants en question un souffle épique à son métrage dont le dynamisme et la maestria ne sont depuis déjà bien longtemps plus à prouver. LES SEPT SAMOURAÏS conjugue pourtant l'ensemble des particularités de Kurosawa: le souci de la perfection technique, l'héroïsme, le respect des traditions originelles, les petites notes d'humour burlesque ou tendre, la théatralité, les envolées lyriques et la richesse de la narration. C'est principalement pourquoi il figure dans la boîte des uvres indispensables du sensei.