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    Mad God
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    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    182 abonnés 1 166 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mai 2023
    Mad God n'a ni queue, ni tête c'est une pure démonstration de force malsaine, une éructation malaisante, un glaviot à la beauté du Monde. Une visite dans les cercles de l'Enfer de Dante sans sa poésie maladive. Juste un amas de viscères, de larves, de cris d'enfants qui d'auto-satisfait de sa propre morbidité. Un film avarié.
    Stephane Cassou
    Stephane Cassou

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2023
    c'est drôle c'est gore c'est poétique c'est fou ce n'est pas pour tout le monde, bref c'est unique !
    La Petite Magicienne
    La Petite Magicienne

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2023
    Un chef d'œuvre d'animation, au fil conducteur un peu difficile à suivre : peut-être faut-il voir ce film comme une simple succession de visions cauchemardesques ? Ou bien une métaphore de l'espoir ?
    Attention, âmes sensibles s'abstenir... dans le cinéma, les spectateurs se regardaient l'air effrayé, tellement certaines scènes étaient difficiles à supporter. Tout y passe : la torture, la guerre, l'abandon...
    louisboucan
    louisboucan

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2023
    Un film expérimental filmé majoritairement en stop-motion, quelques scènes en live-action, le tout sans dialogue. Un univers sombre avec, en illustration sonore, une espèce de Musique Concrète on ne peut plus lugubres. Film très très oppressant.

    L'histoire est empreinte de références chrétiennes-ésotériques, ça va des punitions décrites dans le Lévitique 26:27 à la chute de Babylone, mais c'est surtout autour de la Divine Comédie de Dante que le film semble s'articuler…

    spoiler: L'histoire se déroule dans un univers post-apocalyptique, après que notre planète ait été détruite par le feu nucléaire Un curé missionne un de ses soldats pour rejoindre un obscur objectif. Ce dernier quitte la surface infernale et plonge dans les tréfonds de notre planète, désormais peuplés de monstres humanoïdes qui évoluent dans des cités en ruine et qui naissent et meurent en boucle (le purgatoire?). Il se fait attraper par des savants fous (l'obscure objectif du curé?) qui le dépècent et récupèrent au fond de ses entrailles un nouveau-n[spoiler]
    é. L'enfant est apporté à un alchimiste qui utilise le bambin comme matière première pour fabriquer un élément, et s'en sert pour annihiler toutes "vies" sur terre.
    [/spoiler]
    Heoni Allignol
    Heoni Allignol

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 avril 2023
    Film bien plus gore que peut laisser paraitre la bande annonce. Premiere fois que je sors d'une salle de cinema tellement ce film etait affreux.
    A fuir
    Pi c
    Pi c

    43 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2023
    Le génie des effets spéciaux Phil Tippett revient à la réalisation après 30 ans de travail seul dans son coin pour nous offrir un film quasiment entièrement en Stop Motion qui vient explorer notre inconscient dans un monde apocalyptique.
    Tout ne plairera pas à tout le monde dans ce film, certaines choses sont grades, l'absence totale de sens peut déboussoler, les "trois segments" du métrage sont inégaux. la première demi-heure est pour moi exceptionnelle, avec un rythme et une qualité unique. Là où la partie avec Alex Cox m'a totalement sorti du film.
    En somme ce film est une véritable expérience singulière, à la qualité variable et où l'absence de sens et de trame narrative classique offre une toute nouvelle dimension à l'image. Un voyage particulier à voir au moins une fois.
    Redzing
    Redzing

    1 161 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2023
    Méconnu du grand public, Phil Tippett a acquis une solide réputation dans le monde des effets visuels. Surtout grâce à son travail dans la stop motion, en particulier sur la trilogie « Star Wars » (les célèbres AT-AT de « Empire Strikes Back », c’est lui !). Puis des contributions notables à diverses animations CGI, telles que dans « Starship Troopers ». Etonnamment, on cite peu qu’il a été également réalisateur sur le gros navet qui tache « Starship Troopers 2 »…
    Et voilà qu’il parvient à sortir (en salles dans certains pays !) son projet chéri, « Mad God ». Un long-métrage à la gestation longue et houleuse, étalée sur près de 30 ans. J’ignore si le contenu du film est censé refléter la difficulté à le produire, toujours est-il que l’on a affaire à un OVNI électrochoc.
    Le film est une sorte de trip infernal, dans une atmosphère absolument cauchemardesque. Violences, tortures, sadismes, créatures étranges, fluides corporels en tous genres composent cet univers sans espoir, réservé à un public capable d’encaisser une telle noirceur. D’autant plus qu’il n’y a pas réellement de récit (pas de dialogues, pas de héros, pas d’objectif), clairement le gros point faible de l’œuvre.
    Ne durant que 1h23, « Mad God » affiche ainsi quelques longueurs. Si bien qu’il aurait peut-être été plus judicieux d’en faire une série de courts-métrages.
    Néanmoins, le film en met plein les mirettes. La stop motion est incroyable, qu’il s’agisse des mouvements des personnages, des déplacements de caméra, ou de la crédibilité et du détail avec lesquels cet univers s’agite. Le tout avec une créativité qui parait sans limite dans les trouvailles visuelles, en particulier dans le premier acte. Cela rappelle le talent de Ray Harryhausen, aussi brillant à inventer des monstres qu’à les animer.
    Avec en prime un propos simple mais brutal (la guerre, c’est moche) qui donne un peu de sens à cet océan fourmillant de noirceur.
    Czer A.
    Czer A.

