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    Drive My Car
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    207 critiques spectateurs

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    Martin Scorsese
    Martin Scorsese

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2021
    Lecteur de Murakami et amateur des films japonais j'ai trouvé ce film d'un ennui total.
    A part de très rares moments ,tout est creux , vide de sens , répétitif, sans inspiration...
    Je déconseille ces trois heures sans intérêt.
    Fegatilliugo
    Fegatilliugo

    6 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juin 2022
    Drive My Car est bon dans le fond mais mauvais dans la forme. Bon dans le fond car l'histoire autour du personnage principal et la façon dont va être traité son deuil après la mort de sa femme est bien développer. À travers les différents dialogues et personnages secondaires qui ľentoure. Le film m'a d'ailleurs pris à contre-pied car je m'attendais à une romance entre le personnage principale et la chauffeuse sauf que pas du tout et çela prend tout son sens . Ils ont tout les deux perdus quelqu'un de chère et se complète à travers leur dramaturgie.

    Mais dans la forme c'est plus compliqué car le film est d'une lenteur absolue. Et la mise en scène n'y aide pas avec beaucoup de plan fixe et une musicalité quasiment inexistante. Les nombreux monologue sont souvent pertinent mais renforce ce sentiment de longueur.

    Un film qui ne conviendra pas à tous le monde, faut s'accrocher, je suis moi même perplexe.
    Sylodyss
    Sylodyss

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 août 2021
    Magnifique film, qui prend le temps d'aborder énormément de sujets. Certaines scènes sont magnifiques (toutes les scènes dans la voiture, les répétitions de la pièce de Tchékov, le dîner chez les coréens). Un chef-d'oeuvre.
    Fabien D
    Fabien D

    170 abonnés 1 107 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2021
    En adaptant une nouvelle de Murakami, Hamaguchi signe un film à la fois poétique et ésotérique traversé de moments de grâce. Il livre une œuvre assez limpide malgré ses trois heures et ses longs tunnels de dialogue et traite du deuil et de la culpabilité sans jamais sombrer dans le pathos. Son film est lancinant et hypnotiques, c'est une méditation sur la vie, la mort et l'art empreinte d'une grande pureté. Les scènes de répétitions de Oncle Vania de Tchekov sont passionnantes et donnant envie de relire l'œuvre du dramaturge russe. Drive my car est un film à la fois linéaire et mystérieux, qui se dévoile autant qu'il ne se dérobe à nous. C'est troublant énigmatique et même poétique. Et les scènes de route sont magnifiquement filmées. Une pleine maîtrise de la mise en scène et du scénario qui montre qu'Hamaguchi,après le déjà très beau Asako I et II, est un auteur à suivre de très près.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 582 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Ensencé à Cannes où il aurait frôlé la Palme d’Or. Unanimité critique incompréhensible.
    Ce film se veut élitiste car il parle de création artistique, d’accouchement douloureux d’œuvres et surtout de théâtre russe au travers de Tchékhov. Il est surtout bavard et pompeux ; du cinéma qui se regarde le nombril vu par des critiques intellos. Il est d’une vacuité absolue et les personnages se meuvent comme des statues vides de toute émotion à l’image de la chauffeure qui à ne jamais sourire ressemble à une poupée de cire. 3h c’est interminable et même souffrant ; même découpé en deux fois 1h30 comme j’ai fini par le regarder. J’avais abandonné au bout d’une heure du premier opus de « Senses » qui comportent 4 films ; je pense qu’il faut que je fuie ce metteur en scène même s’il a un certain talent pour les plans stylisés et réfléchis. Comparé par certains à Ingmar Bergman, çà me fait sourire et pourtant je ne suis par hermétique devant ce genre de film. Si on parle de cousin de Bergman , citons aussi Nuri Bilge Ceylan. Bavards, longs et lents ; ces films ont malgré tout beaucoup à dire ; le contraire de celui-ci.
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    domit64
    domit64

    31 abonnés 230 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 septembre 2021
    Long très très long, succession de scènes sans intérêt... film plat... bref passez votre chemin ou faites un vrai road trip !
    Jack K.
    Jack K.

