Mon compte
    La Nuit du 12
    Note moyenne
    4,0
    9567 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Nuit du 12 ?

    647 critiques spectateurs

    5
    73 critiques
    4
    326 critiques
    3
    117 critiques
    2
    81 critiques
    1
    29 critiques
    0
    21 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Dahrar
    Dahrar

    13 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 septembre 2022
    Des acteurs au talent inégal. Le choix du premier rôle est étonnant tellement cet acteur est lymphatique. La réalisation est plate, tout en champ contre champ, sans inventivité. En sous-texte, le scénario aborde la violence des hommes contre les femmes par des dialogues bateau et gênants.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    173 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 août 2022
    C'est pas mal mais c'est loin d'être extraordinaire ou même passionnant. Pourtant les comédiens sont tous très bons et la première heure est rudement bien menée. Mais le film s'effondre littéralement dans sa dernière partie. Les propos caricaturaux, moralisateurs, assommants tenus par le capitaine gâchent tout. Ce film est à moitié réussi ou à moitié raté, c'est selon...
    Bromston
    Bromston

    3 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    C'est toujours gênant d'avoir une opinion différente... J'ai vu plusieurs films de Dominik Moll, "Harry" bien sûr, mais aussi le méconnu "Intimité" et, récemment, "Seules les bêtes". C'est un excellent réalisateur dont j'appréciais la finesse et qui savait tenir le spectateur en haleine. Là, quelle déception ! Pour faire court, on a droit à un défilé de suspects pendant 2 heures, tous plus clichés les uns que les autres : le "rapper " sorti d'un reportage du Parisien, le "marginal" qui vit dans sa cabane, le "fou" mystérieux-et-inquiétant, etc. L'inspecteur tourne en vélo sur un circuit pour se détendre de tous ces mauvais moments, mais, à la fin du film, il se libère de ses démons pour faire un tour dans la montagne. On est contents pour lui.
    BZFK
    BZFK

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juillet 2022
    La note minimale pour avoir entendu (approximativement) : "elle a été tuée parce que c'était une femme" et "Tous les hommes pourraient être les tueurs de Clara". Donc en 2022, dans la tête des artistes qui "marquent la Croisette", les femmes sont des victimes potentielles, les hommes des assassins potentiels et les flics des abrutis machos racistes - sentence prononcée par le personnage intersectionnel qu'incarne Mouna Soualem. Cette policière est ici le porte-étendard des minorités visibles, et pour en rajouter jusqu'à la nausée, le chef flic nous confie à la fin que "elle a quelque chose en plus". Tout cela est décidément d'une grande finesse. Pas certain que tout le monde s'y retrouve... La bienpensance et l'adhésion totale aux idées dans l'air du temps ne suffisent pas pour faire de bons films.
    On peut aussi regretter l'absence de soin porté aux détails, les scènes de 2016 regorgent d'objets d'aujourd'hui (notamment les voitures derniers modèles, plaquées 2022, mais on s'en fout), et un flic qui dit "décrireriez" au lieu de "décririez", soit pour le faire passer un peu plus pour un con, soit parce que le dialoguiste ne sait pas très bien parler français, dans les deux cas c'est dommage.
    Petitgraindesable
    Petitgraindesable

    18 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    Bof ! Dominik Moll enfonce toutes les portes ouvertes dans l'air du temps. Le féminicide, les moyens réduits de la police et de la justice, les états d'âme des policiers, un petit coup de vie privée. Le féminicide, je le pense, motive les réactions dithyrambiques des critiques presse qui sont pour la plupart du côté de la bien pensance. De là à en faire son meilleur film depuis Harry un ami qui vous veut du bien, les bras m'en tombent. Harry avait une vraie originalité. Il y avait matière à émouvoir, mais c'est raté de ce point vue par manque de subtilité dans la mise en scène comme dans la direction d'acteur. On peut être taiseux et émouvant, on peut aussi être taiseux et chiant. Même le génial Bouli Lanners est moyen, c'est dire. Seule Anouk Grinberg est, comme toujours, parfaite. Je ne vois pas qui pourrait un jour réduire son talent. Les seconds rôle sont plutôt bons dans l'ensemble, mais pas tous.
    eduboisgeoffroy
    eduboisgeoffroy

    43 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2022
    La nuit du 12" est un film qui a la grâce.

