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Riviere Vigneau
1 critique
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5,0
Publiée le 3 mai 2024
joli témoignage sur ces invisibles, sans lesquelles les hotels ne "tourneraient" pas. beaucoup d'émotion, de réalité, d'admiration. et puis, on fera "comme on a dit", quand on quitte un hotel, on enlève les draps et on "range" un peu....facile !! mention spéciale aux actrices débordantes de véracité, et de dynamisme.
Un très beau film sur ces invisibles petites mains qui luttent contre la précarité de leurs emplois et pour un minimum de droits. Derrière les sourires, une grande souffrance pour ces salariés qui demandent juste à travailler dans la dignité. Je recommande!
Un film " vrai " sur une lutte pour acquérir un salaire décent. Une histoire vraie avec des acteurs qui réussissent toutes et tous à nous émouvoir. Film qui ressemble beaucoup à certains films britannique sur la lutte des classe.🥰❤️❤️❤️❤️ Film Authentique a voir et a revoir. Ma note: **** / ***** ❤️❤️❤️❤️ #richardmagan #jadorelecinema #jadore #movies #filmavoirabsolument #voirlesfilmsaucine
Rien de special dans ce film sauf le fait que ce soit tiré d'une histoire vraie. Le film est très classique , pas mauvais mais rien de bien passionnant non plus.
Un film extrêmement touchant et d'utilité publique ! Le réalisateur fait la part belle aux femmes de ménage de l'hôtel ibis et restitue leur combat avec une grand délicatesse et non sans humour. Un bonheur de cinéma.
Après la réussite de son premier film, Placés, j’attendais beaucoup de ce deuxième film. Parce que c’est souvent casse gueule un deuxième film. Parce qu’on se demande si l’auteur va réussir à se confirmer sans se répéter. Nessim Chikahoui relève le pari haut la main. Il signe un film sans pathos et sans angélisme. Jamais manichéen, mais toujours juste et drôle, il filme le quotidien des femmes de chambre d’un palace parisien. Il raconte leur lutte et leurs envies. Le tout porter par un casting cinq étoiles avec une mention toute particulière pour Lucie Charles Alfred découverte dans… placés!
Très bien ; actrices touchantes et vraies. Corinne Masiero est émouvante dans son rôle. Un film qui nous fait découvrir le quotidien de ces « invisibles » sans qui l’hôtellerie ne pourrait pas tourner.
Un film plein d humanité , de peps et d humour qui nous fait du bien ! Corinne Masiero est à son meilleur et tous les acteurs/actrices forment un bel ensemble .
Le scénario est inspiré d’un conflit social qui a duré plusieurs mois dans un palace parisien. Toute la partie immersion dans ce monde du travail avec ces petites mains invisibles (ça aurait pu faire un autre titre) est réaliste et bien documentée. Des conditions de travail dures, physiquement usantes, des mesquineries, des tensions parfois parmi les salariés entre ceux qui doutent qu’il soit possible de changer quoi que ce soit et ceux qui ont décidé de se battre. On doit certainement au militant syndical et aux salariés, cette riche documentation en scènes de la vie quotidienne dans ce « monde des larbins » (non péjoratif sous ma plume, c’est dans les dialogues). La partie négociation avec l’employeur est par contre occultée, quasi-inexistante. J’ai lu dans une interview donnée par le réalisateur et scénariste que c’était un choix narratif de ne pas montrer cette face-là de cette histoire sociale. C’est dommage car, pour qui connait les dessous de ce conflit social (je fais partie de ceux-là), il y avait des choses à dire et à montrer. Comment les salarié(e)s tiennent-ils financièrement de si longs mois ? Comment le syndicaliste (on le voit quelques secondes en vrai avec des images d’archives lors du générique de fin), « manage » ce conflit pour le compte de la CGT. Une CGT peu reconnaissante puisqu’elle l’a finalement exclu (ou il se sera exclu lui-même selon la formule consacrée). L’une des femmes de ménage est aujourd’hui assistante parlementaire. Une autre est devenue la compagne du syndicaliste et embauchée par ce dernier pour prendre en charge toute la (riche) trésorerie du syndicat professionnel local radié de la CGT. Et les trois ont ces derniers mois eu quelques problèmes avec la justice pour des problèmes de financement potentiellement prohibé. De quoi alimenter un autre scénario sur le registre du film social.
Ce film m'a beaucoup touché par le traitement joyeux de la luttes d'invisibles. Corinne Masiero est formidable dans un beau rôle comme d'ailleurs toutes ses femmes invisibles. Un film de salubrité publique !
Ne parlons pas des Keke et Masiero. Le thème pouvait mériter un documentaire à la Lucet sur les abus de certains employeurs dans l'hôtellerie en particulier. Or le film est très médiocre. Même la presse de gauche l'avoue !