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Le dernier-né de Dominik Moll, La Nuit du 12, revisite adroitement le polar en étant un plaidoyer vif contre la violence faite aux femmes. À voir absolument.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Mettant sur le gril six jeunes suspects [...], l'enquête importe finalement moins comme pur récit policier que comme véhicule permettant à Dominik Moll de faire le portrait lucide d'une toxicité masculine malheureusement inscrite dans les gènes de nos sociétés influencées par une idéologie patriarcale particulièrement tenace.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La mise en scène, réaliste et d’une précision chirurgicale, détaille les différentes étapes de la procédure dans un climat plombé par les fausses pistes. Tout en esquissant le portrait de flics hantés, joués par Bastien Bouillon et Bouli Lanners, exceptionnels.
Dominik Moll signe un film d’enquête discret, tenu et économe dans sa méditation politique sur le féminicide, l’inverse d’une démonstration par l’outrance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Autour de ces questions, Dominik Moll met en scène un film noir infiniment troublant où il tire le meilleur parti de son scénario labyrinthique et de ses acteurs, en premier lieu Bastien Bouillon (Yohan), dans le meilleur rôle de sa carrière, et le toujours impeccable Bouli Lanners (...).
La critique complète est disponible sur le site Marianne
La précision du tableau inscrit le film dans la lignée de L.627 de Bertrand Tavernier, modèle de ces films criminels réalistes qui montrent le travail quotidien de la police, très éloigné de la mythologie longtemps véhiculée par le cinéma. Le souci de vérité n’exclut pas l’ampleur et le réalisateur inscrit son récit dans ces paysages montagneux au climat changeant, dans cette vallée industrielle grise dont la beauté ne se donne pas facilement.
Avec « La Nuit du 12 », Dominik Moll réussit un polar haletant autour d’une affaire non élucidée. En immersion dans les rangs de la police judiciaire, ce thriller sombre explore la vie d’un groupe d’enquêteurs et questionne la relation hommes-femmes. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Savamment écrite, La Nuit du 12 s'avère tendue comme un thriller et surtout d'une bouleversante amertume sur la question des violences faites aux femmes.
Visage poupin récurrent du cinéma français, Bastien Bouillon trouve ici un premier rôle à sa mesure. Face à lui, le grand Bouli Lanners impressionne comme toujours d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Une femme meurt. Des hommes inspirent. Et Dominik Moll, accompagné de son co-scénariste Gilles Marchand, de dérouler une enquête aux airs de fable funèbre, où éclatent l'absurdité d'un monde de prédation et de bêtise. Grand polar, sublime désespoir, pour une obsession de cinéma qui hante longtemps le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Gendarme dans Seules les bêtes, Bastien Bouillon baladait une candeur tendre sur les lieux de l’enquête. Plus rude, taiseux et déterminé en Yohan, il lui donne néanmoins sa douceur quasi lunaire. Elle tranche avec l’affaire qui le hante. Avec le tourmenté Marceau (Bouli Lanners), il forme un duo aussi attachant qu’impuissant face à la banalité du mal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dominik Moll en tire un septième long-métrage, dont la puissance formelle, la qualité d’écriture, l’intelligence du casting rejoignent celles de ses premiers films, Harry, un ami qui vous veut du bien (2000) et Lemming (2005).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pas d'emphase ici ni de coups de feu, juste la sauvagerie ordinaire et le portrait réaliste de deux hommes un peu perdus, enfermés dans leur solitude et cernés par une mise en scène au cordeau.
La Nuit du 12 parvient à rendre tangible l'impuissance aliénante de policiers bossant des des conditions déplorables, sans compter leurs heures, toujours à deux doigts de perdre patience face à une jeune génération défiante, au nihilisme de bac à sable.