    12 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2021
    Le film de 3 heures tourne autour de la pièce de théâtre « oncle Vania » d’Anton Tchekhov (pièce qui fait 3h également). Mais il est aussi une adaptation des nouvelles de Haruki Murakami « Des hommes sans femmes » dont il cite des passages entiers.
    C’est une belle réussite cinématographique ; on ne s’y ennuie pas un instant. Les acteurs sont tous attachants, les images sont belles et la narration fait la part belle aux sentiments. L’amour, le manque, la solitude sont montrés avec finesse. Un bon moment de cinéma.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    84 abonnés 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Ai vu "Drive my car" du réalisateur japonais Ryusuke Yamaguchi. Que j'aurais adoré adorer ce film parfait dont je me faisais une joie de voir. Absolument tous les ingrédients sont là pour que je crie au chef d'oeuvre, une mise en scène souple et jamais démonstrative, un scénario extrêmement travaillé et construit, une interprétation intériorisée, une photographie soignée, un rythme qui prend son temps... mais hélas je ne suis jamais vraiment rentré dans ce long métrage de 3 heures. J'ai toujours eu la sensation de me voir en train de visionner le film qui m'a paru assez long et très répétitif. Yusuke Kafuku est un metteur en scène de théâtre à qui l'on demande de monter "Oncle Vania" dans la ville d'Hiroshima, nous suivrons donc tout le processus de création des auditions à la première. Les organisateurs du festival théâtral lui interdisent de conduire lui même sa voiture pendant toute la durée de son contrat et Kafuku se retrouve dans l'obligation de se laisser guider par les mains expertes de Misaki Watari, jeune femme mutique et discrète. Leurs destins sont liés par des points communs qui vont les métamorphoser au fur et à mesure des longs trajets en voiture sur les routes nippones. J'ai souvent eu la sensation que le scénario très (trop) écrit ne laissait rien au hasard, que tout jusqu'au plus petit détail devait être justifié, expliqué, pour s'emboiter dans cette mécanique psychologique... jusqu'à parfois friser l'invraisemblable. Le rapport du metteur en scène et du rôle principal sont prévisibles et pas très crédibles. Les scènes d'apprentissage de texte dans la voiture sont redondantes et fatigantes au fur et à mesure des kilomètres. Les scénaristes ne font pas toujours confiance à l'intelligence du spectateur et le texte d'"Oncle Vania" est sur-utilisé pour bien nous nous faire comprendre les correspondances entre l'état du personnage principal et ceux de Tchekhov. J'ai surtout été fasciné par la jeune conductrice qui est uniquement spectatrice et qui sera bien malgré elle l'élément perturbateur... mais n'ai je pas surtout été hypnotisé par son interprète incroyable qu'est Toko Miura ? Comme souvent en voiture j'ai eu régulièrement l'impatience d'être arrivé, d'être à la limite de l'agacement par les paysages répétitifs de l'autoroute et d'avoir qu'une envie celle de faire une pause pour me dégourdir les jambes... Dommage mais peut être n'était ce pas le bon jour pour faire ce voyage.
    Jipéhel
    Jipéhel

    34 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2021
    Ceux qui survivent ne cessent de penser aux morts