    Contrairement à ce que le pitch pourrait laisser penser, ce n'est pas (que) un film d'enquête policière et d'affaire non résolue. Non, c'est un film sur les rapports femmes hommes, sur la violence masculine, sur un monde d'hommes, où les hommes assissent et brûlent vives des femmes et où seuls d'autres hommes sont en charge de les arrêtera, un monde d'où les femmes sont exclues, soit victimes, soit coupables d'aimer la vie et d'aimer aimer.
    Un film admirable, avec des comédiens et comédiennes extraordinaires de finesse et de richesse de jeu et d'humanité. Dominik Moll met en scène et réalise ce cheminement policier au cœur des violences masculines contre les femmes avec une originalité, une maîtrise et une humanité dans sa manière de filmer chacun de ses personnages qui relève du chef d'œuvre.
    Un film admirable et émotionnellement fort, sans pathos. Un film indispensable.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    313 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2022
    C’est une réalisation de Dominik Moll dont le dernier polar Seules Les Bêtes avait été bien reçu par le public et la critique. Cette fois, il va adapter le roman 18.3 - une année à la PJ, de Pauline Guéna. Le scénario a été écrit avec Gilles Marchand (Seules Les Bêtes). La Nuit du 12 a été présenté au Festival de Cannes 2022.

    Chaque année en France, il y a des crimes qui ne sont pas élucidés. Des cas rarement exploités au cinéma. Il est rare d'avoir un film policier sans qu'à la fin, on ne sache pas qui est l'assassin. C'est dans cette optique que La Nuit du 12 va se démarquer. Il est tout de même dommage que dès le début du film, on nous le dise. Un positionnement qui est perturbant. En effet, nous avons l'habitude justement de connaître le meurtrier. Un coup de maître qui a réussi.

    L'enquête va être passionnante. Cela va être du point de vue de la PJ et on aura seulement les informations que les policiers possèdent. Il faudra, avec Yohan, tenter de savoir qui est le coupable de ce crime abject. Forcément, comme lui, on a beaucoup de doutes, de soupçons, mais jamais de certitudes. C'est une manière de faire immersive qui fonctionne parfaitement. On va être pris totalement dans l'entrain de cette enquête. Même si on n’arrive pas à trouver qui est le coupable, on aura forcément des pistes. Rien n'est évident, mais tout pourrait se tenir. C'est un moyen de nous faire comprendre comment tant d’enquêtes peuvent rester non élucides.

    Il y aura aussi un gros travail sur l'ambiance. Le but étant de se projeter dans cette brigade de police judiciaire, il est important de se sentir avec eux. C'est pour cela que des scènes d'équipes viennent agrémenter le récit. Des moments d'intimité qui sont très importants, car ils rajoutent ce sentiment de faire partie de la bande. On explore, brièvement par les dialogues, la vie des policiers. On se rend compte de l'impact du métier sur eux. Au-delà de ça, l'atmosphère va être froide et sombre. Ne pas réussir à trouver le coupable va faire monter un sentiment d'impuissance.

