Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
C’est à Tokyo aujourd’hui et c’est partout : l’histoire d’une femme empêchée par des codes ancestraux et qui, peu à peu, s’en libère et s’évade. Ce film superbe, fluide et tenu, est signé Yukiko Sode. Retenez ce nom !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par La rédaction
Un beau voyage, séduisant et riche de sens.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Yukiko Sode pose un regard aiguisé, mais tendre et ironique, sur la société japonaise d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Porté par deux actrices très connues au Japon, Kadowaki Mugi (Hanako) et Mizuhara Kiko (Miki), distribuées à contre-emploi, Aristocrats déjoue les attentes en mettant la solidarité féminine au premier plan.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par Thomas Baurez
À l'aide d'une mise en scène inspirée, la cinéaste impose un magnifique sens du romanesque et interroge une société japonaise prisonnière de ses certitudes.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Le film interpelle et suscite la curiosité pour sa description des rapports amoureux qu’on n’imaginait plus aussi codifiés au Japon.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film social subtil, lent et délicat.
Elle
par Françoise Delbecq
Ce troisième long métrage de la jeune réalisatrice japonaise Yukiko Sode porte un regard lucide sur le Tokyo d'aujourd'hui (...).
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sur le ton faussement guindé d’un drame cruel et sensuel, le cinéaste fait se fissurer le modèle familial et patriarcal du Japon.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
La cinéaste japonaise Yukiko Sode met en scène deux héroïnes victimes de leur environnement liberticide et éprises du même homme. Elle signe un film émouvant qui, avec une invention scénaristique et formelle constante, raconte le Japon d'aujourd'hui et ses ambivalences.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Si le film n’évite pas un certain didactisme, le regard de la cinéaste Yukiko Sode va progressivement s’en éloigner pour se concentrer sur la relation platonique des deux personnages féminins et brosser un portrait particulièrement touchant de leur amitié.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Yukiko Sode, une cinéaste qui préfère le murmure à la vocifération, met en scène avec pudeur ce parcours d’émancipation nécessaire et signe un film secrètement enragé, à l’image de ses héroïnes qui apprennent à ne plus accepter l’inacceptable.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Yukiko Sode refuse de sur-dramatiser son récit pour raconter une histoire de sororité, mais aussi le Tokyo d'aujourd'hui, qui repousse les mal-nés et compriment les coeurs qui battent. Beau film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
Rares sont au Japon les films qui dénoncent avec autant de précision une structure sociale, une opposition de classe, des comportements d’acceptation et de résignation.
Voici
par La Rédaction
Un drame sentimental et sociétal délicat.
CinemaTeaser
par Constantin Lacombe
Beau, mais un peu sage.
La Croix
par Céline Rouden
Malgré une mise en scène empesée, la jeune réalisatrice Yukiko Sode explore avec finesse la pression au mariage qui pèse sur les jeunes filles de bonne famille dans un Japon fortement marquée par les différences de classes sociales.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Intention louable, mais la mise en scène manque de nerf.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Toutefois, la beauté du film ne tient pas spécifiquement à cette trame de significations balisée, ni même au casting un peu lisse qui l’incarne. Elle réside plutôt dans sa douce et lente scansion, qui laisse aux scènes le temps de s’installer, s’imprégnant du spleen de ces existences urbaines qui se découvrent captives d’une structure.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Portrait d’une société et de la ville qui en est le reflet, Aristocrats tisse un récit d’émancipation fascinant, mais à la mise en scène convenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Avec une douceur et une grâce dingue, Sode fait se croiser des personnages dans un Tokyo cloisonné de l’intérieur où chacun(e) cherche sa place et surtout une épaule pour affronter un réel dépourvu de perspectives.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si le récit manque parfois de rythme, il se révèle d'une richesse de composition admirable.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La prolifération des séquences dialoguées laisse espérer le surgissement d’un événement de parole, d’une déroute des intentions, comme chez Hamaguchi. Mais comme aimanté par la gentillesse compassée de son héroïne, Aristocrats se condamne à la molle désolation du constat qu’il dresse, classes et genres demeurant parqués dans leurs quartiers respectifs.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Faute de rythme, l’ennui s’installe lentement mais sûrement.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La rédaction
« Aristocrats » souffre d’un gros défaut : interminable et très délayé, son récit aurait pu être réduit de 40 minutes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Le film de Yukiko Sode, d’ambition intimiste et féministe, se révèle aussi ennuyeux et rigide que la haute société qu’il prétend dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
L’intention féministe de la réalisatrice est hélas desservie par un scénario assez peu crédible au départ, très prévisible ensuite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Souvent ennuyeux, trop long, le long-métrage de la réalisatrice Yukido Sode ne rajoute rien à ce que nous savons déjà en matière de déterminisme socio-culturel dans les sociétés du monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
C’est à Tokyo aujourd’hui et c’est partout : l’histoire d’une femme empêchée par des codes ancestraux et qui, peu à peu, s’en libère et s’évade. Ce film superbe, fluide et tenu, est signé Yukiko Sode. Retenez ce nom !
