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    Drive My Car
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    210 critiques spectateurs

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    Germouse
    Germouse

    8 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2023
    C'est beau, subtile et poignant, surtout la dernière demi-heure. Mais c'est trop long. Le film est adapté d'une simple nouvelle et le scénario étire ses ficelles. Beaucoup de redites donc, surtout dans la relation entre le jeune acteur et le metteur en scène. Le début aussi pouvait être copieusement raccourci puisque tout est re-raconté ensuite.
    TUTUR29
    TUTUR29

    35 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Assez surpris de Drive My Car, je m'attendais peut être à un film qui essaie plus de taper dans l'émotion mais ce n'est pas trop le cas. On est en fait clairement face à une sorte de film qui retrace une partie de la vie d'un artiste comme si c'était une fresque. On le suit au quotidien, et c'est ce qui fait à la fois la plus grosse qualité et faiblesse de l'oeuvre : d'un côté, on est tellement derrière lui qu'on le comprend parfaitement et les quelques moments d'émotions fonctionnent parfaitement, mais de l'autre, on sent quand même que le film dure presque 3h et certaines scènes sont clairement dispensables. J'ai quand même passé un bon moment devant Drive My Car car les dialogues sont très bien écrits et m'ont complètement absorbé à plusieurs moments, mais oui si je devais lui reprocher une chose en particulier c'est sa lenteur qui provoque de l'ennui par moment.
    Scapa Flow
    Scapa Flow

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2023
    Sublime ! Quand l’âme humaine est sondée avec une telle maîtrise, et une telle justesse.
    La mise en scène frise la perfection, les dialogues sont à la hauteur de ce qu’on attend d’un film de cette qualité.
    Les comédiens sont tous vraiment excellents.
    Un chef d’œuvre, film qui va marquer les esprits et le cinéma d’auteur.
    Stéphane Tripot
    Stéphane Tripot

    4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2023
    Je me délectais d'avance au vu des critiques qui annonçaient un chef d'œuvre.
    Mais je suis vraisemblablement passé à côté , car jamais un film ne m'a paru si long !
    Il m'a semblé que l'intention du réalisateur était de filmer son propre génie, davantage que de raconter une histoire.
    Tout m'a semblé pénible et prétentieux : le scénario, la mise en scène, le jeu des acteurs.
    Un film de trois heures qui en parait huit.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 202 abonnés 5 229 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2023
    J'avais moyennement aimé les sens. J'ai trouvé celui-ci encore plus fastidieux. Proche d'un wherasetakul.
    Déjà un générique au bout de 40min je trouve ça précieux au possible.
    Le propos du coup est dilué dans une masse d'image lassante.
    Marc L.
    Marc L.

    47 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2022
    En l’espace de seulement quelques années, Ryusuke Hamaguchi est devenu ce qu’on appelle une “bête de festival”, dont chaque projet est attendu et scruté avec attention par tout le gotha cinématographique international. Quoique personnellement plus intéressé par le cinéma de genre que par le cinéma dramatique, celui de Hamaguchi me semblait mériter une attention particulière de ma part : après tout, le dernier Japonais à avoir été considéré de la sorte, Hirokazu Kore-Eda, est devenu un de mes réalisateurs de chevet tous genres confondus. Quant à ‘Drive my car’, il s’agit de l’adaptation en trois heures de quelques dizaines de pages écrites par le grand romancier Haruki Murakami, soit le cheminement d’un homme tout au long d’un processus de deuil. Il est impossible de résumer un tel film, étranger à toute forme d’action et de péripéties, qui décrypte avec minutie les infimes évolutions et rapprochements qui animent ses personnages, aussi vais-je me contenter d'en expliquer le titre, qui en révèle déjà suffisamment.. La voiture en question, c’est une vieille Saab 900 à laquelle le personnage principal, le metteur en scène Yusuke Kafuku, tient tout particulièrement mais que, pour des questions d’assurance, il est obligé de laisser conduire par une jeune femme alors qu’il prépare six mois durant une adaptation multilingue d’Oncle Vania de Tchekov au théâtre d’Hiroshima. Ces trajets solitaires en voiture étaient pour lui l’occasion de répéter la pièce, sa défunte femme l’ayant enregistrée sur cassette en laissant des espaces de silence pour qu’il puisse poser ses propres répliques : depuis le drame, enfermé dans l’habitacle du véhicule, écouter cette voix d’outre-tombe lui permettait aussi de ne pas se résoudre à couper le dernier lien qui le rattachait à la morte, et il ne voit donc pas d’un très bon oeil l’irruption involontaire de cette inconnue dans ce moment très intime pour lui. Restreint à petit nombre de situations (trajets en voiture et répétitions), ‘Drive my car’ a tous le temps de développer ses personnages, tous aussi secrets et réservés les uns que les autres, quitte même à ne lever le voile sur certains d’entre eux que pour le laisser retomber avant qu’on ait pu former une opinion définitive. Il joue aussi beaucoup sur le symbolique à travers l’argument des répétitions théâtrales, lieu privilégié d’expression des émotions, dont l’agencement et l’évalution sont ici confiées à un homme qui se refuse à la pleine compréhension de la mort de sa femme et de beaucoup d’autres choses qui la concernaient. Même si, personnellement, le monde du théâtre en toile de fond, surtout quand il prend autant de place, m’a toujours laissé de marbre, beaucoup de choses m’ont intéressé et même séduit dans ce film d’une grande sensibilité, qui rentre pleinement dans la catégorie d’un “grand cinéma” dans lequel aucun élément visuel, thématique ou de langage n’a été laissé au hasard. Ceci dit, la durée démesurée du film, couplée aux réserves personnelles évoquées plus haut font que je ne peux pas réellement prétendre de cette séance qu’elle a constitué une “bonne soirée”. Aussi lisible soit-il (ou plutôt, si généreux en métaphores et possibilités d’interprétations de ces dernières qu’il est impossible de passer systématiquement à côté de toutes !), ‘Drive my car’ n’en reste pas moins une proposition dramatique d’auteur, austère et peu accessible au grand-public : ce n’est absolument pas un film primé à Sundance, qui cherche à se rendre accessible un peu à tout le monde, avec un assaisonnement High-concept ou une pointe d’humour. Ici, c’est le spectateur attentif qui devra parcourir intégralement le chemin qui mène à la vision du réalisateur. Vous voilà prévenus.
    benoit_lb
    benoit_lb