    Si toute cette mise en scène marche, c'est aussi grâce au casting qui est très réussi. Que ce soit le rôle principal de Bastien Bouillon dans la peau du responsable de l’enquête. Un homme plein de certitudes quand il prend son poste, mais que dans l'enquête va transformer son fantôme. Il y a aussi le casting secondaire notamment avec Bouli Lanners. C'est le policier qui est le plus exploré en dehors de Yohan. Il profite de chaque minute à l'écran pour nous impressionner.
    M_wombat
    M_wombat

    12 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2022
    Pourquoi passer un téléfilm sur grand écran? Une réalisation sans surprise, des personnages sans contour et une hantise à peine perceptible sur un vélo qui finit par sortir du vélodrome. Dommage le scénario/histoire aurait mérité mieux
    Offman
    Offman

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juillet 2022
    J'ai beaucoup aimé le début du film, mais le fait que le coupable n'est pas identifié (le film nous dit que c'est un homme car on l'entend parler même si dans le fait divers duquel le film s'inspire on en sait rien) m'a retiré tout engagement pour l'enquête.

    Mais je ne peux que mettre la note minimale à cause du message politique, extrémiste et anti progressiste du film (je parle du vrai progressisme, celui qui tend vers l'égalité et non la fustigation d'un ennemi désigné par son sexe ou sa race). Non les hommes n'ont pas la haine des femmes, non les femmes ne se font pas massacrer dans la rue "parce que ce sont des femmes". On parle d'une extrême minorité de dégénérés là, pas de la moitié de l'humanité. À quel point faut-il être déconnecté de la réalité pour défendre des idées pareilles... Je passe sur le classique "les flics sont racistes" qu'on nous sort à la fin du film, même si c'était gratuit, le film ne traitant pas cette question.

    Je m'attendais tellement mieux après "Harry"... Réveillez vous.
    velocio
    velocio

    1 182 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2022
    Parmi les thrillers, il y a ceux qui se concentrent sur une enquête policière menée pour découvrir le, la ou les coupables d'un crime. Dans ce type de thrillers, il y a ceux où le spectateur est en avance sur la police ou la gendarmerie : il connait très vite le, la ou les coupables alors que la police ou la gendarmerie cherche jusqu'au bout. Il y a ceux où le spectateur est à égalité avec les enquêteurs qui finissent par découvrir le, la ou les coupables. Et puis, il y a ceux, plus rares, où le spectateur est à égalité avec les enquêteurs qui n'arrivent jamais à découvrir le, la ou les coupables. "La nuit du 12" fait partie de cette dernière catégorie. Ce film n'est pas qu'un thriller, par ailleurs passionnant, c'est aussi un état des lieux sur la "misère" des services publics (ici, la police) et, surtout, une réflexion sur la masculinité et sur les rapports entre les hommes et les femmes. On y prend conscience que si "compliqué" est un antonyme de "facile" ce qui laisserait penser que "facile" et "pas compliqué" veulent dire la même chose, eh bien il faut se mettre dans la tête qu'une "fille pas compliquée" n'est pas forcément ce que certains appellent une "fille facile" ! Dans une distribution très solide, Bastien Bouillon et Bouli Lanners sont remarquables dans des rôles de flics de la PJ, mais que dire d'Anouk Grinberg, plus que remarquable (comme d'hab !) dans le rôle d'une juge ?
    Yves G.
    Yves G.

    1 303 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2022
    Le capitaine Yohan Vivès (Bastien Bouillon) vient à peine d’être promu à la tête d’une équipe de la PJ de Grenoble qu’on lui confie le dossier d’un féminicide commis à Saint-Jean de Maurienne : Clara a été brûlée vive au retour d’une soirée entre amis. Avec Marceau (Bouli Lanners), un collègue expérimenté mais aigri, il mène l’enquête. Clara avait eu beaucoup d’amants qui sont passés au crible, se révèlent pour la plupart lâches et vils, mais qui possèdent tous un alibi.

    Dominik Moll a passé l’âge d’être un espoir du cinéma français. À soixante ans passés, sa carrière est derrière lui. En 2000, il faisait sensation avec "Harry, un ami qui vous veut du bien". Mais il ne réussissait jamais à transformer l’essai. On le retrouvait presque vingt ans plus tard avec "Seules les bêtes", un film qui m’a enthousiasmé et que seule ma pusillanimité m’a retenu de lui donner quatre étoiles. La vérité oblige à dire qu’il devait énormément au roman dont il était tiré de Colin Niel.

