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    La Nuit du 12
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    Réglisse
    Réglisse

    9 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2022
    Enquête lente, longue, suivie à travers les yeux d'un duo d'enquêteurs, un qui débute, l'autre qui est au bout et à bout. Mention spéciale à Pierre Lottin (filsTuche) à qui on voudrait bien mettre quelques petites claques.
    missfanfan
    missfanfan

    93 abonnés 851 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 août 2022
    Ouah ou quelle claque ce film est une pure merveille dans tous les sens du terme , l'histoire est très prenante et que dire des acteurs , je ne connaissais pas Bastien Bouillon belle découverte quant à Bouli Laners je le kiffe depuis ses début il est éblouissant, il porte le film sur ses épaules bravo , et aussi à Dominique Moll pour avoir su se renouveler bravo
    Clément S.
    Clément S.

    3 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2022
    Intriguant, Passionnant, une enquête dont on sait dès le départ qu'elle ne sera pas résolu et qui va nous permettre d'observer au fil des suspects et des pistes, l'état mental de certain s'effriter et l'obsession d'autres prendre de plus en plus de poids.

    Porté par un très bon casting, c'est à voir!
    Jean-Jacques Altman
    Jean-Jacques Altman

    1 abonné 46 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juillet 2022
    La nuit du 12 par Dingo de Cinoche
    Dominik Moll a réalisé beaucoup de bons films. Dans Harry, un ami qui vous veut du bien, l'ami tue tout l'entourage de personnes qui n'ont rien demandé. Les escroqueries africaines amoureuses et financières sont illustrées dans Dans Seules les bêtes. Il s'agit de polars mais avec toujours quelque chose en plus dans l'ambiance incroyablement angoissante. Ce n'est pas le cas de ce cold case, on reste sur sa faim dans une intrigue inspirée comme d'habitude de faits réels et où l'ajout est la devenue banale description des problèmes existentiels des flics en particulier familiaux et sentimentaux. Pas si bien interprété non plus. Très bonne critique néanmoins des spécialistes?
    jocky34000
    jocky34000

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 novembre 2022
    spoiler: Je me demande vraiment comment un film sans fin peut obtenir une aussi bonne note... Ne perdez pas votre temps
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    178 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    L'intrigue est basée sur un fait réel décrit dans le livre 18.3 - Une année à la PJ de Pauline Guéna, publié en 2021.
    Le tournage a lieu à l'automne 2021 à Saint-Jean-de-Maurienne et ses environs, notamment Villargondran ainsi qu'à Grenoble, au vélodrome d'Eybens et en région parisienne, où les bureaux de la PJ ont été reconstitués dans un bâtiment abandonné. La scène finale est filmée dans la vallée des Villards et montre les derniers kilomètres vers le col du Glandon, alors même que la voix off de Yohan parle du col de la Croix-de-Fer.
    une affaire non éluciné pour le moment
    Lemaildeml
    Lemaildeml

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mai 2024
    Aucun véritable rythme. Que des longueurs.
    Un film dont le seul message est de dire. La victime est une femme, c'est la faute des hommes.
    Et la bien pensance va considérer que ce navet est un bon film.
    FaRem
    FaRem

    8 792 abonnés 9 636 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2023
    Tous coupables, tous innocents... Inspiré du livre "18.3 : Une année à la PJ" de Pauline Guéna, qui a passé un an à la police judiciaire, le film de Dominik Moll reprend le même concept à savoir montrer l'envers du décor et le quotidien de ces flics qui sont comme tout le monde avec des doutes, des craintes et des peurs. Ce qui frappe, c'est le réalisme de chaque scène. Ce n'est pas comme dans les films policiers traditionnels où tout est sérieux pour ajouter de la tension avec également de fausses pistes pour le suspens. Ce n'est pas du tout le cas ici. C'est parfois même assez léger avec des policiers qui se permettent des réflexions. Ce n'est pas déplacé et cela ne veut pas dire qu'ils prennent leur métier à la légère, c'est juste que c'est leur métier et qu'ils sont habitués à ce à quoi ils sont confrontés. Cependant, le film nous dit aussi que chaque enquêteur tombe un jour sur un crime qui le hante. Pour Yohan, c'est ce crime en particulier, celui d'une jeune femme brulée vive en pleine nuit, qui le hante. "La nuit du 12" n'est clairement pas un film policier comme les autres. C'est un film profondément humain avec des personnages souvent impuissants face à l'horreur. C'est remarquablement bien écrit puisque ça soulève de vraies questions et c'est parfaitement incarné. Bref, un polar captivant au message puissant.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2024
    Il y a un air de twin peaks dans ce film d’enquête.
    Les lieux donnent une épaisse certaine à la recherche
    On reste dans les hypothèses mais on est happé dans cette affaire sordide par le talent des interprètes.
    On comprend aussi l’implication et le peu de recul que peuvent avoir les policiers.
    Très bon film.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2022
    Il nous avait déjà convaincu avec « Seules les bêtes », Dominik Moll, à qui l’on doit également « Harry, un ami qui vous veut du bien », ne renonce pas dans sa quête des disparus. S’il s’éloigne du cadre enneigé et hivernale du Causse Méjean, il reste pourtant proche de ces plateaux qui surplombent des hommes et des femmes, qui se trompent dans leur petit monde. En relocalisant son récit sur Grenoble, il se rapproche l’atmosphère souhaitée, proche du rapport de police sordide qui l’a inspiré et qui a été reporté par l’écrivaine Pauline Guena, durant une année à la Police Judiciaire de Versailles. Ce polar ne viendra donc pas déjouer nos attentes autour du scénario, car l’affaire n’est toujours pas résolue. C’est bien autour de l’équipe d’enquêteurs qu’on se plonge, au gré de leurs doutes et de leurs pulsions, humaines après tout.