    Ryusuke Hamaguchi adapte ici un extrait du recueil Des hommes sans femmes de Haruki Murakami. Et au passage, empoche le Prix du scénario à Cannes, au demeurant, un prix bien mérité. Alors qu'il n'arrive toujours pas à se remettre d'un drame personnel, Yusuke Kafuku, acteur et metteur en scène de théâtre, accepte de monter Oncle Vania dans un festival, à Hiroshima. Il y fait la connaissance de Misaki, une jeune femme réservée qu'on lui a assignée comme chauffeur. Au fil des trajets, la sincérité croissante de leurs échanges les oblige à faire face à leur passé. 180 minutes d’une virtuosité sans pareil, le tout servie par un casting +++. Du grand art !
    Il y a ici, de toute évidence deux films distincts… la preuve en est que le générique n’arrive à l’écran qu’au bout d’une bonne heure, séparant ainsi les deux histoires qui vont pourtant finir par s’imbriquer étroitement. Un film très lent et pourtant sans une seconde d’ennui tant les surprises jalonnent le scénario et ce, jusqu’à l’ultime minute. Aux yeux de Ryûsuke Hamaguchi, endosser plusieurs identités est une forme de folie socialement acceptée. Ce drame tente d’atteindre une forme de vérité à travers les sentiments contradictoires traversés par les membres d’une troupe de théâtre. Le texte de L’Oncle Vania de Tchékhov supplante souvent les dialogues des personnages du film, jusqu’à une dernière scène bouleversante de beauté et d’inventivité. Un coup de génie. Rien que pour lui, ça vaut le coup d’attendre 3 heures. Hamaguchi aime les expériences cinématographiques. Après Asako I et II, Senses 1,2,3,5,5, il nous offre – car c’est un cadeau -,
    Hidetoshi Nishijima, Toko Miura, Masaki Okada, Reika Kirishima et les autres sont absolument époustouflants dans ce film qui nous parle de deuil, de parole juste, d’écoute et de création artistique. C’est un chef d’œuvre limpide, éblouissante et ciselée dans ses moindres détails. Rarement les relations humaines et les rapports amoureux ont été scrutés avec autant d’acuité. Le film envoûtant d’un réalisateur inclassable à découvrir de toute urgence. A coup sûr, un des sommets de l’année.
    Childeric
    Childeric

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    J'aurais mis une note négative si je l'avais pu. Trois heures de vacuité absolue, nombrilistes à l'extrême. On dirait une caricature de cinéma germanoprantin à la Klapisch, et pourtant c'est du cinéma japonais. Les personnages sont des statues vides de toute émotion, totalement creux, il ne s'y passe absolument RIEN. Ah si, il y a 2-3 jolis paysages. C'est un peu limite pour combler 3h laborieuses.
    Hatou S.
    Hatou S.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 septembre 2021
    Drive my car ou l'histoire d'une soirée qui s'annonçait prometteuse au vu du synopsis, des critiques et du casting.
    3 interminables heures durant lesquelles je me suis demandée pourquoi j'avais ecourté une réunion pour pouvoir aller le voir.
    Faussement intellectuel, long, très long et d'une lenteur à en faire pâlir un escargot.
    le film a certes des qualités (plans, image, son), mais pas suffisamment pour maintenir éveillé...
    il devient lassant de voir tous les réalisateurs ne produire des films que dans le seul but d'obtenir une palme à Cannes...usant.
    Jean-Baptiste B
    Jean-Baptiste B

    31 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2021
    Après un pré générique intriguant de 45 min tout de même, le film s'étire et se répète dans ce qui semble être une boucle infinie et terriblement ennuyeuse. Je pense que c'est typiquement le genre de film où l'effet exotique du Japon joue à plein sur les critiques positifs, mais la substance du film est très pauvre en définitive. Si un européen écrivait un film pareil, la plupart jugerait ça prétentieux et vain je pense. Est ce que ce film a du succès au Japon?
    Paul Gioan
    Paul Gioan

    6 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 septembre 2021
    Oui, mérite le qualificatif de Chez d'oeuvre , rien de plus à dire , tant d'humanisme et de sensibilité psychologique sans tapage est hallucinant , prévoyez 3 heures de bonheur total . Après avoir vu le film , j'ai lu la nouvelle de Murakami , que j'aime beaucoup , et là....Deception ! Elle est beaucoup plus fade que le film , se résumant aux confidence de l'acteur concernant son épouse décédée à la conductrice de la voiture , sans les mystères que développe le film , et sans quoique ce soit concernant les répétitions d'oncle Vania... Clairement , le film vaut 10 fois plus que la nouvelle !!!
    velocio
    velocio