Femme Actuelle
Un beau voyage, séduisant et riche de sens.
Franceinfo Culture
Yukiko Sode pose un regard aiguisé, mais tendre et ironique, sur la société japonaise d'aujourd'hui.
L'Humanité
Porté par deux actrices très connues au Japon, Kadowaki Mugi (Hanako) et Mizuhara Kiko (Miki), distribuées à contre-emploi, Aristocrats déjoue les attentes en mettant la solidarité féminine au premier plan.
Ouest France
À l'aide d'une mise en scène inspirée, la cinéaste impose un magnifique sens du romanesque et interroge une société japonaise prisonnière de ses certitudes.
20 Minutes
Le film interpelle et suscite la curiosité pour sa description des rapports amoureux qu’on n’imaginait plus aussi codifiés au Japon.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film social subtil, lent et délicat.
Elle
Ce troisième long métrage de la jeune réalisatrice japonaise Yukiko Sode porte un regard lucide sur le Tokyo d'aujourd'hui (...).
L'Obs
Sur le ton faussement guindé d’un drame cruel et sensuel, le cinéaste fait se fissurer le modèle familial et patriarcal du Japon.
Les Echos
La cinéaste japonaise Yukiko Sode met en scène deux héroïnes victimes de leur environnement liberticide et éprises du même homme. Elle signe un film émouvant qui, avec une invention scénaristique et formelle constante, raconte le Japon d'aujourd'hui et ses ambivalences.
Les Inrockuptibles
Si le film n’évite pas un certain didactisme, le regard de la cinéaste Yukiko Sode va progressivement s’en éloigner pour se concentrer sur la relation platonique des deux personnages féminins et brosser un portrait particulièrement touchant de leur amitié.
Marianne
Yukiko Sode, une cinéaste qui préfère le murmure à la vocifération, met en scène avec pudeur ce parcours d’émancipation nécessaire et signe un film secrètement enragé, à l’image de ses héroïnes qui apprennent à ne plus accepter l’inacceptable.
Paris Match
Yukiko Sode refuse de sur-dramatiser son récit pour raconter une histoire de sororité, mais aussi le Tokyo d'aujourd'hui, qui repousse les mal-nés et compriment les coeurs qui battent. Beau film.
Positif
Rares sont au Japon les films qui dénoncent avec autant de précision une structure sociale, une opposition de classe, des comportements d’acceptation et de résignation.
Voici
Un drame sentimental et sociétal délicat.
CinemaTeaser
Beau, mais un peu sage.
La Croix
Malgré une mise en scène empesée, la jeune réalisatrice Yukiko Sode explore avec finesse la pression au mariage qui pèse sur les jeunes filles de bonne famille dans un Japon fortement marquée par les différences de classes sociales.
Le Figaro
Intention louable, mais la mise en scène manque de nerf.
Le Monde
Toutefois, la beauté du film ne tient pas spécifiquement à cette trame de significations balisée, ni même au casting un peu lisse qui l’incarne. Elle réside plutôt dans sa douce et lente scansion, qui laisse aux scènes le temps de s’installer, s’imprégnant du spleen de ces existences urbaines qui se découvrent captives d’une structure.
Les Fiches du Cinéma
Portrait d’une société et de la ville qui en est le reflet, Aristocrats tisse un récit d’émancipation fascinant, mais à la mise en scène convenue.
Première
Avec une douceur et une grâce dingue, Sode fait se croiser des personnages dans un Tokyo cloisonné de l’intérieur où chacun(e) cherche sa place et surtout une épaule pour affronter un réel dépourvu de perspectives.
Sud Ouest
Si le récit manque parfois de rythme, il se révèle d'une richesse de composition admirable.
Cahiers du Cinéma
La prolifération des séquences dialoguées laisse espérer le surgissement d’un événement de parole, d’une déroute des intentions, comme chez Hamaguchi. Mais comme aimanté par la gentillesse compassée de son héroïne, Aristocrats se condamne à la molle désolation du constat qu’il dresse, classes et genres demeurant parqués dans leurs quartiers respectifs.
Le Journal du Dimanche
Faute de rythme, l’ennui s’installe lentement mais sûrement.
Le Parisien
« Aristocrats » souffre d’un gros défaut : interminable et très délayé, son récit aurait pu être réduit de 40 minutes.
Libération
Le film de Yukiko Sode, d’ambition intimiste et féministe, se révèle aussi ennuyeux et rigide que la haute société qu’il prétend dénoncer.
Télérama
L’intention féministe de la réalisatrice est hélas desservie par un scénario assez peu crédible au départ, très prévisible ensuite.
aVoir-aLire.com
Souvent ennuyeux, trop long, le long-métrage de la réalisatrice Yukido Sode ne rajoute rien à ce que nous savons déjà en matière de déterminisme socio-culturel dans les sociétés du monde.