    On se rapproche ainsi du thriller coréen « Memories of Murder » ou son homologue américain « Zodiac », alors que l’on découvre le corps calciné d’une jeune femme, dont on s’acharnera à évaluer sa fidélité. C’est la préoccupation première de Yohan (Bastien Bouillon), en charge d’une enquête, qui l’emmène vers des parents dévastés et d’autres témoignages plus nuancés. Chaque rencontre est évocatrice d’une nouvelle piste, afin de relancer les enjeux, de rabattre des cartes sur ce potentiel nouveau tueur masculin, qui étoffe la liste des flirts de Clara, qui en a probablement payé le prix. Moll et Guena mettent ainsi le doigt sur les méthodes des interrogatoires, qui dévorent les policiers de l’intérieur et qui en sacrifie les bienfaits d’une vie privée, quasiment hors-champ. Cela n’empêche pas le cinéaste de trouver le ton juste, pour des comédiens qui alimentent la tension au sein du groupe, entre blagues décalées et autres démonstrations d’une voix masculine, qui porte jusque dans ses fantasmes les plus fous et éphémères.

    Yohan ne fait que revivre ces instants, qui l’ont parachuté chef d’équipe et seul responsable d’un crime qui n’a pas trouvé d’issu avec la justice. À la manière qu’il a de tourner en rond pour décompresser, il camoufle également une colère qui la hante, celui de ne pas pouvoir cerner son audience. Il va jusqu’à croiser sa culpabilité avec celui qu’il cherche, mais l’identité de l’assassin n’est qu’un jeu d’interprétation, qui ne cherche pas à responsabilité les choix du spectateur. Le coupable se tient autant debout dans la masse que dans un coin de vidéo trop pixelisé. L’ouverture impeccable est suffisamment puissante pour que l’on s’interroge de tout, quitte à entrer en contradiction avec des codes déontologiques, que le collègue Marceau (Bouli Lanners) peine à contenir. Le duo s’oppose ainsi par leur expérience et leur croyance, abandonnant presque les faits, que l’on ne peut obtenir, faute de subventions manquantes ou d’intérêt pour un crime aussi silencieux que son écho dans la pénombre.

    Revenir sur les lieux d’un crime, c’est donc douter de nos convictions. Dans une affaire qui ne peut aboutir à une conclusion réconfortante, « La Nuit du 12 » soulève bien des conflits internes des hommes et de leur virilité, dans ce monde qui semble leur appartenir et qui les plonge dans la même obscurité de Clara, brûlée par vengeance ? Par simple malveillance ? La complexité du crime est de nature psychologique, qu’on prend un malin plaisir à tordre, à l’image de la violence, que l’on peut assumer, banaliser ou encore redouter. Tout est servi dans le même panier et dans un sens du détail qui convainc, en laissant les clichés derrière soi, jusqu’à ce que la fascination se confonde avec l'obsession.
    circusstar
    circusstar

    140 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2022
    Que s'est t'il passé la nuit du 12 ?
    Un thriller passionnant qui tient en haleine. Le rythme est soutenu. J'ai vraiment aimé.
    konika0
    konika0

    29 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 février 2023
    Il paraît que Demi Moore s’est mariée avec Dominik Moll. Voilà.

    Comme beaucoup, j’avais laissé Dominik Moll il y a bien bien longtemps, pas par choix cependant. Et après de multiples RDV ratés avec La Nuit du 12 l’été dernier, ces Césars m’ont poussé à forcer le destin.

