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Arishem
1 abonné
460 critiques
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3,5
Publiée le 27 juillet 2024
Histoire moins que j'ai trouvais beaucoup moins intéressante que dans le 1 mais qui possède une excellente fin, tout le contraire du premier qui était une grosse déception.
Que dire sinon que c'est inintéressant au possible, nous avons un scénario mal écrit, une photographie assez laide, des personnages sans charisme pour lesquels on éprouve aucune empathie et paradoxalement le film est à la fois violent et mou. Sinon les chines robots sont rigolos
On s'ennuie ferme dans cette décevante suite du pourtant apprécié Code 8. Le succès surprise du premier volet a inévitablement entrainé une suite mais cette dernière est véritablement paresseuse. Il ne se passe rien, c'est une absence totale de scénario ! La présence d'un robot canin ne suffit pas à apporter de la nouveauté au récit et surtout, on aurait pu penser qu'un ajout de capitaux au budget de ce second volet aurait permis de développer une saga et de découvrir de nouveaux pouvoirs, il n'en ai rien !
Déception. Après un premier volet que j'avais trouvé original et puissant, on est maintenant face à un classique du : il faut protéger la petite fille pourchassé par les vilains flics ripoux qui ont tué son frère qui était en fait gentil aussi et bla bla bla. C'est franchement mauvais et mal joué. Les designs futuristes sont toujours très classes, même si on les voit moins. Bref, je reste sur le premier et faites en autant !
"Code 8 : Partie II", film d'anticipation américano-canadien réalisé par Jeff Chan, sorti en 2024. Suite au film Code 8 sorti en 2019. Un film sans débauche d'effets spéciaux, mais au scénario de base intéressant. Un monde dystopique où une partie de la population dotée de "pouvoirs" est discriminée, traquée et précarisée. Un petit film correctement réalisé, mais qui ne vaut pas la surprise du premier. Une suite est évoquée.
Mieux que le 1 mais toujours aussi facile dans son scénario, pauvre visuellement parlant, et lent à avancer dans l'histoire. Une digne suite du premier opus sans aucune évolution vers du mieux.. Pas sûr que je regarde le 3
Ce second opus reprend une bonne partie des personnages du premier film mais tourne autour d’un trafic de drogue sur fond de flics corrompus. La jeune fille témoin qu'on doit protéger d'un réseau de flics corrompus, c'est du déjà-vu. Le fait d'ajouter des chiens robots façon robocop donne un petit plus. Cette partie 2 reste très superficielle et moins bien que le premier qui restait une bonne découverte, cela reste tout de même un film distrayant qui se regarde facilement.
C'est l'histoire de Connord Reed qui après avoir fait de la taule pour les conneries qu'il a faites dans le premier opus, est devenu balayeur dans un gymnase. Pendant ce temps le gentil flic du premier est devenu un flic ripou qui a la main sur tout le quartier, et deviner quoi, il va vouloir tuer une fille près du gymnase ou Connord travail et il va la protéger, beh voyons comme si ces années de taule ne lui avaient pas suffi. Commence alors une chasse à la fillette et notre Connord va encore risquer sa vie pour la défendre, quel homme quand même.
Histoire/scénario : Rien de bien nouveau dans ce scénario, un homme qui protège une gamine, pff, c'est plutôt récurant et lourdingue. Heureusement qu'il y a les superpouvoirs, parce qu'on se ferait vite chier.
Acteurs : on reprend à peu de chose près les mêmes et on recommence. Les nouveaux acteurs ne sont pas plus connus que les anciens.
Effets spéciaux : On ne peut pas dire qu'il y ait une réelle évolution à ce niveau-là , ils restent bons sans non plus être fantastiques et ils n'y en a pas plus que dans la partie 1.
VF/bande son : la VF est plutôt bonne et rien à signaler niveau bande son.
Un film qui ne révolutionnera pas le cinéma, mais avec lequel on passe un bon moment, 1 h 40 où on ne s'ennuie pas et qui passe plutôt bien, je le recommande.
