Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Dans la lignée de ses courts métrages, Payal Kapadia privilégie un récit poétique, ici en format carré et essentiellement en noir et blanc, et la voix off. Et signe à la fois un bijou esthétique et un manifeste politique. Une grande expérience de spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Ainsi Toute une nuit sans savoir, mêlant habilement l’intime et le politique, le found footage et le film rêvé, des images de manifs et de répression, devient-il une poignante lettre d’adieu, à l’amour et l’espérance, à la jeunesse et l’innocence, qui résonne bien au-delà des frontières où il se déroule.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un kaléidoscope d’images ouvragées, soyeuses, presque silencieuses, tournoie dans l’œil du spectateur, mettant à distance la fureur pour mieux l’observer. La cinéaste plasticienne relie mille utopies, événements et faits d’armes, les coulant dans un bronze qui serait le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le parti pris de Payal Kapadia traduit le drame du présent qui ne change pas, un présent prisonnier du passé, qu’il soit hanté par un amour perdu ou le conservatisme d’une société indienne qui asphyxie sa jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Un docu en forme de journal intime bouillonnant, caméra au poing, entre arte povera et culture Instagram.
Positif
par Vincent Thabourey
Le spectateur se trouve alors plongé dans une brèche narrative, entre fiction et réalité, hallucinante, vibrante de rage et de désespoir. Cet amalgame de révolte politique et de frustration amoureuse se noue dans une esthétique fantasmagorique singulière, qui peut nous égarer ou nous subjuguer, mais qui ne nous laissera jamais indifférents.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
On sort de "Toute une nuit sans savoir" le coeur endolori, mais à nouveau empli de courage.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Toute une nuit sans savoir est autant journal intime que bouteille à la mer. Non pas l’exposé chronologique d’un nationalisme d’État et de sa radicalisation, mais le résumé impossible de quelques années chamboulées par l’amour, l’engagement et l’effroi.
Critikat.com
par Thomas Grignon
À la fois chronique au jour le jour de l’occupation d’une université et kaléidoscope de visions poétiques, le film réussit à faire passer un peu de lumière dans la grande nuit totalitaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Sentiment de mélancolie, présence du désir, dénonciation des violences qui fracturent la société, tous les thèmes imprègnent ce film politique qu’on jurerait issu du cinéma d’amateur, mais qui, en fait, est minutieusement mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Kattel Lemarchand
À la fois distante et sensible, la caméra poétise un mouvement irrépressible de liberté, dans une société encore soumise aux castes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Le résultat, captivant dans ses premières minutes, finit cependant par laisser peu à peu à distance. Comme trop gangréné par sa cérébralité pour tendre la main aux spectateurs. Sa radicalité se révèle ici tout à la fois sa plus grande force et sa plus dommageable faiblesse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
Dans la lignée de ses courts métrages, Payal Kapadia privilégie un récit poétique, ici en format carré et essentiellement en noir et blanc, et la voix off. Et signe à la fois un bijou esthétique et un manifeste politique. Une grande expérience de spectateur.
Libération
Ainsi Toute une nuit sans savoir, mêlant habilement l’intime et le politique, le found footage et le film rêvé, des images de manifs et de répression, devient-il une poignante lettre d’adieu, à l’amour et l’espérance, à la jeunesse et l’innocence, qui résonne bien au-delà des frontières où il se déroule.
Le Monde
Un kaléidoscope d’images ouvragées, soyeuses, presque silencieuses, tournoie dans l’œil du spectateur, mettant à distance la fureur pour mieux l’observer. La cinéaste plasticienne relie mille utopies, événements et faits d’armes, les coulant dans un bronze qui serait le film.
Les Inrockuptibles
Le parti pris de Payal Kapadia traduit le drame du présent qui ne change pas, un présent prisonnier du passé, qu’il soit hanté par un amour perdu ou le conservatisme d’une société indienne qui asphyxie sa jeunesse.
Marie Claire
Un docu en forme de journal intime bouillonnant, caméra au poing, entre arte povera et culture Instagram.
Positif
Le spectateur se trouve alors plongé dans une brèche narrative, entre fiction et réalité, hallucinante, vibrante de rage et de désespoir. Cet amalgame de révolte politique et de frustration amoureuse se noue dans une esthétique fantasmagorique singulière, qui peut nous égarer ou nous subjuguer, mais qui ne nous laissera jamais indifférents.
Transfuge
On sort de "Toute une nuit sans savoir" le coeur endolori, mais à nouveau empli de courage.
Cahiers du Cinéma
Toute une nuit sans savoir est autant journal intime que bouteille à la mer. Non pas l’exposé chronologique d’un nationalisme d’État et de sa radicalisation, mais le résumé impossible de quelques années chamboulées par l’amour, l’engagement et l’effroi.
Critikat.com
À la fois chronique au jour le jour de l’occupation d’une université et kaléidoscope de visions poétiques, le film réussit à faire passer un peu de lumière dans la grande nuit totalitaire.
L'Obs
Sentiment de mélancolie, présence du désir, dénonciation des violences qui fracturent la société, tous les thèmes imprègnent ce film politique qu’on jurerait issu du cinéma d’amateur, mais qui, en fait, est minutieusement mis en scène.
Télérama
À la fois distante et sensible, la caméra poétise un mouvement irrépressible de liberté, dans une société encore soumise aux castes.
Première
Le résultat, captivant dans ses premières minutes, finit cependant par laisser peu à peu à distance. Comme trop gangréné par sa cérébralité pour tendre la main aux spectateurs. Sa radicalité se révèle ici tout à la fois sa plus grande force et sa plus dommageable faiblesse.