Ce portrait en creux de flics un peu perdus [...] explore la virilité et la fragilité masculine avec un sens inné du récit, mêlant les genres dans une narration au cordeau, pour un film sec et d’une maitrise de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sous ses allures de film noir, de polar, La Nuit du 12 se révèle donc aussi un brillant plaidoyer pour la sauvegarde d’un service public en péril. Le tout servi par un casting remarquable qui participe grandement à cette quête d’authenticité érigée ici en priorité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Servi par Bastien Bouillon, enfin au premier plan, mais aussi par de magnifiques figures féminines (dont la juge, interprétée par Anouk Grinberg dans l’un de ses plus beaux rôles), le récit coule, noir et pénétrant. Suffocant mais salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Plus qu’une enquête de police, La Nuit du 12 est une dénonciation accablante du système judiciaire en France. En plus, ce film passionnant signe le retour de Dominik Moll pour notre plus grand plaisir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
C’est la réussite de ce film de flics ouvert sur un départ à la retraite que de doser savamment entre les interrogatoires des témoins et suspects, le quotidien de ces officiers à qui on paiera les heures sup’ « quand le monde sera devenu normal », et ce qui, dans l’interstice, fait jointure, le crime s’immisçant moins dans les vies privées que dans les consciences individuelles.
La mise en scène, basée sur des séquences en temps réel et sur l’hypertrophie du détail vrai, reproduit par son montage la dynamique sans cesse brisée dans son élan des enquêteurs.
20 Minutes
La Nuit du 12 restera comme l’une des dates les plus marquantes vécues sur la Croisette en 2022.
Bande à part
Le dernier-né de Dominik Moll, La Nuit du 12, revisite adroitement le polar en étant un plaidoyer vif contre la violence faite aux femmes. À voir absolument.
Culturopoing.com
Mettant sur le gril six jeunes suspects [...], l'enquête importe finalement moins comme pur récit policier que comme véhicule permettant à Dominik Moll de faire le portrait lucide d'une toxicité masculine malheureusement inscrite dans les gènes de nos sociétés influencées par une idéologie patriarcale particulièrement tenace.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un cold case magistral et sombre.
Elle
Un film plus que troublant, fort et inquiétant.
La Voix du Nord
Un polar remarquable.
Le Dauphiné Libéré
Exceptionnels et subtils, Bouli Lanners et Bastien Bouillon sont ces flics humains, trop humains, désarmés et désarmants dans leur nuit intérieure.
Le Figaro
Le film français le plus fort de l’année.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène, réaliste et d’une précision chirurgicale, détaille les différentes étapes de la procédure dans un climat plombé par les fausses pistes. Tout en esquissant le portrait de flics hantés, joués par Bastien Bouillon et Bouli Lanners, exceptionnels.
Le Parisien
Dominik Moll signe un superbe film (...).
Les Echos
Dominik Moll ose reconstituer une enquête criminelle inachevée pour signer un polar féministe, sans coupable et pourtant saisissant.
Libération
Dominik Moll signe un film d’enquête discret, tenu et économe dans sa méditation politique sur le féminicide, l’inverse d’une démonstration par l’outrance.
Marianne
Autour de ces questions, Dominik Moll met en scène un film noir infiniment troublant où il tire le meilleur parti de son scénario labyrinthique et de ses acteurs, en premier lieu Bastien Bouillon (Yohan), dans le meilleur rôle de sa carrière, et le toujours impeccable Bouli Lanners (...).
Marie Claire
La Nuit du 12, polar vertigineux signé Dominik Poll, pointe la misogynie systémique qui mine les enquêtes sur les féminicides. Glaçant.
Ouest France
Du bel ouvrage sombre signé Dominik Moll.
Positif
La précision du tableau inscrit le film dans la lignée de L.627 de Bertrand Tavernier, modèle de ces films criminels réalistes qui montrent le travail quotidien de la police, très éloigné de la mythologie longtemps véhiculée par le cinéma. Le souci de vérité n’exclut pas l’ampleur et le réalisateur inscrit son récit dans ces paysages montagneux au climat changeant, dans cette vallée industrielle grise dont la beauté ne se donne pas facilement.
Sud Ouest
Avec « La Nuit du 12 », Dominik Moll réussit un polar haletant autour d’une affaire non élucidée. En immersion dans les rangs de la police judiciaire, ce thriller sombre explore la vie d’un groupe d’enquêteurs et questionne la relation hommes-femmes. Brillant.
Télé Loisirs
Savamment écrite, La Nuit du 12 s'avère tendue comme un thriller et surtout d'une bouleversante amertume sur la question des violences faites aux femmes.
Voici
Un film désespéré et magnifique.