    Comme "Seules les bêtes", "La Nuit du 12" est tiré d’un livre. Il s’agit d’un essai autobiographique d’une jeune autrice, Pauline Guéna, qui a passé une année en immersion à la PJ de Versailles. De ce livre et d’une solide documentation du métier de policier, Dominik Moll a tiré un récit très charpenté qui pointe l’épuisement d’un service public, rongé jusqu’à l’os par la compression des budgets. Dans un court chapitre, Pauline Guéna évoque brièvement une affaire, le meurtre d’une jeune femme brûlée vive, et l’obsession qu’elle a suscitée chez un des inspecteurs.

    C’est cette obsession qui a inspiré Dominik Moll et son co-scénariste Gilles Marchand. C’est autour d’elle qu’est construit le film remarquablement interprété par Bastien Bouillon qui creuse lentement sa place dans le cinéma français (on l’avait déjà vu dans "Seules les bêtes", "Le Mystère Henri Pick", "La Promesse de l’aube", etc.).

    Mais ce polar prend une envergure inattendue en élargissant son spectre. Comme l’excellent "Laëtitia", le livre magistral que le meurtre sordide de la jeune Laetitia près de Nantes avait inspiré à Ivan Jablonka puis la remarquable mini-série qui en avait été tirée, "La Nuit du 12" part d’un fait divers pour faire le procès du masculinisme. Clara devient le symbole de ces femmes tuées par un machisme toxique, par une veulerie mâle structurée autour de l’exercice de la domination masculine.
    Le propos est puissamment dans l’air du temps. Il frappe fort. Il touche juste.
    norman06
    norman06

    306 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2022
    Très bon polar, à la fois explicatif et laissant des zones de mystère, avec une mise en scène maîtrisée de Dominik Moll. Malgré une ou deux répliques néoféministes maladroites, inutiles au récit, l'ensemble est de haute tenue.
    Max Rss
    Max Rss