    4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2023
    oui le film est réalisé par Phil terett, oui il est irréprochable techniquement, oui c'est très beau ou plutôt les décors sont très réussis ainsi que les costumes et les charadesigns sont très inventifs. Mais il en reste un film pas du tout agréable à suivre, on interprète l'histoire comme on peut, il y beaucoup trop de longueur même si la contemplation n'est pas un défaut mais le film est pénible. l'effet de malaise n'est pas réussi le film reste juste ennuyeux, il a au moins le mérite d'exister et de proposer quelque chose.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 084 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2023
    Mad God nous dégoûte de la première à la dernière minute par l’intérêt pris à la matière en transformation, à tout ce qui coule, vomit, écrabouille, dissèque à vif ; en cela, l’aspect grouillant du microcosme proposé, qui réussit à tirer une homogénéité d’un agrégat de pièces détachées hétéroclites, semble être la condition nécessaire à notre immersion dans un no man’s land qui interroge l’humanité ainsi que les puissances de destruction et de création à l’œuvre dans l’univers – en témoigne la projection ultime dans le macrocosme. Ainsi, Phil Tippett rappelle que la finalité de l’animation est d’« animer », de donner un souffle à ce qui n’en a pas ou plus, en l’occurrence ici aux dernières formes vivantes que l’industrialisation galopante ne cesse de broyer : il refuse la singularité de la matière humaine, confondue avec l’animale et exploitée comme toutes les autres (métal, ciment, paille…), c’est-à-dire écrasée, brûlée, noyées, pulvérisée, décapitée. Il prend soin de représenter les fluides qui entrent et sortent du corps : les créatures défèquent un peu partout tout le temps, vomissent, perdent beaucoup de sang ; elles ne parlent pas, communiquent dans la douleur, et les quelques paroles prononcées en anglais, en italien ou en français ne sont que des vectrices de violence.
    Pourtant, au plus profond des êtres se trouve un trésor, dégradé lui aussi en pièces de monnaie et bijoux, que sort des entrailles un chirurgien sadique ; même le nouveau-né, entité monstrueuse, est ravi par le croquemitaine aux allures de médecin de la peste, avec son masque en bec de corbeau, pour être pressé et transformé en poussière dorée. Nous retrouvons là la notion d’alchimie et la dynamique de création et de destruction, revisitée par un artiste qui se met en scène de façon excentrique ; car la noirceur générale ne doit pas voiler l’ironie mordante : nous empruntons la yellow brick road du magicien d’Oz, protégée des regards indiscrets par des pavés noirs, nous croisons deux personnages jouant aux cartes et buvant le thé dans un service en porcelaine, inspirés de Lewis Carroll etc. Le film est ainsi un cimetière de références, et ces horribles visions empruntent pour l’essentiel à la religion juive : le Lévitique est cité en ouverture, le Créateur porte une kippa, l’amoncellement de valises ou la dissection des corps pour en extraire leurs richesses font écho à la Seconde Guerre mondiale, la composition de certains plans évoque les peintures de Felix Nussbaum. Il mobilise une histoire de l’art allant de Jérôme Bosch à Otto Dix en passant par les statues orientales – qu’il range à côté d’un porc géant coiffé d’une toque de cuisiner ! – et les installations d’art contemporain, représentant le gémissement d’un bébé par écrans interposés ; il jette au sol la statue de Beethoven, place dans une casse son robot ED-209 conçu pour RoboCop (Paul Verhoeven, 1987) et sur une table d’opération une créature poilue tout droit sortie de Star Wars, deux licences pour lesquelles Tippett avait signé l’animation stop motion.
    Ce faisant, il compose un cauchemar apocalyptique aux antipodes des utopies colorées du divertissement d’animation contemporain, avec ses personnages bavards aux grands yeux attachants et ses scénarii cousus de fil blanc. Dans le cas de Mad God, le scénario se limite à une mission manquée, et les yeux, organes omniprésents, évoquent tantôt le regard du créateur, scientifique fou qui prête son nom au film, tantôt la pulsion scopique d’un spectateur figuré par une foule hilare devant les sévices du héros, scène qui offre une mise en abyme pertinente, tantôt la posture de témoin du personnage principal qui circule tant bien que mal parmi le chaos ambiant, et par les yeux duquel nous découvrons et endurons ce monde aux reflets du nôtre. Bien plus déstructuré que Metropolis (Fritz Lang, 1927), comme l’atteste la dispersion de la carte en petits morceaux, plus radical encore que le déjà radical 9 (Shane Acker, 2009), Mad God donne vie à une dystopie terrifiante, curieusement hors du temps, qui réactualise les visions totalitaristes et anarchiques d’artistes tels que George Orwell (1984), Alan Moore et David Lloyd (les albums V for Vendetta publiés en 1982 et 1990).
    eldarkstone
    eldarkstone