CinemaTeaser
Visage poupin récurrent du cinéma français, Bastien Bouillon trouve ici un premier rôle à sa mesure. Face à lui, le grand Bouli Lanners impressionne comme toujours d’humanité.
Closer
Bastien Bouillon donne une force mystérieuse au personnage de Yohan, au côtés d'un Bouli Lanners tendrement désemparé.
Ecran Large
Une femme meurt. Des hommes inspirent. Et Dominik Moll, accompagné de son co-scénariste Gilles Marchand, de dérouler une enquête aux airs de fable funèbre, où éclatent l'absurdité d'un monde de prédation et de bêtise. Grand polar, sublime désespoir, pour une obsession de cinéma qui hante longtemps le spectateur.
Femme Actuelle
Implacable.
Franceinfo Culture
[...] d'une construction et d'une écriture brillantes [...].
GQ
Un film brillant et retors, analysant derrière les codes du thriller le poids de la masculinité toxique.
L'Obs
Un beau film très maîtrisé, un des meilleurs de Moll.
La Croix
Gendarme dans Seules les bêtes, Bastien Bouillon baladait une candeur tendre sur les lieux de l’enquête. Plus rude, taiseux et déterminé en Yohan, il lui donne néanmoins sa douceur quasi lunaire. Elle tranche avec l’affaire qui le hante. Avec le tourmenté Marceau (Bouli Lanners), il forme un duo aussi attachant qu’impuissant face à la banalité du mal.
Le Monde
Dominik Moll en tire un septième long-métrage, dont la puissance formelle, la qualité d’écriture, l’intelligence du casting rejoignent celles de ses premiers films, Harry, un ami qui vous veut du bien (2000) et Lemming (2005).
Le Point
Pas d'emphase ici ni de coups de feu, juste la sauvagerie ordinaire et le portrait réaliste de deux hommes un peu perdus, enfermés dans leur solitude et cernés par une mise en scène au cordeau.
Les Fiches du Cinéma
Si la “morale de l’histoire” peut prêter à discussion, cette quête sans issue n’en est pas moins captivante.
Les Inrockuptibles
Dominik Moll s’empare d’une enquête irrésolue sur un féminicide et réussit un polar mélancolique et ultra habité.
Mad Movies
La Nuit du 12 parvient à rendre tangible l'impuissance aliénante de policiers bossant des des conditions déplorables, sans compter leurs heures, toujours à deux doigts de perdre patience face à une jeune génération défiante, au nihilisme de bac à sable.
Paris Match
Ce portrait en creux de flics un peu perdus [...] explore la virilité et la fragilité masculine avec un sens inné du récit, mêlant les genres dans une narration au cordeau, pour un film sec et d’une maitrise de tous les instants.
Première
Sous ses allures de film noir, de polar, La Nuit du 12 se révèle donc aussi un brillant plaidoyer pour la sauvegarde d’un service public en péril. Le tout servi par un casting remarquable qui participe grandement à cette quête d’authenticité érigée ici en priorité.
Télé 7 Jours
À l’instar de leurs personnages, La Nuit du 12 vous hantera longtemps. Du grand cinéma.
Télérama
Servi par Bastien Bouillon, enfin au premier plan, mais aussi par de magnifiques figures féminines (dont la juge, interprétée par Anouk Grinberg dans l’un de ses plus beaux rôles), le récit coule, noir et pénétrant. Suffocant mais salutaire.
aVoir-aLire.com
Plus qu’une enquête de police, La Nuit du 12 est une dénonciation accablante du système judiciaire en France. En plus, ce film passionnant signe le retour de Dominik Moll pour notre plus grand plaisir.
Cahiers du Cinéma
C’est la réussite de ce film de flics ouvert sur un départ à la retraite que de doser savamment entre les interrogatoires des témoins et suspects, le quotidien de ces officiers à qui on paiera les heures sup’ « quand le monde sera devenu normal », et ce qui, dans l’interstice, fait jointure, le crime s’immisçant moins dans les vies privées que dans les consciences individuelles.
La Septième Obsession
La mise en scène, basée sur des séquences en temps réel et sur l’hypertrophie du détail vrai, reproduit par son montage la dynamique sans cesse brisée dans son élan des enquêteurs.