La première partie de Code 8 était déjà mal fichue, la seconde est indigeste. Tout est tellement convenu et linéaire que j'en suis venu à me demander si un simple montage non-chronologique n'aurait pas été plus intéressant : pour créer un peu de mystère sur ces personnages si mal écrits (le flic hypocrite corrompu, la petite fille aux super pouvoirs qui a assisté au meurtre de son frère, le traffiquant de drogue sans morale, le personnage principal inconsistant qui subit le récit plutôt que de prendre des décisions héroïques). Le tout baigné dans une couleur jaune pisse. Merci Netflix.
La chasse aux sorcières tant attendue façon X-Men, après la série de braquage et ses incidents, laisse finalement place à une timide critique sur la corruption technologique, façon OCP et son célèbre justicié des plus intègre. Les capacités ne sont là que pour répendre la justice et si l'idée n'est pas déplaisante afin d'offrir un spectacle différent, on reconnaît avec une déception assez mesurée que l'univers ne s'étend pas et que toutes les ambitions semblent revues à la baisse.
Un spectacle très pauvre en idées comme en moyens, et qui réussit à être long ( impression) et bavard. Même en ne considérant que la distraction, on s'ennuie très vite. Le film ne propose que du vu et revu 100 fois, en mieux le plus souvent.
Le réalisateur Jeff Chan est un habitué des films et séries de plateforme mais plutôt tendance fleur bleue et davantage destinées au public féminin. Un honnête faiseur qui a porté un projet diamétralement opposé dans un tout autre genre. En effet, il avait écrit, produit et réalisé une série B sortie de nulle part et plutôt sympathique il y a cinq ans intitulée « Code 8 ». Il a enrôlé les cousins Robbie et Stephen Amell, des amis à lui, et imaginé ce film dystopique entre thriller et anticipation ultra réaliste. Le seul élément véritablement science-fictionnel du récit était la présence de personnes aux super-pouvoirs dans la société, personnes dont la moelle épinière générait une drogue addictive. Comme si les « X-Men » croisaient « Total Recall » et « Limitless ». C’était assez basique au niveau de l’histoire mais impressionnant au niveau du rendu visuel et spectaculaire au regard du très maigre budget alloué pour la production. On reprend exactement les mêmes et on recommence avec cette suite mais avec un budget un peu plus important. Le résultat est exactement à l’image du premier mais sans l’effet de surprise et avec peut-être la déception de voir cet univers plein de possibilités si peu étendu dans cette séquelle. Un numéro deux est censé être supérieur au niveau du spectacle mais ici c’est le statu quo avec quelques ajouts de-ci de-là comme ces chiens robots ou l’entente police et trafiquants de Spyke, la fameuse drogue. « Code 8, partie II » manque donc le coche d’être meilleur et plus imposant que l’original.
En effet, l’histoire est finalement ici encore plus simpliste puisque c’est la sempiternelle histoire de la gentille petite fille à protéger qui a vu ce qu’elle ne devait pas voir et développe des pouvoirs inédits. Cette suite prend donc la forme d’un film de traque avec deux ou trois scènes d’action bien exécutées mais pas transcendantes non plus auxquelles on a ajouté un nouveau thème de fond à la mode : une critique et un état des lieux assez pertinent et contemporain des violences policières sur une minorité et de la corruption des forces de l’ordre en général. Bien vu mais relativement survolé. Encore une fois, Chan sait filmer et nous gratifie d’effets spéciaux de toute beauté (les robots sont d’un réalisme frappant). Il nous offre une nouvelle petite série B du samedi soir cool et rythmée mais qui ne laissera clairement pas un souvenir impérissable. On sent que l’envie d’une franchise est là d’ailleurs; et pourquoi pas si le troisième épisode nous apporte plus de valeur ajoutée et développe de manière plus convaincante son univers aux multiples potentialités. En attendant, « Code 8, partie II » déçoit un peu mais se regarde tout de même avec plaisir. Sans temps mort, efficace et humble, il nous fait passer un bon moment si on cherche juste à se divertir sans trop réfléchir.
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Ce deuxième fill m'a moins plu. C'est moins profond même si la mécanique est encore là même. Donc basique et sans surprise, mais divertissant malgré tout.