    2 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2022
    Le Japon tel qu’on l’aime. Ou plutôt tel qu’on aimerait qu’il soit davantage : ouvert sur le monde, multiculturel, mixte, divers, en paix avec ses voisins chinois, coréen et russe. Le récit de « Drive my car » n’a pourtant rien d’extraordinaire : un acteur et metteur en scène de théâtre quadragénaire devenu veuf subitement (Kafuku-San) quitte Tokyo pour Hiroshima afin d’y monter une nouvelle pièce et se lie d’amitié avec la jeune femme réservée et intrigante qui lui a été imposée comme chauffeure privé (Watari-San), cette dernière s’étant elle aussi retrouvée seule après avoir perdu sa mère, son unique lien familial. Au-delà de cette rencontre de deux personnages chacun en quête d’un nouveau départ dans sa vie, c’est surtout le cadre dans lequel s’inscrit le récit qui est remarquable. La petite troupe de théâtre que monte Kafuku-San, mélange d’hommes et de femmes venus du Japon, de Corée, de Chine et des Philippines, capable d’intégrer une actrice sourde et muette et travaillant à la préparation d’« Oncle Vania » de Tchekhov, est à elle seule, un symbole de diversité allant à rebours des tendances de fond qui traversent la société japonaise d’aujourd’hui marquée par le repli sur soi et la nostalgie du passé.
    Cette diversité culturelle qui transparait tout au long de « Drive my car » s’accompagne d’une diversité géographique marquée et d’un travail notable fait sur la lumière lors des scènes diurnes comme nocturnes. La Saab rouge emblématique du film est largement mise à contribution pour nous promener de Tokyo à Hiroshima avant de nous embarquer pour Hokkaido lors des dernières scènes, nous montrant là la variété des paysages, à la fois urbains, ruraux et maritimes, dont le Japon peut se prévaloir du fait de son étendue.
    Le ton du film, son cadre et ses décors ne sont pas ses uniques atouts. Hamaguchi-San joue sur plusieurs registres et étonne également par son aspect créatif à commencer par son choix délibéré d’un titre original en anglais, sans doute une première dans le cinéma japonais. Chose rarissime, le film s’ouvre sur une scène de rapport sexuel. Le personnage principal, Kafuku-San, porte un nom qui n’a rien d’usuel au Japon, mais dont la connotation littéraire semble évidente. Le principal second rôle du film se trouve être, quant à lui, une Saab rouge dont la couleur éblouit le bitume japonais habitué au gris, blanc et noir des véhicules de marques locales et dont l’habitacle offre aux personnages un cadre propice à la révélation de leur intimité la plus profonde. Autre détail marquant qui constitue certainement là aussi une première : un générique de début au bout de 45 minutes de film.
    Car Hamaguchi-San prend son temps. Et il a raison. « Drive my car » est un film lent avec des scènes qui durent à l’image de cette longue séquence d’explications à laquelle se livrent Kafuku-San et Takatsuki-San sur le siège arrière de la Saab et au bout de laquelle le second passe aux aveux. Le rythme du film et les trois heures qu’il dure ne sont pas un handicap. Bien au contraire, elles en sont un de ses points forts et nous donnent le temps de bien cerner les deux personnages principaux pour mieux nous mettre à leur place, faire leur deuil avec eux et comprendre la difficulté qu’ils ont à tourner la page. Elles sont aussi le reflet d’une des constantes de la société japonaise, qui est la construction de relations durables dans le temps. La confiance et l’accès à l’intimité de l’autre se méritent, elles s’obtiennent à l’issue d’un processus long et sincère, où le moindre écart peut se révéler fatal.
    La palette de thèmes abordés par Hamaguchi-san dans « Drive my car » est ainsi très large. Si certains tels que l’adultère ou la perte d’un enfant auraient mérité que le réalisateur s’y attarde, d’autres sont beaucoup plus approfondis et nous donnent matière à réfléchir : le deuil, la mélancolie, la reconstruction d’une vie brisée, l’importance du langage, de la parole vraie et de l’écoute, et bien sûr la création, la diversité et la tolérance. C’est aussi en cela que « Drive my car » est une œuvre riche, une œuvre qui fera date dans l’histoire du cinéma japonais et qui met à l’honneur un auteur dont on reparlera.
    Frédéric Zamochnikoff
    Frédéric Zamochnikoff