    Dans une station de montagne, une jeune femme est brûlée vive. La PJ de Grenoble est chargée de l’enquête. Celle-ci sera longue, difficile, éprouvante.

    Ça commence fort et c’est peu dire. Et la tension ne redescendra pas. Pour un peu, ce climat tendu pourrait rappeler Fincher ce qui ne serait pas surprenant quand on sait que le réalisateur américain et Dominik Moll ont en commun un vif intérêt pour l’œuvre de Hitchcock. Et comme chez le maître, le mystère est ici entretenu savamment. Mais au-delà du thriller efficace, il y a aussi une dimension sociétale évidente. C’est un film d’aujourd’hui qui traite des violences que subissent les femmes et de ce qu’on appelle maintenant les féminicides. C’est une des forces du film que de montrer sans gros sabots la réalité du phénomène, par l’exemple. Moll, Marchand et Guéna tentent de déconstruire la réflexion autour du meurtre d’une femme, expliquant comment les uns ont facilement tendance à juger la victime autant que le coupable pour trouver une explication plausible. Plausible dans une tête d’homme. C’est l’homme qui tue, c’est l’homme qui juge. Car ici, la question de point de vue est importante et la confrontation avec les amies de la victimes et avec les suspects mâles aide à comprendre comment cette violence est perçue comme banale. Et finalement, le traitement de la question par la société semble être une autre forme de violence. Un deuxième acte de violence à l’encontre de la femme victime. Par chance, les personnages sont finement écrits et à aucun moment ils ne paraissent reposer sur des clichés éculés. Par chance aussi, le décor est réaliste. Ni l’idyllique quartier bourgeois parisien à la décadence chabrolienne, ni la zone de non-droit dans laquelle il est facile de mettre en scène la déviance pour mieux s’en laver les mains. Non. C’est ici, dans ta rue. Cette femme est ta voisine et son meurtrier pourrait être le gentil gars que tu viens de croiser à la boulangerie. Par chance enfin, toutes ces réflexions ne prennent jamais le pas sur l’intrigue et ne viennent jamais dire que cette histoire est un prétexte. A la mise en scène, la sobriété est de mise mais on perçoit très bien la lumière du lieu et le poids du minéral ambiant. Les plans serrés enferment chacun de ces flics dans des songes qui les rongent.

    En clair, une véritable réussite sur tous les plans. Un grand polar. Un grand film sociétal. Un moment fort. Tout à fait conseillé donc.
    notillus
    notillus

    21 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    Il y a des films que l'on ne voudrait pas voir s’arrêter !
    La nuit du 12 en est un.
    Bravo au réalisateur et aux acteurs impeccables.
    Ce très bon polar psychologique, nous tient constamment en haleine de bout en bout.
    Le métier d'enquêteur est certes passionnant mais aussi usant pour les nerfs.
    Les tensions, les espoirs, les désillusions et parfois même le désarroi, accompagnent ces flics tout au long du récit.
    On comprend mieux pourquoi il est difficile de réussir sa vie de flic et sa vie familiale.
    A voir et a revoir.
    Ça tourne
    Ça tourne

    28 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 août 2022
    « La Nuit du 12 » recherche assurément une voie différente des nanars français policiers malheureusement beaucoup trop présents à l’écran. L’intérêt du réalisateur pour les conséquences de l’affaire sur les différents personnages et leur mise en valeur par rapport à l’intrigue en fait assurément un assez bon film. La fin de celui-ci et la non résolution du meurtre renforce d’ailleurs ce dernier caractère. Toutefois, Dominik Moll ne prend pas assez son temps au sein de ce long métrage. On a ainsi la désagréable impression que les minutes passent sans que le réalisateur ne s’attarde sur les éléments les plus importants. Les répercutions psychologiques, bien que présentes tout au long du film, ne sont pas assez mises en lumière de même que le portrait des personnages qui n’est traité qu’en surface. Souvent, on nous rappelle l’importance, ou plutôt l’insignifiance, des rapports dans les différentes affaires traitées par la police. Mais à aucun moment dans le film le réalisateur ne prend le temps de nous faire ressentir la lourdeur bureaucratique du métier ce qui est pour le moins dommage…
    Denis C
    Denis C

    3 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2023
    Au vu des César hier je me dis enfin un bon policier, et pschitt.. déçu car creux, dommage tu t'attends au rebondissement final et non, juste un type qui fait du vélo en extérieur, enfin, tout les problèmes du manque de moyens de la police et la grande retaurique du moment, tous les hommes sont des salauds et tu reste sur ta fin. Heureusement que je n'ais pas payé pour ça. On va attendre l'innocent sur canal ce sera peut-être mieux.
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