    171 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 février 2023
    Un film qui nous annonce d'entrée de jeu que l'enquête qu'il relate reste non élucidée à ce jour ? Et pourquoi pas ? Après tout, à titre de comparaison inverse, dans Columbo, ne savait-on pas dès le début qui était l'assassin ? Mais, quand on opte pour pareil angle d'attaque, il faut sérieusement assurer le coup derrière. C'est-à-dire proposer des investigations dignes de ce nom avec des suspects et surtout des flics en lesquels on peut croire. Or, s'il y a un point sur lequel cette "Nuit du 12" se vautre lamentablement, c'est bien celui-ci. La recherche d'indices, les mises sur écoute et les interrogatoires de potentiels suspects font de la peine à voir tant ils se perdent dans des séquences trois fois trop longues et tant ils sont menés avec une tension bien en-dessous de zéro. Les suspects eux, n'inspirent pas la crainte ne serait-ce qu'une minute. On a plus l'impression de voir des petits marlous de rien du tout juste bons à effrayer les chiens et chats errants du quartier. Quant aux flics...c'est une pure catastrophe. Jamais crédibles non plus. Comment peut-on même avoir le culot de nous faire croire que ces mecs peuvent officier à la Police Judiciaire ? Même dans la série pourrie du même nom, c'était plus convaincant. Ce qui m'amène, fatalement à parler de l'interprétation de la brochette de comédiens (appelons ça comme ça hein...) : une nullité sans nom, Bouli Lanners en tête. Quant à la Juge d'Instruction Beltrame... Quelle horreur. Si pareils Juges d'Instruction existent, il ne faut pas s'étonner que la Justice française dysfonctionne. Bon, maintenant qu'on a passé ça, on va passer à un truc qui m'a gonflé de ouf et j'peux vous dire que là, ça va vraiment chier. Comme nous sommes en 2023, on échappe évidemment pas à une propagande féministe du plus mauvais aloi. Non parce que là-dedans, on entend quand même des trucs absolument révoltants lâchés en toute impunité et applaudis des deux mains par des gens complètement hors-sol et qui n'ont jamais connu le monde plus loin que les frontières du Jardin du Luxembourg. Si on en croit ce film et que l'on considère que ces propos comme parole d'évangile, les femmes se font tuer justement parce qu'elles sont des femmes et que, forcément, chaque femme est une proie potentielle et chaque homme est un prédateur potentiel. De nos jours, dans la tête de l'élite soi-disant intellectuelle, être une femme est forcément synonyme de pureté, de modèle et je ne sais quoi d'autre alors qu'être un homme est automatiquement synonyme d'être une ordure de première. Désolé, mais tenir de pareils propos a un potentiel destructeur terrifiant. Un jour, si les choses continuent sur cette lancée, il y aura recrudescence incontrôlée et incontrôlable d'évènements dramatiques et les imbéciles qui ont soutenu mordicus cette idéologie malsaine devront rendre des comptes. La Nature a créé l'Homme et la Femme avec des différents et des différences certes, mais elle les a aussi créés dans le but qu'ils soient complémentaires. Les soi-disant féministes se trompent totalement de combat. Ce n'est pas en faisant de la femme un modèle de vertu et l'homme un modèle de monstruosité qu'ils arriveront à obtenir la parité. Dans 10 ans (et peut-être même moins que ça), il va se passer des trucs absolument atroces. Rendez vous compte que l'on commence à voir émerger ça et là des commentaires dans lesquels des hommes se sentent honteux d'être des hommes...Je vous en prie, réveillez-vous avant qu'il ne soit trop tard. Et, bien évidemment, comme le film caresse tout ce joli petit monde bienséant et déconnecté du monde réel dans le sens du poil, comment pouvait-on échapper au personnage féminin porte-étendard du wokisme à gros sabots se faisant approuver en toute fin de film ? La suite de l'histoire, nous la connaissons. 6 César raflés dont bien évidemment celui du meilleur film, il faut vraiment que notre cinéma français soit plus que malade pour voir une telle chose être autant récompensée. Quant à "L'Académie" des César, chaque année, elle arrive à se décrédibiliser un peu plus, ça tient du prodige.
    David Mc Cormick
    David Mc Cormick

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 juillet 2022
    Si l’on admet que la critique d’un film commence avec sa bande annonce alors je me permets de donner mon avis sur un film que je ne regarderai jamais. Merci de m’avoir fait économiser du temps et de l’argent en condensant en quelques minutes toutes les niaiseries que l’on entend déjà à longueur de temps dans les médias.
    Pour être sincère je n’ai même pas regardé la bande annonce jusqu’à la fin. J’ai été stoppé net dans mon élan, pourtant curieux de découvrir le dernier film de D.M., par une réplique d’anthologie : « Des femmes sont tuées et ce sont des hommes qui enquêtent. C’est peut-être là qu’il y a un problème »... Comment dire ?.. Je vais vite conseiller à ma femme de changer de gynéco. C’est un homme… comment pourrait-il comprendre l’intimité féminine ? Et puis exigeons que les psys masculins ne reçoivent que des hommes dans leurs cabinets. Donc un film qui véhicule insidieusement ce genre de non-pensées comme si elles méritaient une réflexion approfondie… non merci.
    Jobohunt
    Jobohunt

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 février 2023
    C'est ça le cinéma français ? Acclamé par la critique française ? Un somnifère de 2 heures qui paraissent le double. Lent, plat, vide, où l'on distille ici et là quelques idées de la pensée gauchiste homologuée. Ce n'est pas du cinéma, c'est de la télé. De la très mauvaise télé. Immonde.
    Récompensé par les Césars. La vitrine du cinéma français. Mon dieu. Et la critique qui ose comparer ce métrage de cours d'école avec Zodiac de Fincher...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top