    10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2022
    Après un début prometteur la narration s'enlise. Cela pourrait durer cinq heures de plus à ce régime là ! Le film est trop long, et on s'ennuie au bout d'un moment devant le trop peu d'action.
    fooker95
    fooker95

    4 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 septembre 2022
    Ce film à la première partie intrigante et prometteuse tombe malheureusement dans ce que le cinéma d'auteur japonais a de plus caricatural : des acteurs imperturbables et impassibles, une photographie intéressante mais une camera trop statique, la tension d'émotions contenues qui confine à l'ennui et la stérilité, et puis des histoires improbables où l'effort de l'intellect devrait puiser des symboles pour faire un sens à tout ça. Des coups de théâtre assénés avec autant de brutalité que peu d'à propos, certaines scènes creuses presque grotesques (ce jeune acteur qui se fait photographier avec un bruit de déclenchement assourdissant!), et toute cette grisaille étirée sur trois heures injustifiées n'est finalement qu'une snobinardise de plus au Panthéon du cinema qui se veut du septième art. Pour cela il faudrait du spontané, du mouvement, de l'audace
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 089 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 août 2022
    Du silence au mot, de la douleur ineffable à son expression écrite puis orale, Doraibu mai kâ pense le deuil comme une lente délégation de la parole par laquelle un artiste se reconstruit en construisant une œuvre. L’art offre ainsi la médiation nécessaire entre l’un et les autres, entre l’individu saisi dans sa singularité et le collectif auquel il prête une voix, à la fois sienne, celle de son épouse ravie et celle des comédiens. Ryūsuke Hamaguchi dispose moins d’un talent de conteur que du talent de faire conter, et ses personnages deviennent tour à tour narrateurs et spectateurs attentifs d’une histoire banale et extraordinaire à la fois en ce qu’elle mêle la fiction à la réalité, plutôt convertit la trivialité du quotidien en une matière à songes.

    Il est audacieux d’investir le cinéma, art visuel par excellence, en privilégiant la voix : celle d’Oto qui résonne pendant l’amour et les trajets en voiture, celle de Yūsuke qui se montre directive et précise lorsqu’elle s’adresse aux acteurs, bien plus rare en dehors du travail, celle enfin de Misaki, dont le mutisme initial disparaît à mesure qu’elle est amenée à se dire, à mesure que se compose entre elle et son passager un vivre-ensemble. Au cœur du long métrage se trouvent donc, comme dans toute l’œuvre du cinéaste, des rituels intimes propices à l’éclosion de la parole, des espaces d’immobilité apparente qui font advenir l’humain dans un langage secret alors que rien ne paraît se passer ; une parole qui serait la parole pure, originelle, hors du jeu – voilà pourquoi Yūsuke interdit à ses acteurs les intonations factices et autres tentatives d’appropriation. Lire pour dire, seulement dire. Ces espaces langagiers (véhicule rouge, salles de travail et de spectacle, chambre à coucher) se voient aussitôt cultivés et par le film et par les personnages, ils obéissent à une nécessité qui, quand elle est perturbée par un retard ou un imprévu, engendre de la frustration.