    231 abonnés 2 105 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2023
    Je salue à deux mains l'exploit de réaliser un tel film en stop-motion à notre epoque, avec autant d'effets et de détails à voir à chaque instant. L'histoire est quand à elle très sombre, voir glauque, et très violente, mais reste aussi surprenante !
    Audrey L
    Audrey L

    654 abonnés 2 596 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2023
    Mad God est une expérience, et ce n'est pas parce qu'on ne l'a subjectivement pas appréciée, qu'on ne vous recommande pas de la vivre. Au mieux, vous serez subjugué par ce mélange de sadisme assumé, d'animation en stop-motion qui a coûté tout de même 30 ans à Phil Tippett (superviseur des effets visuels pour quelques films populaires comme Jurassic Park, Star Wars, Starship Troopers, mais aussi pour la saga Twilight...), et de métaphore filée de l'Enfer (monstres ignobles, Première et Seconde Guerres Mondiales, esclavage...). Au pire, vous aurez, comme nous, fait quelques pas en-dehors de votre zone de confort, vous saurez ce que vous n'aimez pas dans le cinéma (pour nous : le pré-mâchage abrutissant de cette œuvre, qui ne nous fait pas réfléchir, mais rend notre dissertation à notre place... Le film de chevet pour les étudiants de cinéma de première année), bref, vous vous rappellerez au moins que le cinéma c'est aussi faire des rencontres qui nous déçoivent tout en nous apprenant à construire notre réflexion. On ne détestera pas fondamentalement ce Mad God (qu'on ne cesse de recommander depuis, "pour la science" comme on dit), lui adressant même un respect poli, pour la quantité de travail colossale abattue par le Monsieur pendant des décennies, et ayant fait l'effort de mélanger plusieurs formes d'art visuel pour varier un peu (animation en stop-motion, marionnettes, acteurs réels...). En revanche, là où Phill Tippett nous a perdu irrémédiablement, c'est sur son discours frontal, dénué de la moindre once de finesse, qui nous a fait passer 1h17 interminables. On soupirait à chaque image d’Épinal qui nous rappelait outrancièrement que "l'Enfer, c'est les deux Guerres Mondiales" : le gros plan sur la croix noire sur fond rouge (dans la carte au trésor, ce qui n'a rien à faire là, et nous sort donc de l'intrigue un instant), la Jeep, les tanks, le casque allemand, le masque à gaz, les gens qui hurlent au haut-parleur, les travailleurs sacrifiés, le docteur Mengele... On avait pourtant compris dès le tas de valises, reflets tristes et poétiques de vies qui se sont arrêtées là (mais c'est un tout autre film... Si un animateur épris de finesse et de belle dramaturgie nous lit...), mais non, Tippett pense qu'on a 4 ans, il surligne tout. A cela, il ajoute de grossiers effets sonores qui pensent aussi à notre place : il faut que le spectateur soit oppressé (alors mettons des cris saturants l'espace sonore), il faut que la scène de torture du docteur fou soit mal vécue par le spectateur (alors mettons un infernal "doing, doing, doing, doing..." en unique piste musicale... Au 137ème "doing", on était incrédule sur la patience de bouddhiste que demandait ce film, tandis que bon nombre de personnes se sont tout simplement levées pour fuir cette "doingerie" mixée à de laconfiture balancée gaiment sur les murs... Ah, finesse, ah maturité...). On se sera tiré (pas de la salle, on a des principes) de notre apathie lors de la scène de tirs entre les tanks, puisqu'on y reconnaît un lointain cousin des effets de Star Wars, que le petit bonhomme impassible qui traverse la tourmente comme si de rien n'était, ça nous plaît bien, et que Tippett a ajouté quelques paillettes aux explosions miniatures, ce qui est visuellement très beau. Il s'agit de la partie du milieu, soit le deuxième court-métrage, puisque Mad God est la réunion de trois courts éponymes déjà sortis, collés ensemble sans aucune idée de transition, ce qui ajoute au peu d'intérêt narratif qu'on y a trouvé : on passe d'une histoire à une autre totalement différente sans comprendre où sont les début et fin respectifs, on s'intéresse à une sous-intrigue et finalement on ne sait même pas ce qu'elle devient (la chasse au trésor ? Le petit bonhomme dans sa Jeep ? C'était le seul passage qui nous intéressait...), on a plus l'impression d'avoir vu un patchwork mal rapiécé qu'un film cohérent. Enfin, et on sait que beaucoup ne seront pas d'accord (on n'a pas les mêmes sensibilités), mais les scènes de sadisme comique nous ont blasé, avec une mention pour la scène de spoiler: l'éviscération "confiote" du Docteur qui nous a paru durer à l'infini (doing doing doing doing), et l'araignée qui mange la bestiole bariolée sous les yeux de son ami, on n'a pas ri
    ... On trouve cela plus que puéril, mais on sait que d'autres ont de l'appétit pour cela, alors : voyez vous-même. Pour notre part, Mad God est visuellement très beau, et représente une masse de travail d'un homme passionné qui nous force le respect, mais pour le reste : doing doing doing doing...
    Pull Buoy
    Pull Buoy