    1 193 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 septembre 2021
    De ce film, je n'avais entendu que des louanges à Cannes, de la part de toutes celles et de tous ceux qui l'avaient vu durant le dernier Festival. Au point que certains en arrivaient à se demander si le jury 2021 n'allait pas accorder une 3ème Palme d'or de suite à un film asiatique. Finalement, "Drive my car" n'a obtenu que le Prix du scénario et c'est déjà pas mal. Est-ce trop ? De Ryusuke Hamaguchi, j'avais vu "Senses 1&2", mais, pas vraiment convaincu, je n'avais pas jugé bon d'aller voir les 3, 4 et 5 malgré l'emballement des critiques au sujet de ces films. J'avais vu aussi ASAKO I&II, et là, j'avais mieux marché. C'est dans une nouvelle du recueil "Des hommes sans femmes" de Haruki Murakami, qui est, parait-il, l'écrivain japonais le plus lu dans le monde, que Hamagushi est allé chercher la matière de "Drive my car". On y voit Yûsuke Kafuku, un metteur en scène de théâtre, qui, 2 ans après avoir perdu sa femme, est chargé d'une série de représentations de "Oncle Vania" à Hiroshima : trouver les acteurs, les faire répéter, arriver jusqu'à la première de la pièce. On se dit, Tchekhov, Murakami, Hamaguchi, nous voilà parti pour 3 heures de pur bonheur. Pas si vite, les amis ! Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le jugement qu'on porte sur un film est souvent lié à ce qu'on voit et à ce qu'on entend dans sa dernière partie, comme si l'impression laissée par le reste du film était oubliée et il est vrai que la dernière heure de "Drive my car" est d'excellente facture. On y parle avec émotion et une certaine profondeur de la mort, de la trace laissé par les morts sur les vivants, de la responsabilité qu'on peut avoir, sans l'avoir recherchée, sur des évènements tragiques et qui vous minent. Toutefois cela ne m'empêche pas de me rappeler les scènes, certes souvent très belles mais très ennuyeuses, entrecoupées de quelques rares fulgurances, de tout ce qui précède. A titre plus anecdotique, un certain nombre de questions méritent d'être posées : tout d'abord, la curiosité de voir un prologue qui dure près de 3/4 d'heures, avec le générique de début du film apparaissant à la fin de ce prologue. Ensuite, la nouvelle de Haruki Murakami parle-t-elle d'une distribution internationale, mêlant au japonais du chinois, du coréen et de la langue des signes coréenne ou bien est-ce une (bonne) idée de Ryusuke Hamaguchi ? Idem concernant la voiture de Kafuku, cette voiture pour laquelle il a une sorte de vénération au point d'hésiter longuement à la laisser aux mains de Misaki Watari, la chauffeuse que le théâtre d'Hiroshima lui a assigné pour les trajets entre le lieu des répétitions et son lieu de résidence : pourquoi une voiture européenne, une voiture avec le volant à gauche dans un pays où, tout comme en Angleterre, on roule à gauche ? Pourquoi cette voiture n'a-t-elle plus, à la fin, la plaque d'immatriculation du début ? Pourquoi la faire rouler sur une 2 fois 2 voies fonctionnant à l'envers de la normalité japonaise ? Faut-il voir dans ces petits détails des messages que je n'aurais pas compris ?
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    946 abonnés 4 866 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2023
    J'avais moyennement aimé les sens. J'ai trouvé celui-ci encore plus fastidieux. Proche d'un wherasetakul.
    Déjà un générique au bout de 40min je trouve ça précieux au possible.
    Le propos du coup est dilué dans une masse d'image lassante.
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