    Règne au cœur de Doraibu mai kâ une alchimie de la parole : du rien naît la chose, du lit d’hôtel vidé de son amante naît l’inspiration, d’Hiroshima naît une relation indéfinissable parce qu’elle ne se raconte pas directement, parce qu’elle est, à son tour, déléguée par l’intrigue théâtrale. Ryūsuke Hamaguchi a parfaitement saisi l’essence du théâtre et de l’art, il déjoue le piège de la projection pure de l’artiste (entendu comme être biographique) dans ce qu’il crée : l’essentiel réside non dans l’individuel strict mais dans la translation, dans la médiation par autrui qui permet une déconstruction et une reconstruction collective. La voiture en est une puissante métaphore, caisse de résonnance de cette polyphonie à l’œuvre. Un immense film, d’une intelligence et d’une maîtrise visuelle et tonale précieuses.
    Alain D.
    Alain D.

    604 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 août 2022
    Ayant pourtant reçu plusieurs récompenses et de bonnes critiques, ce Drame coécrit et mis en scène par Ryūsuke Hamaguchi m'a beaucoup déçu. Avec une introduction de quarante minutes, ce film au rythme lent est beaucoup trop long. D'autres éléments m'ont perturbé comme le montage volontairement troublant ou les voix off narrant les scènes ...
    Pourtant amateur du cinéma asiatique avec Hirokazu Kore-eda, Bong Joon Ho ou de Chloé Zhao, désolé de me montrer imperméable à l'ambiance et à la psychologie nippone de ce réalisateur où l'excès de subtilité frise parfois l'opacité.
    Dora M.
    Dora M.

    67 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2022
    Yusuke (Hidetoshi Nishijima) est metteur en scène et acteur de théâtre. Il se rend à Hiroshima pour monter une pièce pour un Festival, pièce qui résonne beaucoup avec son histoire personnelle. Il se lie peu à peu avec son chauffeur, Misaki (Toko Miura), une jeune femme très discrète.
    Les dialogues sont intéressants, ils font avancer le récit, créent parfois un certain suspens. La pièce a aussi tout son sens par rapport à l’histoire réelle des personnages. C’est une belle histoire, bien racontée, le film est esthétique. En revanche, c’est malheureusement trop long (3h). Certes, la lenteur correspond bien à ce type de film mais là c’est un peu trop.
    FaRem
    FaRem

    8 864 abonnés 9 665 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    À l'image du personnage de Yusuke Kafuku qui se laisse conduire pour tous les trajets de son nouveau travail, le spectateur accepte également de se laisser guider par le réalisateur sans savoir où il va nous mener. "Drive My Car" n'est pas forcément difficile à cerner dans le sens où tout est assez clair, mais la destination finale reste floue. Quel est le véritable but de ce film qui semble rester sur la même voie pendant tout le trajet. La vie, le deuil, l'amour le travail, il est question de beaucoup de choses et Ryûsuke Hamaguchi n'hésite pas à rebattre les cartes après une longue et très bonne introduction. La force du film est son écriture fluide et dense des personnages et de l'histoire ainsi que la mise en scène millimétrée de Ryûsuke Hamaguchi qui ne laisse rien au hasard. Cependant, j'ai attendu quelque chose qui n'est jamais arrivé. Le film n'a pas cette petite étincelle ou émotion qui va donner une autre dimension à l'ensemble, et ce même s'il y a quelques scènes charmantes au cours desquelles les personnages s'ouvrent un peu et se laissent aller à quelques confidences. C'est agréable et doux, et ce n'est surtout jamais ennuyeux, ce qui est une bonne chose pour un film de trois heures, mais il m'a manqué ce petit quelque chose qui m'a fait décrocher juste avant la fin. Des deux films que Ryûsuke Hamaguchi a sortis en 2021, j'ai préféré "Wheel of Fortune and Fantasy" qui m'a fait ressentir beaucoup plus de choses même si on ne peut évidemment pas comparer les deux films qui n'ont pas le même style ni la même durée.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    80 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 juin 2022
    Encore un beau tunnel comme trop souvent le cinéma nippon, et asiatique en général, nous en propose. Un scénario sans substance, sans âme, totalement hermétique, étiré sur trois interminables heures. Le même film produit par des français se serait fait lapider, mais comme c'est japonais... c'est l'extase. Pathétique.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    150 abonnés 571 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2022
    Les personnages de Drive my Car sont intelligemment construits, mais les 3 heures de film ne sont à mon sens pas justifiées... et créent un déséquilibre.
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