    7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2023
    Le seul point qui m'ait dérangée, c'est les visuels un peu trop gore pour moi, toutefois, on reconnaît le travail de malade derrière le film en stop motion mais également les compositions musicales qui sont magnifiques.
    Georges Hinot
    Georges Hinot

    1 abonné 42 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2023
    Un film assez incroyable, qui vaut indéniablement le détour.
    Difficile de lui mettre une trop bonne note, car cette œuvre ne rentre dans aucune case, et reste un peu déroutante.
    C'est poétique, sale, beau, crado, magique, scato...
    Divisé en 4 parties, le film narre un monde infernal, apocalyptique, dans lequel une quête a lieu, plusieurs même, un explorateur cherche un secret et un démiurge se livre à d'étranges expériences.
    Les décors sont dingues, l'imagination du réalisateur est sans borne, à voir pour s'ouvrir un peu l'esprit, un conte de fée cauchemardesque, Alice au pays des merveilles façon horrifique, avec un petit côté Moebius.
    ApacheBoy LT®
    ApacheBoy LT®

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2023
    Quel gâchis révoltant. J'aurais pu mettre 5/5, comme 0, tant le film place la barre haute, dépasse toute espérance, avant de trahir complètement sa forme et de proposer des scènes en live action pourries, ni fait, ni à faire. Je pars sur un 4/5 car nous sommes évidemment devant un monument de la stop-motion. Rarement, ce procédé n'a atteint de tels sommets graphiques et une telle force évocatrice. C'est une véritable plongée en enfer dans laquelle nous entraîne Phil Tippett, une plongée qui lui aura coûté 30 ans de sa vie pour être réalisé. Alors oui, devant l'énormité d'un tel projet, je n'ose imaginer toutes les phases par lesquelles Tippett a dû passer, de l'euphorie au désespoir devant la tâche dantesque que représente une telle production. Et à mon humble avis, ces scènes de live action résultent du désarroi d'un réal qui, comprenant que s'il ne trouve pas un subterfuge pour terminer son film, il ne le terminera sans doute jamais... Il décide alors d'opter pour la faciliter en tournant des plans entiers en live action, et c'est non seulement raté, mais sa trahi également tout ce que le film a installé depuis le début. On sort complètement du récit. Je n'ai qu'une seule envie : ouvrir une pétition pour pousser Phil Tippett à terminer son film en remplaçant la live action par sa stop-mo. Qu'un producteur m'entende et lui verse les fond et le matériel nécessaire pour qu'il achève son œuvre svp.
    Yohann D
    Yohann D

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2023
    Un mélange de dégout et de plaisir troublant
    C'est un film aux décors riches et vivants
    C'est un peu les Tuches à bourg en bresse
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